EC est conservateur sur les avertissements encore. Juste un avis d'onde de tempête mais avec le vent qui va faire, c'est clair qu'un avis de poudrerie va être requis partout le long du fleuve.
Non, la première dépression vient mourir sur le Maine et la seconde impulsion va plus affecter la Gaspésie. Voilà pourquoi il y a une zone avec pas beaucoup d'accumulation entre Rimouski et Sainte-Anne-des-Monts.
Oui. Mon père était prévisionniste dans ce bureau à cette époque! J'y suis allé souvent et ça faisait toute une différence sur la qualité des prévisions d'avoir des gens de baser ici, qui connaissent la région !
On cherche la tempête dans Les Basques ce matin. Il ne tombe rien, même sur le corridor de la 185 que nous avons à déneiger, l'Entreprise pour laquelle que je travail. Les prévisions d'EC sont pas supers...
Celle-là, on va s'en sauver dans le Bas-du-fleuve et pour une fois, ça me déplait pas. Par contre, la prochaine dans la période de discussion qui suit, on s'en sauvera pas... si la dynamique demeure la même.
Par ici, le déglaçage printanier du fleuve est débuté depuis presque 3 semaines. La glace des battures en train de partir depuis une semaine. Il ne reste pas grand chose à part à Rimouski et encore, le pont de glace entre la cote et l'ile Saint-Barnabé est en train de se disloquer. C'est de bonne heure cette année.
Une drôle de dynamique dans une dizaine de jours avec un gros blocage sur l'Atlantique, amenant les dépressions plus au sud. À voir sur le lien ci-dessous l'animation. https://twitter.com/JackSillin/status/966796618283540485
La probabilité d'un refroidissement global au cause du ralentissement des courants océaniques est plus grande que d'un refroidissement global lié à la faible activité solaire, je crois.
Je ne suis pas sure que la mesure de volume soit la meilleur pour mesurer l’amplification du phénomène, parce que moins il y qu’il a de superficie de glace, plus qu’il y a de superficie affectée par la radiation solaire et qui réchauffe ainsi les eaux des mers arctiques, ce qui contribue à accentuer le phénomène de réchauffement rapide de l’arctique.