Observations du 4 au 10 mar 2019

[Wave]

Imagine, c’était juste des vents et de la poudrerie. Une vraie tempête avec des vents du Nordet de plus de 90km/h et de la neige modérée, je te jure que c’est une autre paire de manche. C’est pour çà que je dis que les “tempêtes” en ville sont, la plupart du temps, de gentilles floconnades comparé au caractère hostile et dangereux des tempêtes dans l’est.

 

Ça, c'est certain ! Il fut un temps jadis où - voulant défier les éléments - je me lançais en auto dans la première tempête venue. Heureusement que je n'étais pas à Lévis sur la 20 lors de la tempête de mars 2017, où deux personnes ont perdu la vie, asphyxiées sous 20 pieds de neige. Ce n'est pas sans raison que la Sureté du Québec ferme les rues à l'est de Québec quand les éléments se déchaînent.

 

Une tempête en ville à Montréal, on sort dehors s'y promener, c'est amusant. Une vraie tempête comme on en voit dans le Bas du fleuve et en Gaspésie, ça commande le respect : on ne sort pas dehors pour s'y promener, mais on se contente de la regarder du salon et de l'écouter rugir.

[erol]

Ça, c'est certain ! Il fut un temps jadis où - voulant défier les éléments - je me lançais en auto dans la première tempête venue. Heureusement que je n'étais pas à Lévis sur la 20 lors de la tempête de mars 2017, où deux personnes ont perdu la vie, asphyxiées sous 20 pieds de neige. Ce n'est pas sans raison que la Sureté du Québec ferme les rues à l'est de Québec quand les éléments se déchaînent.

 

Une tempête en ville à Montréal, on sort dehors s'y promener, c'est amusant. Une vraie tempête comme on en voit dans le Bas du fleuve et en Gaspésie, ça commande le respect : on ne sort pas dehors pour s'y promener, mais on se contente de la regarder du salon et de l'écouter rugir.

Tu pouvais pas mieux décrire çà. J’ai été plusieurs années moi aussi, à braver les tempêtes de neige en auto. C’est d’ailleurs dans ces conditions que j’ai aquis le plus d’expérience de conduite hivernale. J’ai déjà rouler plusieurs heures de L’islet-sur-Mer à Tourelle dans des conditions de blizzard en me fiant uniquement sur ma vison approximative du banc de neige de côté pour savoir si la route tournait à gauche ou à droite, ou bien si elle continuait tout droit. D’ailleurs, ils avaient fermé la 132 cette fois-là.

 

Aujourd’hui, avec une famille, j’me garde un peu plus une petite gêne . Jamais je me remettrais autant à risque avec mon petit monde à bord.

Modifié le 9 mars 2019 par erol

[tahoe]

Le pire durant une tempête pour moi ces le jour ou je revient d un voyage en motoneige et que la tu voit blanc et tu ne distingue plus rien tu cherche les piquet rouge en espérant de ne pas tombé dans un fossé a travers les congère de neige