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Tangihia

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Posts posté(e)s par Tangihia

  1. Bonjour,

    La 2ème est bien plus juste, quoique incomplète.

    Pour que le sol se refroidisse et que le brouillard se forme, il convient, dans la majorité des cas, que le ciel soit dégagé (sinon "effet couette" des nuages qui retiennent la chaleur du sol qui a envie de s'échapper vers le ciel. Et puis il faut aussi que le temps soit calme (vitesse du vent nul ou, de préférence, très faible, pour brasser l'air, sinon l'humidité se dépose en rosée). Voilà résumés quelques ingrédients de "la recette du brouillard".

  2. Je suis souvent critique par rapport à la gestion des "Vigilances" (d'ailleurs, pour moi, il devrait y avoir 2 étapes : la "mise en Vigilance", le plus tôt possible et ça peut aller jusqu'à 2 ou 3 jours avant, et l'"Alerte", 3 à 6h avant l'évènement de préférence).

    Cette fois, je ne peux qu'approuver la façon dont la "Vigi Orange" neige et verglas a été managée dans un contexte difficile. Une perturbation un peu bizarre, à la trajectoire hésitante, pas très active mais aux conséquences potentielles sérieuses, à la veille des mouvements du Jour de l'An, avec la région parisienne dans le collimateur. Quelques millimètres de verglas, c'est trois fois rien en activité mais une bombe si étendue dans un secteur très peuplé et actif.

    D'ailleurs le public a dû être épaté car l'annonce est cette fois partie très tôt, alors que le ciel est resté dégagé plusieurs heures sur l'Île de France.

    Bien joué !

  3. Encore une remarquable initiative de .Christian Je me régale à l'avance de découvrir l'Hiver au Québec que j'ai visité - enfin ! - avec grand plaisir (mais souvent sous la pluie !...) du 13 au 20 juin de cette année.

    Alors, "cousins", à vos images et vidéos de chutes de neige spectaculaires, de blizzard, de "poudrerie" !

    Amitié à vous tous depuis Grenoble.

  4. Romain, comment fais-tu pour trouver des situations "analogues" ?

    Perso, j'y crois mais pour le très court terme, pour compléter les sorties modèles en mettant en relief ce qui a pu se produire dans des configurations très proches (un "pense-bête" en somme). Le pb est de trier les situations du passé pour obtenir une analogue vraiment "objectivement" valable (ce qui impose de définir des critères pour plusieurs paramètres, et ça n'est pas simple - certains se servent des "ACP" - analyse des composantes principales).

  5. Voilà deux ou trois fois que MF dégage au cur de la surface "Jaune" une plage en "Orange" pour les vigilances orages. Et ça a très bien fonctionné. Ce jour encore apparemment.

     

    Fin mai ou début juin, lors d'une longue période orageuse, j'avais émis l'opinion, ici-même, qu'il était un peu facile, voire peu responsable, mais surtout sans intérêt pour les services de sécurité, de reconduire de jour en jour de vastes secteurs "Jaune" alors que, à l'époque, il était flagrant que de l'instabilité orageuse intense et soutenue se produisait - logiquement - le long des limites de masses d'air, assez souvent bien décelables, bien prévues par les modèles.

     

    La nouvelle façon de procéder semble valider mes réflexions.

  6. L'appréciation positive de lefevre.65 est encourageante ; la parole d'un orfèvre est d'or.

    C'est une fois de plus l'autre Christian (CP) qui a eu le mérite de confectionner tout cela. Je suis, par ailleurs, bluffé par MétéoAlerte.

    Merci donc à CP pour ses applications extrêmement utiles.

    Merci à CL pour ses interventions toujours très pointues en aérologie.

    Une dream team de Christians en somme.

  7. En tout cas, je tiens à rendre ici un hommage appuyé à Christian Pagé pour ses applications, et tout spécialement pour l'exceptionnelle "MétéoAlerte", et à d'autres comme "MétéoCiel"... Grâce aux amateurs bénévoles, on peut suivre, avec une grande précision, et en temps réel, tout ce qu'il se passe autour de nous. Ça c'est du boulot, ça c'est de la "Qualité, sans label mais bien concrète.

    Vous avez dit "Veilleurs du Temps" ? Je me marre... enfin, jaune (et ce n'est pas de la vigilance mais de la désespérance).

  8. En ce moment sur la carte de "Vigilance" : "fortes précipitations ponctuelles... sur les Alpes frontalières". Le "ponctuel" est insolite quand on peut imaginer que toute la frontière et les bassins supérieurs proches sont noyés depuis plusieurs jours par un exceptionnel épisode de Lombarde qui rappelle celui de juin 1957 (avec, également - spécificité saisonnière - la fonte des neiges en facteur aggravant).

     

    Enfin !...

  9. Réponses intéressantes. Oui, les crues sont subtiles, plus que le commun des mortels ne peut l'imaginer. La réunion de deux "subtilités" sur une même carte manque peut-être de lisibilité. Mais je ne me prononce pas. Après tout c'est un compromis à tester.

     

    Par contre les "curiosités" de la carte de Vigilance au plan strictement météo, me déconcertent...

     

    Et je réclamerai, une fois de plus, des pictos pour le "Jaune", comme partout ailleurs en Europe. Consternante "exception française" !

  10. Rebelote ce matin.

     

    Comment peut-on expliquer toute la France en "jaune" sauf l'Indre en "orange" (crues) et, juste en dessous, la Creuse en... "vert".

     

    OK, je pige pour l'Indre. Mais ça pose tout de même le problème de la superposition de phénomènes de tempo différent. On pourra, p.ex., garder des crues sur la Saône pendant 1 semaine quand le ciel est tout bleu par ailleurs. Le risque météo est le plus souvent (et c'est préférable !) un risque "annoncé", alors que celui de crue peut-être "constaté" (l'Indre aujourd'hui). D'accord, s'il y a crue, le risque de maintien ou d'accentuation est lié à la météo qui le pilote. En tout cas, ce n'est pas le "vert" météo de Creuse qui menace beaucoup le "orange" de crue de l'Indre, puisque le flux reste au sud... Passons, cette dissociation météo/crue n'est pas le plus important. Mais le mieux serait peut-être... 2 cartes.

     

    Quant au "vert" sur la Creuse dans un océan de "jaune", c'est inadmissible. Comment, dans ce contexte, la Creuse pourrait-elle échapper aux risques qui l'entourent (c'est la répétition de Tchernobyl dont le nuage passait d'Italie à Monaco sans survoler la France !). Ça n'est pas sérieux. Est-ce à dire que la Creuse a imposé (négocié !?!) son "vert" avec Toulouse ?

     

    Pour moi, c'est clair et sans appel : en situation de crise il doit n'y avoir qu'une seule autorité, une seule solution, celle du niveau national (après consultation des centres régionaux pour avis). Et je repose la question : comment peut-on encore aboutir à ces dysfonctionnements au bout de 10 ans de "démarche Qualité" ?

  11. Je ne comprends pas comment on peut avoir une France toute "jaune" quand, manifestement, il existe des discontinuités dans le domaine (les fronts, ça existe !). En consultant la carte des RR24 d'hier une bande de précipitations assez intense ressort de façon flagrante, traduisant cette hétérogénéité du contexte.

     

    Avant hier, 3 ou 4 départements des Alpes du Sud sont restés imperturbablement en "Vert" dans un océan de "Jaune", une grande partie de la journée (étrange oasis de sérénité dans ce flux instable de Sud généralisé !). Bilan : des inondations dans les Hautes-Alpes... aussi.

     

    Et quand je pense que pendant ce temps-là les CDMs continuent à perdre du temps à comparer les modèles venus de partout quand le modèle français, un des tout meilleurs, suffit largement. Ils y cherchent des détails bien futiles (et illusoires, puisque c'est après que l'on sait si tel ou tel était le meilleur du jour). D'abord, ce n'est pas de leur compétence. Ensuite, je croyais que le "TSR" devait donner le "la" de la situation synoptique à respecter impérativement. Il n'en est rien. Après 10 ans de "démarche Qualité" ! L'usager/client attend, tandis que cette cuisine bien inutile se mitonne dans chaque département.

  12. Cpweather propose un rapprochement. C'est exactement l'idée qu'il m'était venue. Je ne pensais pas à MétéoSud-Est, que je découvre à cette occasion, mais à InfoClimat ou à d'autres. Puisque ce forum est reconnu comme un "haut de gamme" technique, ne pourrait-il devenir un lien à proposer en tant que tel.

     

    Je découvre d'ailleurs avec plaisir sur MétéoSud-Est ces graphiques d'écarts aux normales que j'essaye en vain de promouvoir depuis de longues années. Cpweather sait bien sous quelle présentation j'aimerais les voir offerts.

  13. Très intéressants apports sur le "comment" sinon le "pourquoi" (that is the Question !...) du récent été qu'il faut bien qualifier de "pourri" dans bien des régions de France.

    Mais je pose une question, qui rejoint d'autres de mes interventions : pourquoi faut-il donc aller chercher les produits de la NOAA pour étayer ces analyses ? pourquoi MF lui-même utilise-t'il des cartes de l'agence américaine dans son bilan de juillet (très pertinent par ailleurs) ?

  14. J'ignore si cet angle d'attaque du pb est juste. Il a au moins le mérite de sortir des sentiers battus (les découvertes sont souvent faites par ceux qui osent s'écarter du chemin balisé, où tout a été vu et revu, non ?). Pourquoi pas cette influence astrale quand on sait qu'un "papillon"... Quant à la concordance "régimes méridiens accusés et fréquents" et "dopage des cyclones", je trouve cela très logique.

  15. Cette réponse me convient énormément. Pourquoi ? Parce qu'elle explose la "pensée unique", ce que j'appelle aussi "les idées en uniforme" (malgré le "progressisme", la "rébellion" si souvent affichés ; elles s'appliquent pourtant à tellement de domaines, mais c'est un autre débat !...). Vous avez compris que ça me va bien, très bien même...

     

    Déjà, il y a sur le fond une vraie réflexion perso, différente... Je n'ai pour ma part jamais examiné les relations entre "temps qu'il fait" (ou "a fait") et "activité solaire". Approche intéressante, peu orthodoxe, ms qui semble pertinente (l'exemple de février 56 est particulièrement saisissant). Les "marées solaires" en relation avec une mise en place de régimes méridiens ou zonaux m'intriguent (parce que je découvre...). R. Cazalens, lui, sait manifestement de quoi il parle, donc aucune raison - bien au contraire - de ne pas s'intéresser à sa démarche, son expérience, ses "découvertes".

     

    Le couplet final sur l'étendue des périodes de référence me convient moins. Mais en fait, je pense qu'on n'évoque pas la même chose, qu'on ne recherche pas le même outil.

     

    Certes, je suis plutôt d'accord que pour mettre en évidence des "dérapages" ("anomalies") on peut se contenter des "normales". D'ailleurs, le climat évoluant, je pense que pour en saisir les fluctuations (et notamment certaines manifestations extrêmes) il faut comparer à ce qui est comparable ("on ne mélange pas les serviettes et les torchons"). En clair, si on prenait comme référence d'aujourd'hui une "normale" (30 ans) extraite du Petit Age Glaciaire, on aurait tout faux. Les "glissades" de maintenant sont à repérer dans le climat de maintenant (les dernières 30 années, qui n'ont plus grand chose à voir avec les 30 années précédentes).

     

    Par contre, pour pouvoir situer - scientifiquement et pédagogiquement (faire bien comprendre au public le caractère excessif, l'impact vraisemblable de l'homme, pour "sensibiliser") - il me paraît indispensable de procéder, comme tous les autres pays développés qui vont puiser leurs références aussi loin qu'ils peuvent (à quoi servirait-il alors de mobiliser autant de moyens pour faire des "carottages" de plus en plus profonds en Antarctique ?), à un examen le plus lointain possible des données du passé (ce qui implique de la rigueur mais pas une "précaution" stérilisante).

     

    En somme, il y a plusieurs échelles de temps pour des usages différents mais néanmoins complémentaires. Les "normales" pour une détection fine des aléas récents, à inscrire dans le "climat du jour" (on sait bien que, grosso modo, la période 1950-1980 dégage un caractère propre, comme celle qui court depuis un autre ; elles sont donc bien typées, identifiables et il est logique que, dans ces sous-ensembles, on s'attache à réaliser des comparaisons sectorielles). Et puis, l'échelle "historique", où l'on se doit d'utiliser toutes les références fiables, critiquées, depuis que l'homme mesure (le superbe travail d'E. Leroy Ladurie p.ex.). Enfin l'échelle "astronomique" dont le début commence... avec la Terre elle-même.

     

    J'ai lu récemment un article selon lequel les Britanniques positionnaient cet été, qu'il faut bien plus qualifier de "pourri" que de "maussade" (précaution sémantique !?!...), comme le plus pluvieux depuis le XVIIIème (ancien record de 1789 battu !). Quant aux Hollandais, leur mois de janvier de cet année fut le plus chaud depuis... 1706 ! Je persiste et signe : MF est dérisoire avec sa "profondeur" de 57 ans. La France serait-elle un pays en voie de développement météo ? Le Verrier doit s'agiter...

  16. Si j'ai bien compris, Brest a recueilli 3 fois plus d'eau que la normale en ce dernier mois de juillet. Son insolation est une des toutes plus faibles mesurées. La température max a été assez nettement inférieure. Le vent, sûrement pas un facteur améliorant, vu la proximité de l'"anomalie" négative de pression accusée des parages Irlande...

    Ca dure depuis 3 mois !...

    Brest n'est pas un cas isolé.

    Moyenne en France ? Si la moyenne mélange l'extrême SE surchauffé et le reste plus ou moins pénalisé, on obtient un résultat contestable. Il faut au moins analyser région par région.

    Enfin, on n'est rien moins que dans l'"habituel". Les gens le savent bien, eux.

  17. Réponse argumentée, modérée et avec une prise de distance de bon aloi. Je n'ai pas ces intentions...

     

    "Il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre,

    Ni de réussir pour persévérer"

    Guillaume d'Orange

     

    Si les premiers prévisionnistes s'étaient effrayés de leurs erreurs, s'ils avaient recherché la perfection d'emblée, ils auraient sans délai laissé tomber leur audacieuse ambition de comprendre et prévoir l'évolution du temps.

     

    Désormais, le "principe de précaution" est devenu un "principe de non diffusion", pour ne pas dire un "principe de démission"...

     

    On s'invente des index sophistiqués, tellement qu'ils gomment tout un pan du passé récent, depuis le milieu du XIXème. Encore une manifestation de cette "exception française" qui nous sert de substitut à nos insuffisances et alimente notre prétention de "lumière du monde" ("la patrie des Droits de L'Homme" se fait pourtant taper sur les doigts par les instances internationales pour la médiocrité du traitement de ses prisonniers !...). Oui, j'évoque cette moyenne sur 22 stations, fantasme technocratique d'idéal. Ainsi, on se ridiculise en fixant arbitrairement l'origine de la climatologie française à... 1950.

     

    Le respect du public n'est pas dans la pusillanimité mais dans la rigueur et la transparence. Une échelle des écarts aux normales a-t'elle été fixée pour décrire l'intensité de normalité ou anormalité pour chaque paramètre ? Non. "Nuageux", ça veut dire quoi au juste ? Flou artistique pour obtenir l'indulgence d'un public qui l'est trop ? En tout cas, il y a tellement de combinaisons possibles entre le "nuageux" de MF et celui des gens, que la clarté est loin d'y trouver son compte. Ce n'est qu'un exemple du manque de volonté de précision dans l'expression. A quoi bon faire croire, alors, qu'on est le service le plus sérieux du monde en ne délivrant que des bilans climatologiques asseptisés, tellement qu'ils en deviennent insipides. Pour moi, le doute fait partie intégrante d'une information responsable, tant en prévision qu'en climatologie, pas le "doute-parapluie", le "doute-complément", le "doute-enveloppe" des solutions possibles et de leurs conséquences éventuelles, celui qui permet à l'usager de mûrir sa décision en toute connaissances de cause. En climatologie, ça signifie qu'on utilise tout ce qui existe, sans se lier les mains, mais en mettant sur la table les incertitudes repérées, possibles. La NOAA dit que les 10 dernières années du XXème furent les plus chaudes depuis l'origine des mesures, vers 1850. Ce tir groupé autorise à penser qu'il faut probablement, compte tenu des connaissances (Leroy-Ladurie, toutes les disciplines concernées), remonter vers les siècles entourant l'An Mil pour trouver plus chaud, peut-être... Ca a une autre gueule que "1950" !

  18. Très intéressante réponse.

     

    Je sais que MF a fait un gros travail d'homogénéisation et est parvenue à reconstituer des séries très longues et sérieuses à partir des années 1860. Et pourtant MF se ridiculise en annonçant des records depuis... 1950. Tous nos voisins remontent bien plus loin dans le temps. On donne ainsi l'impression de ne pas savoir faire aussi bien. De plus, des records depuis 1950, ça ne frappe guère les esprits, alors que ce serait un acte de sensibilisation et responsabilisation supplémentaire d'annoncer des records plus spectaculaires. Ex : on peut dire que les records de chaleur de l'automne 2006 et hiver 2006-07 n'ont jamais été atteints depuis le milieu du 19ème, début des séries fiables. Ce qui signifie - "petit âge glaciaire" aidant - qu'il est très vraisemblable que ces records n'ont pas d'équivalents depuis les années 800/1300 au minimum. Banalisation !...

     

    Qd Yves Calvi (C dans l'Air) reçoit des météos pour tirer le bilan d'une période assez détestable (août 06, il me semble), qu'il se tourne vers le représentant de MF en disant : "vous allez encore me dire que c'est normal...", c'est tout à fait symptomatique. Le préposé de MF répond qu'effectivement il n'y a rien d'inhabituel (pourtant fraîcheur, [/u]vent, déficit marqé d'insolation...). Banalisation !...

     

    Récemment, Olivier Gazi sur F2 était désespéré d'entendre, malgré son insistance, le prévi lui expliquer de façon très besogneuse et opaque que non rien n'avait changé sous le soleil. Banalisation !

     

    Je sais que les médias sont dans la démarche plutôt inverse, mais enfin, quand l'Est de l'Europe bat des records de chaleur depuis des semaines, quand la GB fait de l'apnée simultanément, il y a sûrement mieux à faire que de venir sans carte ("anomalies"), sans graphiques (cumuls de RR et écarts, TnTx et écarts, insolation et écarts...) expliquer que tout va bien (ce sont les professions du tourisme qui se prennent des "claques" qui doivent apprécier !). Non, je considère que la Com de MF est très insuffisante. D'ailleurs, le responsable de la Com est un commercial, si je ne m'abuse. Je suis pour une "Com commerciale" et une "Com de service public". Pas les mêmes "valeurs" (dans tous les sens du terme !), vous comprenez ?

     

    Si l'insolation de juilet a été minable, c'est tout de même essentiel. Qu'attend-on des mois d'étés justement ? Faut pas en rester aux traditionnelles températures. Sûr que les moyennes ne sont pas catastrophiques, parce que les max sont 1 à 2 ° en dessous, mais que les min doivent être plutôt assez hautes (grâce à la nébulosité). Des millions de gens ont vécu un juillet minable (tous paramètres considérés, fréquence des précipitations également), MF répond : "on est dans la variabilité interannuelle". Banalisation technocratique !...

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