JAKOTE34 Posté(e) le 24 mai 2004 Signaler Partager Posté(e) le 24 mai 2004 Bien le bonjour a vous tous. Cet article n'est pas nouveau mais invite a la prudence quand aux orientations a venir en matiére climatique et aux futures "mutations stratégiques "a venir.D'autres articles se trouvent sur les moteurs de recherche quand aux éventuelles modification des hautes couches de l'atmosphére et ionosphére par des procédés électro-magnétiques. Bonne lecture. A+ La maîtrise du climat comme perspective ou comme fantasme Cette question ressort dun projet connu outre-Atlantique sous le nom de H.A.A.R.P., qui a suscité ces temps-ci un certain nombre dinquiétudes et de dénonciations dans son pays dorigine. En Europe, bien que le groupe des Verts au Parlement européen se soit discrètement saisi de laffaire, la connaissance de H.A.A.R.P. et la prise de conscience de ses implications ne semblent pas, pour lheure, aller au-delà dun très petit nombre de personnes lucides et informées. On trouve pourtant, publiés sur lInternet, un bon nombre de documents, au demeurant dintérêt variable, qui traitent de ce projet, dont certains en langue française. Les considérations qui suivent sappuient principalement sur le travail de Luc Manpaey et sur le rapport de Rosalie Bertell, distribué lors de laudition publique au Parlement européen du 5 février 1998[iI]. En apparence, la question du climat et de son appropriation techno-marchande nest pas lenjeu principal du programme HAARP. Elle sen détache pourtant sous la forme de supposés bienfaits pour la société civile de ce qui est dabord, à nen pas douter, une recherche dordre militaire. La maîtrise du climat y fait simplement figure de bénéfice secondaire, ou plutôt de produit dérivé[iII] qui serait, si le programme parvenait à ses fins, analogue à ce que le nucléaire civil est au militaire. A vrai dire, si lon sen tient à la communication officielle diffusée au sujet de HAARP, celui-ci ne serait même quun innocent programme de recherche fondamentale en vue dune meilleure connaissance des phénomènes à luvre dans cette partie de la haute atmosphère connue, depuis les années 1930, sous le nom de ionosphère. Mais les auteurs précédemment évoqués nont pas manqué de débusquer, derrière cet alibi officiel, une initiative dordre stratégique, tant défensive quoffensive, laquelle sinscrit dans la continuité dun grand nombre de projets ou dexpérimentations militaires menés par les Etats-Unis depuis la fin des années 1950[iV]. Pour lheure, la chose se présente donc sous la forme dune pure recherche scientifique, dont la finalité technique immédiate est, de toute évidence, dordre militaire, mais laissant présager une exploitation marchande à court ou moyen terme. Les techniques de modification de lenvironnement à des fins militaires constituent un secteur de la recherche sur lequel nexistent que de maigres informations qui doivent, en quelque sorte, être reconstituées par recoupements, car elles tendent à se dissimuler derrière dautres projets. Pourtant, note Luc Manpaey, « aux Etats-Unis, dès les années 1950, des rapports ou déclarations officielles reconnaissaient lintérêt militaire des techniques de modification des conditions climatiques []. Depuis, les recherches en direction dune maîtrise et dune manipulation des éléments naturels nont jamais cessé. Tout au plus, la Convention de 1977 sur linterdiction dutiliser des techniques de modification de lenvironnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles a-t-elle ralenti lallure des travaux, ou du moins leur publication »[V]. Bien que discrètes, certaines sources dinformation restent dailleurs publiques, comme cette étude baptisée Air Force 25, dont lun des rapports sintitule : Weather as a Force Multiplier : Owning the weather in 2025. Présenté officiellement comme une pure recherche scientifique, mais en réalité sous contrôle exclusivement militaire[VI], le programme HAARP High Frequency Active Auroral Research Programm ¾ sinscrit de toute évidence dans ce regain dintérêt pour les techniques de manipulation environnementale, observable aux USA depuis le début des années 1990. Lun des objectifs de HAARP vise à garantir linfaillibilité des systèmes de télécommunications et de la maîtrise de lair et de lespace. Doù lintérêt pour cette zone précise de la haute atmosphère, située au-dessus de la stratosphère à une altitude comprise entre 60 et 500 Km de la surface terrestre et constituée de particules ionisées hautement chargées en énergie : lionosphère[VII]. Dans le programme HAARP, la recherche seffectue au moyen de manipulations locales sur la couche ionosphérique à partir dune gigantesque installation de 48 émetteurs sur un site localisé en Alaska et nommé Gakona. Notons en passant que lendroit recèle dimmenses réserves gazières et pétrolières appartenant à une société connue sous le nom dArco, également propriétaire des brevets technologiques de HAARP et jouant, dans cette affaire, le rôle de financier écran. Jusquà présent inexploitées en raison de leur distance des lieux de consommation, ces réserves énergétiques trouvent donc leur emploi industriel, en alimentant les turbines des émetteurs. En attendant mieux, ce sont dores et déjà 95 tonnes de diesel qui sont ainsi brûlés chaque jour dans un espace jusqualors préservé de la plupart des pollutions courantes. Si ce médium ionisé quest la couche ionosphérique assure sans défaillance ¾ au moins jusquà maintenant[VIII] ¾ sa fonction première de protection de la biosphère, sa potentialité technique à réfléchir les ondes électromagnétiques nest pas, en revanche, dune totale fiabilité ! Différents facteurs naturels, notamment les variations du rayonnement solaire, peuvent modifier momentanément la composition de la zone ionosphérique par où transitent les signaux. De telles fantaisies dans la haute atmosphère sont parfaitement intolérables et doivent donc être réprimées. Cest, de toute évidence, lun des objets du programme HAARP. Mais on a aussi des raisons de penser que « des émetteurs HF au sol (radars ou émetteurs radio puissants) modifient aussi lionosphère et influencent les performances des systèmes dont les signaux traversent la zone de lionosphère qui a été perturbée »[iX]. En-dehors dune conception utilitariste et militaro-marchande du monde, il ny a évidemment aucun rapport entre ces ondes hautes fréquences émises depuis le globe terrestre et les variations du rayonnement solaire. En revanche, ces pollutions HF devraient, en toute logique, conduire à sinterroger sur le seuil de perturbation technologique qui pourrait affecter la fonction naturelle et protectrice de lionosphère. Mais cette question ne semble pas plus préoccuper la recherche soi-disant fondamentale que celle des effets sur la biosphère du milliard de téléphones portables aujourdhui en fonction. En résumé, « lintérêt de la station HAARP provient du besoin daccroître la fiabilité dun grand nombre de systèmes de communication, navigation et surveillance dont les signaux passent par lionosphère, mais aussi dexplorer des innovations technologiques qui suggèrent des applications telles que la détection dobjets souterrains, la communication à grande profondeur dans le sol ou les océans, et la génération démissions optiques et infrarouges »[X]. Le programme HAARP sinscrit en fait dans une perspective plus large, que résume le concept dEnvironmental Warfare, aujourdhui central dans la littérature militaire américaine. Les projets dintervention sur les climats, à plus ou moins grande échelle, et le fantasme de leurs applications bienfaisantes à la société civile sy trouvent explicitement mentionnés. Une thèse soutenue en 1996 par un certain Barry B. Coble à la Faculty of the School of Advanced Airpower Studies fournit une analyse des techniques de modification climatique présentement disponibles tout en donnant un aperçu des développements prochains. La principale technique actuelle paraît relativement bénigne et a connu diverses utilisations en agriculture pour réduire notamment les dégâts causés par la grêle. Il sagit du procédé densemencement des nuages au moyen de diverses substances (iodure dargent, chlorure de calcium entre autres) afin de retarder ou danticiper des précipitations, ou encore daccroître ou réduire une couverture nuageuse. La même technique permet aussi dagir sur le développement ou la dispersion des brouillards. Selon ce docteur ès manipulations climatiques, les perspectives futures dopérations militaires choisissant cette stratégie devraient sorienter dans les directions suivantes : « modifier la quantité dénergie solaire disponible par lintroduction de matériaux destinés à absorber ou réfléchir le rayonnement solaire ; échauffer latmosphère par des moyens artificiels depuis la surface terrestre ; modifier le mouvement des masses dair par des moyens artificiels ; influencer lhumidité en augmentant ou en retardant lévaporation ; modifier les processus de formation des nuages et provoquer des précipitations en utilisant des agents chimiques »[XI]. Parmi les manipulations atmosphériques imaginables lors de futures hostilités et signalées par un autre auteur, on retiendra particulièrement celle-ci : « la destruction totale et temporaire de la couche dozone au-dessus dun territoire ennemi afin de permettre à des niveaux dangereux de rayons ultraviolets datteindre le sol ; cette destruction pourrait être possible, selon Westling, par la libération contrôlée dun composé de bromure depuis des satellites en orbite ». La chose paraît dautant plus possible quil nen aura pas fallu tant au capitalisme industriel pour déjà altérer gravement la dite couche dozone. En quoi se vérifie que lEnvironmental Warfare na rien dune utopie, mais trouve linspiration dune bonne partie de ses moyens dans léconomie dévastatrice. Dailleurs, dans le rapport Air Force 2025 déjà évoqué, qui est une étude commandée par lEtat-Major de larmée de lAir américaine, ses auteurs font valoir que toutes ces trouvailles en manipulations climatiques trouveront en retour leur application dans le champ économique, ce qui aura, selon eux, lavantage de lever bien des obstacles légaux dans le domaine stratégique. La recrudescence probable de catastrophes dites naturelles, associée à la pression démographique, constitue en quelque sorte le milieu idéal pour que se forme une demande économique favorable aux entreprises de modifications volontaires du climat. Dans cette perspective, la transformation de la pluie et du beau temps en marchandises profitables semble avoir, si lon peut dire, de beaux jours devant elle. Largument de nombreux climatologues, selon lequel le système climatique étant de nature hautement complexe et chaotique rendant parfaitement hasardeux, quant aux effets globaux, toute action humaine sur lun ou lautre de ses éléments, risque de ne pas peser lourd dans la balance face à une mentalité qui ne se soucie que du court terme et de ce quil rapporte. Quimportent les désastres, dès lors que lon peut vendre de pseudo-remèdes eux-mêmes porteurs de nouveaux désastres ! Lors des tempêtes qui ont balayé une partie de louest de lEurope en décembre 1999, messieurs Kessler et Jospin, respectivement vice-président du MEDEF et premier ministre de la France, nont pas manqué, depuis leur abri, de relever que ces aléas climatiques étaient loin dêtre défavorables à la croissance du produit intérieur brut. En tant que tel, le projet de maîtriser le climat a toute lallure du fantasme de toute-puissance et ne risque pas de saccomplir. Ce qui, en revanche, pourrait bien se mettre en place, cest un nombre croissant de manipulations climatiques locales, tant à des fins civiles que militaires, et ayant toutes chances daggraver lévolution dun système déjà inconsciemment déréglé par deux siècles dactivité industrielle intensive. Létat desprit qui transparaît dans les études et rapports américains sur le sujet éclaire parfaitement le refus de lactuel occupant de la Maison-Blanche de ratifier le si modeste accord de Kyoto, déjà si exorbitant aux yeux de ladministration Clinton. Pourquoi le premier des Etats voyous dune planète qui nen manque pas envisagerait-il de contribuer à restaurer, même modestement, un système quil a particulièrement contribué à détériorer, au moment où des perspectives de manipulation, tant stratégiques que lucratives, soffrent à son projet de domination planétaire ? MLG, Mars 2002 :Liste des titres publiés :Liste des titres en préparation :Tribune :e-mail :Page d'accueil :Comptes-rendus de publications -------------------------------------------------------------------------------- Luc Manpaey, Le programme HAARP, science ou désastre, Groupe de recherche et dinformation sur la paix et la sécurité, Website : www.grip.org. [iI] Rosalie Bertell, Background of the HAARP Project, document distribué à laudition publique du 5 février 1998 au Parlement européen. [iII] Au sens où lon désigne aujourdhui les prolongements, le plus souvent néfastes et toujours lucratifs, de toutes sortes de projets et entreprises. [iV] Rosalie Bertell, actuellement présidente de lInternational Institute of Concern for Public Health (Toronto, Canada) ¾ mais dont il est bon de savoir quelle fut aussi conseillère scientifique du Président Carter pour les technologies de défense dans les années 1970 ¾ apporte néanmoins un nombre considérable dinformations à ce sujet. Selon son rapport, le projet militaire de substituer à lionosphère un bouclier artificiel, doté du même potentiel de transmission des télécommunications, mais ¾ si on peut dire ¾ libéré des fluctuations et perturbations naturelles, ce projet donc remonte à 1958. Cest lépoque où lUS Navy aurait procédé clandestinement à lexplosion de trois bombes nucléaires à une altitude ionosphérique, au dessus de lAtlantique sud et à environ 1800 Km de la ville du Cap. Il ne sagissait que dévaluer les effets électromagnétiques de ce type dexplosion à très haute altitude sur les systèmes de télécommunication !... Dautres essais analogues auront lieu en 1962, suivis par ceux de lUnion soviétique. Dans sa communication, R. Bertell retrace la succession de projets déments et dexpérimentations insensées, et aussi des accidents survenus, tel celui davril 1986 dans le Nevada ayant entraîné de sérieuses retombées radioactives sur tout le continent nord-américain, lesquelles furent, sur le moment, attribuées à la catastrophe de Tchernobyl, survenue par un « heureux » hasard à quelques jours dintervalle. [V] Luc Manpaey, op. cit., page 6. [VI] Dont les vrais bailleurs de fond sont la Navy, lAir Force et le Département de la Défense. [VII] En deçà de lexploitation technique dont elle est lobjet, lionosphère joue un rôle fondamental de protection de la biosphère, notamment en fixant les particules chargées électriquement par les phénomènes dintenses ionisations qui caractérisent cette zone atmosphérique. « Le rayonnement solaire frappant un atome ou une molécule est partiellement absorbé par cet atome ou molécule, mais a une énergie suffisante pour lui arracher un électron, doù la production dun électron libre et dun atome chargé positivement » (Manpey, p. 12). Il en résulte, à une altitude denviron 80 Km, une couche atmosphérique conductrice, et propice à la réflexion des ondes radio, donc à leur transmission. [VIII] Une des questions posées par Nick Begich, lun des représentants dune totale opposition au projet HAARP, est celle-ci : « labsence dinformations satisfaisantes sur des sujets aussi controversés que limpact dondes à certaines fréquences sur les organismes, ou encore les conséquences potentielles dexpériences prolongées et plus agressives sur lionosphère, relève-t-elle dune volonté de dissimuler, ou plutôt dune ignorance de la réponse ? » (L. Manpey, page 44). [iX] Ibidem, page 18. [X] Ibidem, page 18. Parmi les applications possibles du projet HAARP, il faut aussi noter celle-ci, qui est de lordre de larmement psycho-technologique, mais aussi susceptible, en cas de force majeure, de servir au contrôle des populations, de celles que, dans la littérature militaire, on désigne sous le nom dennemi intérieur : dans son livre qui semble avoir eu quelque écho outre-atlantique ¾ Angels dont play this HAARP ¾ Nick Begich souligne que le type dondes utilisées dans le cadre de HAARP ont aussi cette vertu de provoquer dans le système cérébral la sécrétion de substances neuro-chimiques aptes à générer « un vaste arsenal de réponses et de comportements émotionnels ou intellectuels tels que des sentiments de peur, de dépression, de désir, etc. ». Lauteur se dit convaincu que cette potentialité ne peut pas ne pas être prise en compte dans le cadre dun tel programme. On le croit dautant mieux que la domination moderne sest annexée, pour les situations en temps de paix, une large panoplie de manipulations émotionnelles et sensorielles. [XI] Résumé donné par L. Manpey, op. cit., page 23. undefined undefined More... ADVERTISEMENT [Close] ADVERTISEMENT [Close] Click Here Citer Lien vers le commentaire Share on other sites More sharing options...
JAKOTE34 Posté(e) le 24 mai 2004 Auteur Signaler Partager Posté(e) le 24 mai 2004 Accueil | Nouvelles | Écologie | Vidéos | Recettes | Liens | Livres | Forums | Donations | Mon compte | Recherche Actualités | Archives Le projet HAARP : Après les manipulations génétiques, les manipulations climatiques ! 16/7/2001par François Blouin(Montréal, Québéc) Le projet Haarp (High-Frenquency Active Auroral Research) est un projet de plus de 30 millions US$ par années qui est installé depuis 1993 à Gakona, petite localité au nord-est dAnchorage en Alaska, et qui est mené par le département de la défense des États-Unis, le US Navy et le US Air force. Le Haarp project se présente pour les curieux comme étant de simples recherches sur la ionosphère pendant que les gouvernements tiennent actuellement dimportantes conférences et séminaires sur le dossier de plus en plus inquiétant des changements climatiques tel le réchauffement de la planète. La conférence sur leffet de serre tenue au mois de novembre dernier à La Hayes, regroupant plusieurs institutions mondiales et nationales, aurait tentée den arriver à un consensus concernant le protocole de kyoto, sur la réduction des gaz à effet de serre et destructeurs de la couche d'ozone. Le protocole qui avait été étudié par plus de 10 000 experts à travers le globe, proposait au départ une réduction générale des émissions de gaz dangereux pour l'atmosphère denvirons 5%. À la fin de la conférence, lobjectif de réduction serait descendu à 3%! Évidemment 2% de plus aurait sûrement fait chuter les profits des industries forestières et pétrolières!Même chose pour la conférence de Bonn et sûrement le même scénario pour la prochaine réunion sur lenvironnement en octobre 2001 au Maroc ; accord global sur le protocole quasi impossible et réunions sans conclusions. Quoi quil en soit, les problèmes majeurs concernant les changements climatiques ne se résumeraient peut-être pas à ceux que les gouvernements laissent croire au peuple, si on regarde de près les activités qui se déroulent actuellement en Alaska. Les scientifiques engagés par larmée américaine ont découvert quils pouvaient contrôler la température globale de la planète en envoyant des signaux haute-fréquences dans la ionosphère, plus précisément dans la ceinture de Van Allen (ceinture de radiations autour de la terre), à laide dinstruments et déquipements ultra sophistiqués. La ionosphère est la couche au-dessus de la stratosphère et elle est située entre 60 et 900 Km daltitude de la croûte terrestre. La ionosphère est constituée de particules ionisées hautement chargées en énergie et elle a un rôle vital pour notre planète étant donné quelle sert de bouclier électrique contre les vents et tempêtes solaires et galactiques, ainsi que les particules cosmiques à haute énergie, qui sont dommageables pour la vie terrestre. Sur le site du projet Haarp se trouve 48 antennes de 20 mètres de haut, chacune reliées à un émetteur générant 1 million de watts de puissance par antennes. La centrale sur le site, récemment achevée, permet à un bon nombre de scientifiques de se regrouper dans les labos à la fine pointe de la haute technologie américaine, le tout relié à l'un des ordinateurs les plus puissants de la planète, qui se trouve à l'université d'Alaska dans le Butrovich building. La zone ciblée de la ionosphère par les hautes-fréquences que les antennes de la base Haarp envoient, devient comme un miroir qui redirige des fréquences extrêmement basses (ELF :Extremely Low Frequency) vers la terre. Cest un peu comme si on créait un immense four micro-ondes dans le ciel dans un territoire précis de la ionosphère, et cest pourquoi on note un réchauffement global de la planète. Sans compter que les émetteurs des antennes sont alimentés en énergie par 6 turbines de 3,600 CV chacune brûlant 95 tonnes de diesel par jour, et émettant plus de 7 tonnes de matières polluantes dans lenvironnement par jour. Les écologistes et les groupes dactivistes environnementalistes sont non seulement conscients des conséquences du réchauffement global et des changements climatiques radicaux de la planète mais savent très bien que lune de ces conséquences serait la fonte du pôle nord et de la calotte glacière, et que les inondations à travers le monde dont on a été témoins jusquici ne serait quun apéritif! Latmosphère est fragile et si nous essayons de la manipuler à notre gré, il est inévitable que de très graves problèmes comme linversement des pôles, les feux de forêts, la détérioration de lair , des sols cultivables, de la faune, la flore, de la vie humaine et plusieurs autres conséquences écologiques désastreuses vont survenir. Selon le London Evening News (juin 1978), les météorologues signalèrent en 1977, entre la côte ouest des États-Unis et la frontière soviético-polonaise, des "barrières climatiques" qui bloquaient mystérieusement la circulation normale des conditions météorologiques, qui furent alors associées par les savants alarmés à dimmenses ondes stationnaires dénergie électromagnétique. Cette année là, de la neige tombe sur Miami, lEurope est inondée,les systèmes de surveillances des sous-marins nucléaires se détraquent et ceux des satellites d'observation américains sont détruits par un faisceau électronique. Contact | Outils | Collaborer | Carte du site | À propos de nous Copyright ©2001 Upperworld. Tous droits réservés. Yahoo :: Google :: AltaVista :: La Toile du Québec :: All the Web Citer Lien vers le commentaire Share on other sites More sharing options...
JAKOTE34 Posté(e) le 24 mai 2004 Auteur Signaler Partager Posté(e) le 24 mai 2004 Accueil | Nouvelles | Écologie | Vidéos | Recettes | Liens | Livres | Forums | Donations | Mon compte | Recherche Actualités | Archives Le projet Haarp : La météo comme arme secrète? (2) par François Blouin01/8/2001 (Montréal, Canada) Ce qui est encore plus inquiétant, cest que le projet est entièrement entre les mains de larmée américaine et que le projet Haarp pourrait s'avérer être un type darme militaire semblables aux armes à impulsions électromagnétiques (EMP Weapons) que les États-Unis avaient utilisées pendant la guerre du Golfe en 1991 pour lopération "Desert Storm". ( Defence News, n°19 ,13 avril 1992). Même avant les années '90, ce serait depuis les années '60 que les américains expérimentent les multiples utilisations des ondes dirigées et leurs propriétés électromagnétiques en rapport avec la ionosphère dans divers projets : "Argus" (en 1958, le projet avait pour but de créer artificiellement des séismes.), "Starfish"(en1962), "Solar Power Satellite"(en 1968 et en 1978), "Space Shuttle Experiments"(en 1985) et "Mighty Oaks"(1986). Sans compter les tests effectués par le département de la défense des États-Unis, pendant la guerre du Vietnam avec la technologie qui permettait de créer de la pluie, et lors des projets "Skyfire" et "Stormfury" : expérimentations douragans, dorages et déclairs électriques artificiellement crées. La chef de file des verts au Parlement Européen, la députée Belge Magda Haalvoet avait, suite à la demande des membres de son groupe, pris le dossier en main et fait en sorte via lOTAN que les États-Unis rendent publique les véritables buts du projet Haarp. Magda Haalvoet , inquiète, affirma lors dune assemblée : " Ce type darmement est illégal, implique des conséquences écologiques désastreuses et peut mettre en danger les libertés individuelles et la démocratie". Selon la Convention ENMOD de 1977, "les modifications de la biosphère à des fins militaires, ou à dautres fins hostiles, sont interdites". Malgré cette convention, les termes Environmental Warfare" , "Revolution in Military Affairs (RMA)", et plusieurs autres références aux techniques de modifications environnementales font aujourdhui partie du langage courant et des manuels militaires actuels des américains. En octobre 1974, l'Union Soviétique présenta une résolution aux Nations Unies demandant la tenue de la conférence de Genève sur le désarmement en vue de proscrire les recherches sur le climat pour des utilisations militaires. L'ébauche de traité présenté à la Conférence de Genève d'août 1975 sur le désarmement international, par les délégués des États-Unis et de l'U.R.S.S., contenait l'interdiction de 19 catastrophes climatiques artificielles pouvant être utilisés comme arme de guerre. On y comptait plus particulièrement : le déclenchement d'avalanches et de glissements de terrain; l'éveil des volcans; le déclenchement de tremblements de terre et de raz de marée; le contrôle de la foudre; le guidage des ouragans ou des cyclones sur des cibles stratégiques; la fonte des calottes glaciaires pour inonder les états côtiers avoisinants; le changement de direction des rivières; la production de brouillard, de grêle et de pluie; et la destruction délibérée de parties de la couche d'ozone terrestre. Selon larticle "The weather as a secret weapon"de Howard Benedict paru en 1974 dans lAssociated Press de Washington : "Les recherches actuelles du Pentagone, au coût de 1,52 millions de dollars par an, se limitent à fabriquer la pluie, à la supprimer et à disperser la grêle et le brouillard. Même si les russes et les américains nient lexistence des armes météorologiques, une recherche est en cours dans ce domaine. Que pouvaient-ils dire d'autre?... "Nous possédons des super armes météorologiques?". On s'imagine facilement quelle aurait été la réaction de la masse... La moindre anormalité du temps aurait fait dire "c'est la guerre!"." De plus, le site de Haarp est à labri des curieux, étant donné que les voisins sont dimmenses réserves gazières et pétrolières, dont les propriétaires sont la société Arco, par la même occasion propriétaire des brevets technologiques et "investisseur" dans le projet haarp. Un livre complet sur le sujet a récemment été écrit : "Angels dont play this Haarp". (Les anges ne jouent pas de cette haarp). Les auteurs de ce livre sont le Dr Nick Begich, écologiste, et la journaliste indépendante Jeanne Manning, spécialiste dans les recherches sur les énergies non-conventionnelles. Ce livre, appuyé par plusieurs scientifiques crédibles dont le physicien allemand Pr Zielinski, spécialiste en électrodynamique quantique et le chimiste américain Richard Williams, évoque entre-autres, les diverses applications militaires que les américains veulent tirer de la technologie environnementale du projet Haarp, les bouleversements climatiques, écologiques et les autres conséquences que le projet est sur le point de créer. Le projet HAARP : Après les manipulations génétiques, les manipulations climatiques! (1) Contact | Outils | Collaborer | Carte du site | À propos de nous Copyright ©2001 Upperworld. Tous droits réservés. 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OBERON Posté(e) le 24 mai 2004 Signaler Partager Posté(e) le 24 mai 2004 Waouh!!!!!!!!Ben dites donc, ça fait froid dans le dos tout ça.Même si je supposais que les militaires s'intéressaient de près à la recherche sur la possibilité de modifier le climat, je pensais que le peu de résultat obtenus jusqu'à présent dans le domaine civil comme la protection des cultures, les dissuaderaient de se lancer dans un programme dont on ignore quelles seraient les impacts à long terme!Apparemment, il semblerait qu'il en soit tout autrement et que plus que jamais les militaires américains soient décidés à mener à bien ce programme. Mais ne soyons pas trop surpis, les militaires et politiciens américains sont coutumiés du fait, puisque des programmes comme "Guerres des étoiles" avaient déjà pointés du doigt le goût prononcé des dirigeants américains pour les projets fantasques. Ce qui est préoccupant n'est pas tant la possible ou non réussite d'un projet visant à maîtriser ou du moins influancer le climat, mais plutôt la non-maîtrise d'un tel projet qui échaperait à tout contrôle et aurait alors des conséquences désatreuses à plus ou moins long terme sur la vie sur Terre : imaginez ce qui ce passerait si, pour reprendre l'exemple énoncé plus haut dans l'article, les militaires réussissaient à éroder une partie de la couche d'ozone à un endroit précis et que par la suite, celui ne se résorbe pas comme prévue, ou pire qu'il s'élargisse au point de menacer tout le globe!!! Oui, ce projet mérite qu'on s'y intéresse de plus près et j'invite tout le monde à lire les articles traîtant du sujet afin de vous faire votre propre opinion sur la réalité de ce programme. Le rapport du GRIP est d'ailleurs téléchargeable à la page : http://www.grip.org/pub/rapports/rg98-5_haarp.pdf ; ou bien encore via la page : http://www.grip.org/pub/pub.html ; à la ligne: "1998/5 - Le Programme HAARP : science ou désastre ? " Luc Mampaey, 77 p. - Volià, bonne lecture à tous et merci à JAKOTE34. Citer Lien vers le commentaire Share on other sites More sharing options...
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