Bonsoir à tous. Tout d'abord un grand merci à Lefèvre.65, Hervé et jean-Louis, pour leur patience et la générosité dont ils ont fait preuve dans leur réponse. A la lecture de ces dernières, j'ai bien peur qu'il ne me faille faire comme les vaches pour digérer, c'est-à-dire ruminer longtemps, afin de bien les assimiler ! Je pense faire ça demain, tranquillement. Pour le dessin, il a été fait à la va-vite, sans tenir compte le moins du monde, veuillez pardonner ma négligence, de la cohérence de celui-ci avec les idées que je voulais exprimer. En attendant que mes neurones se mettent au travail, j'aurais encore 2 petites questions à formuler : 1 - En admettant que l'émagramme présente en plaine une inversion de subsidence bien marquée, que devient-elle sur le plateau ? 2 - L'altitude du point de condensation de nuages cumuliformes en plaine peut être trouvée à partir du RS en faisant concourir le point de rosée et le point de température maxi prévu à la station, chacun d'eux suivant respectivement la ligne de rapport de mélange et l'adiabatique sèche. Sur le plateau, si l'on dispose par exemple du point de rosée et de la température au sol, peut-on appliquer "bestialement" la formule d'espy : H=122(T-Td) ?... sachant qu'elle ne s'applique, me semble-t-il, que dans le cas de cumulus en début de formation. Au fait, peut-on l'utiliser en cas de thermiques bleus ? Merci à vous et très bonne soirée. Greenhouse.