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Début possible du 24e cycle solaire


colapster89

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le climat face a l'activité solaire en date et en chiffre

 

http://blogs.tv5.org/meteoblog/2007/08/quid-du-petit-g.html

 

Le 24e cycle est commencer mais le soleil reste innactif

 

A new solar cycle has begun, but so far it has produced no photogenic sunspots. Indeed, the face of the sun is mostly blank. Sun-photographer Larry Alvarez of Flower Mound, Texas, found the scene he was looking for, however, on the sun's limb:

 

"I captured these prominences on Jan. 11th using my Coronado SolarMax90," says Alvarez. "Their ghostly appearance was striking against the the black background of space."

 

Prominences are clouds of solar hydrogen held above the sun's surface by magnetic fields. They are present during all phases of the solar cycle--from maximum to minimum and back again. No sunspots? No problem. Photographers, when the sun is blank, look to the limb.

Modifié par colapster89
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Au niveau météorologique le soleil est plus qu'important c'est le moteur de tout. Une baisse de son intensité amènera directement une baisse des températures planétaires et une modification complète du climat.

 

Un volcan a lui seul peu créer un refroidissement planétaire. En 1816, ce fut l'année sans été, en mai, le gel détruisit la plupart des récoltes qui avaient été plantées et en juin deux grands blizzards dans l'Est du Canada et en Nouvelle-Angleterre entraînèrent de nombreuses morts. C'est presque un pied de neige qui fut observé dans la ville de Québec au début de juin. En juillet et août, on vit de la glace sur les lacs et les rivières aussi loin vers le sud qu'en Pennsylvanie. Des différences rapides et extrêmes de température étaient habituelles et des températures normales ou proches de la normale en été, allant jusqu'à 35 °C, pouvaient tomber au-dessous de zéro en quelques heures. Même si les fermiers au Sud de la Nouvelle-Angleterre réussirent tout de même à amener quelques récoltes à maturité, le prix du maïs et des autres céréales monta de façon effrayante. L'avoine, par exemple, passa à 92 ¢ le boisseau contre 12 ¢ l'année précédente.

 

Le responsable etait un volcan situer en Indonésie et les répercussions furent des temps froids et des famines a l'échelle mondiale

 

source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ann%C3%A9e_sans_%C3%A9t%C3%A9

et l'intesité solaire n'avait diminuer d'environ que de 2% a cause de la poussiere en suspension dans l'atmosphère et les répercussion furent vite observer mondialement. Deja l'intesité solaire a diminuer d'environ 0,5% a 1% selon les estimations et la tendance ce maintient, reste a voir de quelle façon cette diminution nous affectera, il sera aussi interessant de voir combien de temps le phénomène laNina sera observable dans le pacifique et aussi de comparer la fréquence elNino/laNina dans les prochaines années. Je suis entrain d'ammasser beaucoup de données et d'obeservation météorologique faite en europe entre 1640 et 1800 et aussi en amérique du nord dans les documents d'époque de la compagnie d'hudson et les journaux personnels d'explorateurs de l'ouest canadien (merci a la bibliothèque nationale), j'ai deja trouver des faits très interessant datant de la derniere phase minimum du soleil (env.1600-1800)comme des -26 enregistrer a paris avec des hivers pour tout l'europe ou encore 25 janvier 1620 à Churchill, au Manitoba, l'explorateur danois Jens Munk rapporte que toutes les bouteilles d'alcool pleines éclatent(-32 degrer celcius environ de point de congélation alors la a les faires eclater c'est beaucoup) en raison d'un gel soudain et qu'un canon explose lors de la mise à feu car le métal est devenu cassant. Je vais continuer ce dossier et je le publirai sur internet au terme, je donnerai le lien sur ce forum pour ceux que sa interesse, et si des personnes veulent ce joindre a moi pour créer ce dossier et bien vous êtes les bienvenus

Modifié par colapster89
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Quand j'étais étudiant en météo, il y a une quinzaine d'années, j'avais soulevé l'hypothèse que les variations d'activité solaire pouvaient entraîner des variations climatiques importantes. J'en avais parlé à un de mes professeurs, qui m'avait répondu que l'impact devait être minime en comparaison des autres facteurs. :D Malheureusement, je n'avais pas fait de vérification. Alors bravo colapster89 pour ce travail à venir :angry: . Cependant, pour que ce soit crédible, il faut comparer entre elles les données pour les années d'intense activité solaire et les données de faible activité. Si c'est bien l'effet de l'activité solaire qui t'intéresse, il faut éliminer les années d'éruptions volcaniques importantes, car elles font aussi entrer en jeu d'autres variables que le rayonnement solaire, telles que les concentrations de différents gaz à effet de serre. :D

 

J'ouvre ici une petite parenthèse, pour tout le monde. Les années où j'étais étudiant sont aussi celles où l'effet du El Nino sur les climats de la planète a été reconnu. Peu de temps avant cette reconnaissance, je venais de proposer à un autre professeur l'idée selon laquelle les variations de températures de surface des océans devaient avoir un grand impact sur les régimes de temps observés partout sur la planète. Mon argument était que la capacité calorifique peu élevée de l'atmosphère ne justifiait pas la présence de régimes de temps qui se prolongent sur plusieurs mois et parfois des années, comme on l'observe. En effet, la faible capacité calorifique de l'atmosphère signifie que celle-ci ne peut pas garder longtemps la mémoire du temps passé. Le professeur en question m'avait alors servi l'argument du chaos, le fameux effet papillon (depuis ce temps, il a été reconnu que son importance avait été exagérée :rolleyes: ), qui génère des "attracteurs" dans l'espace de phase de l'atmospère. Les "attracteurs" sont les différents régimes de temps. Bref, ces attracteurs existent, mais il faut considérer le système couplé atmosphère-océan, comme il est bien connu aujourd'hui. Par sa très grande capacité calorifique, l'océan conserve plus longtemps la mémoire du passé. Les échanges thermiques atmosphère-océan sont très importants. Maintenant, quel est le lien avec la recherche de colapster89 ? Voici : peu importe la position et la réputation de ceux qui sont là pour nous guider, ces personnes peuvent se tromper... et il arrive qu'elles se trompent effectivement. C'est là un fait qu'il faut reconnaître pour soi-même et avec lequel il faut vivre. Donc, il vaut toujours mieux vérifier nous-mêmes (peut-être avec l'aide de collègues) les hypothèses qu'on avance et ne pas se décourager, en dépit de l'opinion parfois défavorable de notre entourage et de nos professeurs. ;)

Modifié par Wave
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Je trouve cette théorie de plus en plus intéressante. Une chose est certaine, elle mérite que l'on s'y attarde.

 

Je trouve seulement désolant que les gens mélangent politique et science... Si jamais c'est vrai l'homme n'est que peu responsable des changements climatiques, il est important que ce soit reconnu comme tel. Tout simplement parce que c'est comme ça qu'on fini par avancer nos connaissances. Une cause comme la surexploitation des ressources ou la polution ne jutifie pas le mensonge ou l'ignorance de certains faits peu importe son importance pour l'humanité.

 

Si le soleil est effectivement le moteur majeur des changements climatiques, on saura vers où se diriger quand va venir le temps de tenter de voir comment le climat risque d'évoluer dans les prochaines années et il est très important que cette hypothèse soit approfondie.

Modifié par JF Massicotte
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En tant que scientifiques, doit-on vraiment séparer sciences et politique ? Et est-ce vraiment réaliste ? Plusieurs arguments expliquent que la communauté scientifique ait fait pression sur les politiciens, au sujet de la réduction des gaz à effet de serre. En voici quelques-uns :

 

1- Selon les relevés géologiques (concernant des dizaines de milliers d'années), il y a une étroite corrélation entre la concentration de CO2 et la température globale. De ces données, on a inféré que c'est la concentration du CO2 qui était la cause de la température, et non l'inverse.

 

2- La plupart des modèles climatiques prévoient une augmentation importante de la température moyenne, suite à un doublement de CO2. Ces modèles très complexes font de nombreuses approximations nécessaires pour ramener à un niveau raisonnable le temps de calcul. On les valide à l'aide des statistiques existantes pour les dernières décennies. En général, ils ne tiennent pas compte des variations de l'activité solaire.

 

3- La température globale a effectivement augmenté au cours du dernier siècle et les catastrophes climatiques se sont multipliées.

 

4- En tant qu'experts du domaine climatique, à la vue des articles inquiétants, les scientifiques ont jugé qu'il était de leur devoir moral d'alarmer les journalistes et de faire pression sur les politiciens pour qu'on prenne au sérieux la menace d'un effet de serre qui s'embalerait.

 

5- Il ne faut pas le dire, mais le travail des scientifiques dépend des budgets alloués à la recherche et ceux-ci seront d'autant plus généreux que les gouvernements seront inquiets. Pour la plupart, les scientifiques ont un réel désir de connaître la vérité, mais leur objectivité entre en conflit avec leurs intérêts économiques. :)

 

Personnellement, je pense que l'effet de serre a contribué au réchauffement climatique, de même que l'activité solaire.

 

Ceci dit, je suis persuadé que les climatologues ont fait leur travail du mieux qu'ils le pouvaient et qu'ils continuent de le faire. On les blâmera si on juge qu'ils ont eu tort et on les félicitera si on juge qu'ils ont eu raison. C'est dans la nature humaine de se croire permis de porter des jugements sur les autres êtres humains.

Modifié par Wave
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La science avance grâce au questionnement que nous nous faisons suite à des constatations et des découvertes.

 

Comme Wave disait, une combinaison des données statistiques des dernières décennies en ce qui a trait à la corrélation entre le réchauffement de la planète et l'augmentation du CO2, nous amène à affirmer (Nous les scientifiques) que cette augmentation a un impact.

Est-ce la seule raison du réchauffement? J'en doute! Est-ce que si nous négligeons la réduction du CO2 ça l'aura un impact direct sur le réchauffement à venir? Je pense que ça n'aidera définitivement pas.

 

Je pense que nous sommes encore à une étape de questionnement et d'analyse. En ce sens, la science continuera d'évoluer, mais ce qui est important de comprendre c'est que les chiffres ne mentent pas sur le passé.

 

Et la santé humaine on en fait quoi? La pollution de l'eau? etc. Il ne faudrait pas faire l'erreur de se dire que parce que le CO2 n'a pas d'impact sur le climat, il n'en a pas ailleurs.

Modifié par Franky
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Salut

 

Tout à fait raison WAVE. Comme plusieurs budgets proviennent des gouvernements, se faire dire la vérité en pleine face ne fait pas toujours plaisir. Mais la communauté scientifique est un peu divergente dans leurs affirmations.

Il y a un prof, ici à Sherbrooke, Hardy Granberg, professeur reconnu mondialement, qui dit que les événements actuels sont le prélude à une ère glaciaire. On parle de réchauffement planétaire tandis que d'autres mentionnent ère glaciaire. J'ai un peu de misère à faire de la glace dans mon fourneau!!! :)

 

Bref, cette discussion est super intéressante et je crois que c'est le but de ce forum d'aller chercher différentes opinions. Attendons les autres commentaires....

 

Daniel

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La température de la stratosphère antarctique fait fluctuer l'ampleur du trou de la couche d'ozone d'année en année. Les températures plus basses que la moyenne produisent des trous plus larges et plus profonds que des températures plus chaudes. Les centres nationaux de prévision environnementale de la NOAA ont analysé les observations des températures stratosphériques relevées par les satellites et les ballons-sondes, et à la fin du mois de septembre 2006, les températures de la basse stratosphère au bord de l'Antarctique étaient inférieures d'environ 12,7 degrés Celsius à la moyenne, entraînant une augmentation de la superficie du trou qui est passée de 3,1 kilomètres carrés à 3,8 kilomètres carrés. La stratosphère de l'Antarctique se réchauffe avec le retour de la lumière solaire à la fin de l'hiver polaire et grâce à de vastes systèmes météorologiques (ondulations à l'échelle planétaire) qui se forment dans la troposphère et remontent dans la stratosphère. Lors de l'hiver et du printemps 2006 dans l'Antarctique, ces ondulations météorologiques planétaires ont été relativement faibles, entraînant des températures plus froides que la moyenne dans la stratosphère.

 

Les scientifiques européens ont confirmé que la haute atmosphère de larctique est en voie datteindre cet hiver les températures historiquement les plus basses et rappellent quun froid extrêmement rigoureux augmente sensiblement la destruction de la couche dozone protectrice. Des premiers signes de la diminution de la couche dozone ont déjà été constatés. La couche dozone se trouve à environ 8 km daltitude au-dessus des pôles, dans la couche la plus basse de latmosphère appelée stratosphère. Elle a pour fonction de protéger la surface de la Terre des rayons ultraviolets du soleil. Plus de 170 pays ont ratifié le protocole de Montréal, un traité environnemental établi en 1987 pour protéger la couche dozone. Si le refroidissement de la stratosphère arctique se prolonge, on peut sattendre à un amincissement accru de la couche dozone au cours des prochaines décennies. Un trou dans la couche dozone risque de renforcer les rayonnements ultraviolets et toucher des régions polaires inhabitées et la Scandinavie, et même peut-être lEurope centrale, ce qui pourrait avoir des répercussions sur la santé humaine (occurrence accrue des cancers de la peau), ainsi que sur la biodiversité

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Quelques questions...

 

S'il fait plus froid dans la basse stratosphère de l'Antarctique une année, est-ce que ce sera aussi le cas dans la basse stratosphère Arctique ? Pas sûr, surtout que la température stratosphérique dépend du transport vertical de chaleur provoqué par les systèmes météo.

 

À l'hivers 2006, la basse stratosphère Antarctique était plus froide que par les années précédentes. Qu'en était-il de la température au sol en Antarctique ? Était-elle plus froide ou plus chaude ?

 

Cette année, il y a eu une tempête de neige record (24 pouces, je ne sais pas quand) en Antarctique, selon ce qui a été rapporté sur le forum. Y a-t-il vraiment un lien avec un refroidissement moyen de la troposphère en Antarctique (si refroidissement il y a eu) ?

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Quelques questions...

 

S'il fait plus froid dans la basse stratosphère de l'Antarctique une année, est-ce que ce sera aussi le cas dans la basse stratosphère Arctique ? Pas sûr, surtout que la température stratosphérique dépend du transport vertical de chaleur provoqué par les systèmes météo.

 

À l'hivers 2006, la basse stratosphère Antarctique était plus froide que par les années précédentes. Qu'en était-il de la température au sol en Antarctique ? Était-elle plus froide ou plus chaude ?

 

Cette année, il y a eu une tempête de neige record (24 pouces, je ne sais pas quand) en Antarctique, selon ce qui a été rapporté sur le forum. Y a-t-il vraiment un lien avec un refroidissement moyen de la troposphère en Antarctique (si refroidissement il y a eu) ?

la tempête de 24po etait du a opposition massive d'une masse d'air chaud et humide descendant du pacifique et d'une masse d'air froid et sec de l'antarticque. les vents ce sont mis de la partit la masse d'air chaud c'est refroidi et monta en altitude le ratio neige/eau furent très élevé et l'humidité fut vite dissiper mais deposa au sol un accumulation spectaculaire en moins de 30 heures.

Modifié par colapster89
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[...] Les centres nationaux de prévision environnementale de la NOAA ont analysé les observations des températures stratosphériques relevées par les satellites et les ballons-sondes, et à la fin du mois de septembre 2006, les températures de la basse stratosphère au bord de l'Antarctique étaient inférieures d'environ 12,7 degrés Celsius à la moyenne, entraînant une augmentation de la superficie du trou qui est passée de 3,1 kilomètres carrés à 3,8 kilomètres carrés. La stratosphère de l'Antarctique se réchauffe avec le retour de la lumière solaire à la fin de l'hiver polaire et grâce à de vastes systèmes météorologiques (ondulations à l'échelle planétaire) qui se forment dans la troposphère et remontent dans la stratosphère. [...]

...

Des trous d'ozone de 3,1 et 3,8 km carrés... Y'a pas une erreur ici ? Ça me semble très petit.

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[...] Les centres nationaux de prévision environnementale de la NOAA ont analysé les observations des températures stratosphériques relevées par les satellites et les ballons-sondes, et à la fin du mois de septembre 2006, les températures de la basse stratosphère au bord de l'Antarctique étaient inférieures d'environ 12,7 degrés Celsius à la moyenne, entraînant une augmentation de la superficie du trou qui est passée de 3,1 kilomètres carrés à 3,8 kilomètres carrés. La stratosphère de l'Antarctique se réchauffe avec le retour de la lumière solaire à la fin de l'hiver polaire et grâce à de vastes systèmes météorologiques (ondulations à l'échelle planétaire) qui se forment dans la troposphère et remontent dans la stratosphère. [...]

...

Des trous d'ozone de 3,1 et 3,8 km carrés... Y'a pas une erreur ici ? Ça me semble très petit.

en effet il manque le mot millier

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voici un article d'ACW

 

Winter Bites Hard in SW Asia

Monday, January 14, 2008

 

--South West Asia:

 

Bitter cold, snow (be it unusually heavy or merely to have happened at all) and wetting rain have all marked the stormy winter weather that has dominated the first half of January from central Asia to the Red Sea. Tales of immobilizing snow and harsh cold in Iran as well as rare snow from Baghdad to Arar, northern KSA, have found their way onto the world`s newswires, as has the flash flooding that swept Makkah, KSA.

 

 

A thinning out of snow late last week raised bitter cold to fore as the prominent weather aspect Monday. Here are a few highlights:

 

Turkey: Erzurum...-25 F/-31.8 C; Kars...-26 F/-32.2 C

Iran: Quchan...-7 f/-21.4 C; Tehran...16 F/-9 C

Kazakhstan: Atbasar...-37 F/-38.1 C

Uzbekistan: Buzaubay...-23 F/-30.3 C

Turkmenistan: Ekezhe...-20 F/-28.8 C; Turkmenbashy...-5 f/-20.6

Iraq: Baghdad...28-30 F/-2 to -1 C; Basrah...30 F/-1 C

KSA: Guriat...20 F/-6.8 C (Turayf also -20 F)

Jordan: Ma`an...17 F/-8.4 C

 

 

Also, new water equivalent in heavy, wet snow, since last Thursday, rose to 3.8 inches (9.7 cms) at Bandar-e Anzali, Iran. This was sea-effect snow off the southern Caspian Sea. I can believe that snowfall in this area (further inland and along the northern foot of the Elburz) has reached two meters or more since the start of the year.

 

 

Rainfall was nearly 2 inches (about 4 cms) on the island of Abu Musa, between Iran and UAE.

 

--Tuesday will start very cold, much like Monday, over northern Arabia through central Asia. A deep trough, aloft, that has lately instigated and anchored the cold wave will begin shifting eastwards and northwards, which means that the cold will soon begin to lessen over the area as a whole.

 

 

There have been `whispers` of snow forecast for central KSA (near or somewhat south of the Riyadh-Makkah highway). Some of the talk may have begun with AWDC (this Website). There will be a moist corridor breeding cloud and some rain from the northern Tihamat coast northeast to the southern shore of the Gulf. While it will be cold in the interior of Arabia where the rain does fall, I do not foresee snow. The again, hilltops in this area lie above 1000 meters (above 3300 feet)--maybe I will be among the surprised!

 

 

The cloudy, damp corridor over KSA will feed further rains from the southeastern Gulf (KSA, Qatar, UAE, northern Oman) northeast through southeastern Iran. In higher ground over Afghanistan through western and northern Pakistan, snow will be favored over rain within this wet corridor. Most will end from the southwest Wednesday and Thursday.

Updated: 1/14/2008 4:21 PM

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principalement parce que j'adore éplucher l'actualité et tomber sur des articles interessant comme celui-ci http://www.space.com/scienceastronomy/0605...n_conveyor.html

 

secondement j'adore lire et je vien d'avoir LE livre sur la météo jai des données jusqu'en 1420 cela va grandement aider pour la réalisation de mon dossier sur les changement climatique NATURELLE et en passant même mars,jupiter,sature,titan se sont réchauffer au cours des années 1980-2007 vous aller me dire la conséquences du réchauffement climatique causer par l'homme ;) je ne crois pas ^_^

Modifié par colapster89
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ok je crois que j'ai vraiment que je vais retranscrire mon livre sur le forum combien c'est interessant et que c'est introuvable sur le NET... mai bon je vais vous donner les meilleur passage comme:

 

Le réchauffement du 20e siècle: depuis le temps frais qui a marqué la fin du 19e siècle, la température teresstre moyenne a augmenter d'environ 0,3-0,6 degrer. dans l'hémisphère nord,cette hausse s'est manifestée surtout DURANT LES DÉCENNIES 1920 et 1930 ,ainsi que depuis 1980,suivi d'une pause, voir d'un léger rafraichissement entre les décennies 1940-1970.Le réchaufement est inégalement réparti à la surface du globe,il est plus marquer dans des pays septentrionaux l'hiver comme en sibérie. En revanche, l'océan atlantique nord, au sud du groenland montre un rafraichissement marqué depuis les années 1950,ainsi que le pacifique nord central.
Modifié par colapster89
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ok je crois que j'ai vraiment que je vais retranscrire mon livre sur le forum combien c'est interessant et que c'est introuvable sur le NET... mai bon je vais vous donner les meilleur passage comme:

 

Le réchauffement du 20e siècle: depuis le temps frais qui a marqué la fin du 19e siècle, la température teresstre moyenne a augmenter d'environ 0,3-0,6 degrer. dans l'hémisphère nord,cette hausse s'est manifestée surtout DURANT LES DÉCENNIES 1920 et 1930 ,ainsi que depuis 1980,suivi d'une pause, voir d'un léger rafraichissement entre les décennies 1940-1970.Le réchaufement est inégalement réparti à la surface du globe,il est plus marquer dans des pays septentrionaux l'hiver comme en sibérie. En revanche, l'océan atlantique nord, au sud du groenland montre un rafraichissement marqué depuis les années 1950,ainsi que le pacifique nord central.

Bah, je ne suis pas un spécialiste de l'océan Atlantique Nord mais ca semble logique qu'elle se refroidisse un peu si les glaciers fondent beaucoup...non???

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ok je crois que j'ai vraiment que je vais retranscrire mon livre sur le forum combien c'est interessant et que c'est introuvable sur le NET... mai bon je vais vous donner les meilleur passage comme:

 

Le réchauffement du 20e siècle: depuis le temps frais qui a marqué la fin du 19e siècle, la température teresstre moyenne a augmenter d'environ 0,3-0,6 degrer. dans l'hémisphère nord,cette hausse s'est manifestée surtout DURANT LES DÉCENNIES 1920 et 1930 ,ainsi que depuis 1980,suivi d'une pause, voir d'un léger rafraichissement entre les décennies 1940-1970.Le réchaufement est inégalement réparti à la surface du globe,il est plus marquer dans des pays septentrionaux l'hiver comme en sibérie. En revanche, l'océan atlantique nord, au sud du groenland montre un rafraichissement marqué depuis les années 1950,ainsi que le pacifique nord central.

Bah, je ne suis pas un spécialiste de l'océan Atlantique Nord mais ca semble logique qu'elle se refroidisse un peu si les glaciers fondent beaucoup...non???

Toute proportion garder, la "fonte" (hypotétique de nos jours) du groenland dans l'océan équivaudrait a un glacon plus petit qu'un grain de sable dan un verre d'eau de 1Litres

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