Voici, selon ce que j'ai trouvé, ce fût 100mm autotal pour Montréal. Voir texte ci-joint. : La pluie verglaçante n'est pas chose inédite au Canada, mais la tempête qui a frappé l'est de l'Ontario, le Québec et le Nouveau Brunswick été d'une force exceptionnelle. David Phillips, climatologue principal et expert-résident de ces questions, à Environnement Canada, nous explique où se classe la tempête au palmarès des événements du genre. Le verglas constitue souvent le pire danger qui nous guette en hiver. Plus glissante que la neige, la pluie verglaçante est tenace et s'agrippe à tous les objets qu'elle touche. En petite quantité, elle est dangereuse, en grande quantité, elle est catastrophique. Les tempêtes de verglas constituent une menace de taille pour toutes les régions du Canada, à l'exception du Nord. Elles sont particulièrement communes de l'Ontario jusqu'à Terre-Neuve. Leur gravité dépend largement de l'accumulation de glace, de leur durée, de l'endroit où elles se produisent et de l'étendue des régions touchées. Selon ce critère, le verglas de 1998 a été le pire qu'ait connu le Canada de mémoire d'homme. Du 5 au 10 janvier 1998, il est tombé, au total des quantités de pluie verglaçante et de grésil entremêlés d'un peu de neige, qui ont dépassé 85 mm à Ottawa, 73 mm à Kingston, 108 mm à Cornwall et 100 mm à Montréal.