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marcanch

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Tout ce qui a été posté par marcanch

  1. Je trouve bien intéressant de partager avec nous votre expédition de chasseurs de tornades. C'est cool. J'ai une question, d'amateur sans doute. Allez-vous suivre en temps réel le développement des cellules orageuses, et si oui, avec quelle genre de connexion??? M-A
  2. Le bureau de la NOAA à Burlington parlent abondamment de cet évènement qui semble majeur. Il semble qu'il y aura une très grosse poussée d'air doux sur nos régions, mais que les derniers modèles font retarder l'arrivée des précipitations de toute sorte, pour la nuit de dimanche à lundi, ce qui nous donnerait à tout le moins, une fin de semaine potable côté plein air... M-A
  3. Miracle dans le ciel Associated Press (AP) Rod McGuirk 16/02/2007 13h30 Une parapentiste allemande qui effectuait un vol d'entraînement dans l'est de l'Australie s'est soudain retrouvée à une altitude de 9950 mètres, soit nettement plus haut que le Mont Everest (8850m), emportée par le violent courant ascendant d'un orage. Ewa Wisnierska, 35 ans, a survécu au manque d'oxygène, au froid et aux fortes turbulences qui caractérisent les altitudes extrêmes. Victorieuse de la Coupe du monde de parapente en 2005, la jeune femme se préparait mercredi pour les championnats du monde de la semaine prochaine près de Manilla, en Nouvelle-Galles du Sud, quand elle a été prise dans cette perturbation, a expliqué Godfrey Wenness, l'organisateur de la compétition. Un parapentiste chinois qui se trouvait dans le même secteur n'a pas eu sa chance. He Zhongpin, 42 ans, a vraisemblablement succombé au manque d'oxygène et au froid glacial. Son corps a été retrouvé hier à 75km de son point de départ. Une autopsie devait être pratiquée lundi, selon la police australienne. Les autorités et l'équipe au sol d'Ewa Wisnierska ont pu suivre le parcours ascensionnel de la championne grâce à son équipement GPS et à sa radio, a raconté Wenness. La parapentiste est ainsi passée de 760m à 9950m en l'espace d'une quinzaine de minutes, ce qui lui a valu de perdre connaissance et de rester inconsciente une demi-heure, accrochée à une aile en perdition. Ewa Wisnierska est revenue à elle à environ 500m du sol et a pu se poser sans encombres. Son visage portait quelques traces de gelures et sa combinaison était recouverte de glace. Elle n'a pourtant passé qu'une heure en observation à l'hôpital, suite à quoi elle s'est déclarée prête à participer aux championnats du monde, qui débutent le 24 février. La sportive allemande a expliqué aujourd'hui qu'elle avait tenté de contourner la zone orageuse, mais en vain. Une fois à l'intérieur de la perturbation, elle avait essayé de résister à la puissance des courants, sans parvenir à stopper son ascension. Entourée d'éclairs, elle estimait ses chances de survie à «presque zéro». Arrivée à 4000m d'altitude, elle était entrée en contact radio avec son équipe. «Je leur ai dit: "je ne peux rien faire"», a-t-elle raconté à la presse. «Il pleut, il grêle et je continue à grimper; je suis perdue!» Après avoir repris connaissance, elle se souvient avoir «vu la Terre se rapprocher, comme Apollo 13...» Godfrey Wenness a salué l'incroyable exploit de la championne et a avoué rester encore incrédule. «Ses chances de survie était égales à celles qu'elle avait de gagner dix fois de suite le gros lot du Loto», a-t-il commenté. Le visage d'Ewa Wisnierska porte quelques traces de gelures. © AP
  4. D'après moi ce n'est pas les bandes de précipitation qui prennent de l'ampleur, c'est seulement la température à 850 mb qui est en chute libre, ce qui donne un "fluff factor" beaucoup plus grand... Tu as donc l'impression que ça s'accumule beaucoup plus que cet PM, ce qui n'est pas totalement faux, mais pas vraiment vrai non plus. M-A
  5. D'après le centre hydrométéo de la NOAA, il ne que reste 20 cm à tomber entre 20h et 02h sur l'Estrie et la Beauce, et un peu plus de 10cm à Montréal, pis that's about it ... Pétard mouillé, mets en... ost... de &8?%$# de $#\ de @#!!!! M-A
  6. C'est ma grande question. C'est là que les universitaires devraient intervenir... J'ai juste mon CEGEP À mon avis, à cette température c'est facilement du 20:1 M-A
  7. À 20:02Z, le centre hydrométéo de la NOAA vient de faire passer le centre dépressionnaire un peu plus à l'ouest ce qui donne un maximum, en équivalent d'eau, près de Sutton en Estrie de 2,29 po. Multipliez par le facteur dont j'ai parlé plus tôt, et on se retrouve avec une quarantaine de pouces de neige pour cette région. Montréal flirterait avec les 25 à 30 pouces. C'est vraiment la très froide température à 850mb (je n'ai jamais vu ça de ma vie) qui me fait croire que tout le monde sous estime cette tempête... Libre à vous de détruire ma théorie, c'est ce qu'on verra... M-A
  8. J'aimerais savoir si les modèles et/ou certains d'entre vous prennent en considération le "fluff factor" de la neige. Dans ce cas ci, la température entre 3000 et 7000 pieds sera extrêmement froide, ce qui nous donne un facteur d'équivalent en eau, à devoir facilement multiplier par 20 ou même 25. Tirer vos conclusions... M-A
  9. Faut faire attention. Accuweather est un peu comme météomédia, c'est à dire qu'ils disent n'importe quoi. Ils disent juste un peu moins de niaiseries... Tant qu'à EC, eux c'est plutôt le contraire, ils ne disent presque rien, et quand ils le disent, nous sommes la plupart du temps, dedans. C'est plus de l'observation que de la prévision... C'est là qu'entre en jeu le jugement d'un météorologue indépendant tel que Blouin ou Yacouvakis à la SRC. Eux, ils l'ont l'affaire! M-A
  10. Attention: La NOAA n'a émis que des "avertissements" pour le midwest. Nous sommes présentement (nord-ouest du Vermont) sous une "veille de tempête", seulement À ne pas confondre... M-A
  11. C'est ce que les gens de Charlevoix appellent la tempête de la St-Valentin...J'mettrais un p'tit deux la dessus... Un classique ! M-A
  12. Que l'on y croit ou non, la tendance de nos "wouairnements" à vouloir limiter les emissions à effets de serre est là pour rester. Premièrement ça devient rentable en terme purement électoral (nombre de votes) et aussi il y a là une énorme possibilité d'aller chercher (et de pouvoir détourner...) des milliards et des milliards de $$$ en nouvels taxes et impots. On n'a qu'à penser à la surtaxe de la SAAQ sur les grosses cylindrées. Y'a pas une cenne qui va à l'environnement... Le réchauffement climatique n'est en voie de devenir qu'un falacieux prétexte. Ce n'est cependant pas une raison pour ne rien faire individuellement, mais je me demande par contre si l'on ne devrait pas accentuer la recherche sur des méthodes de captation du CO2. Après tout, c'est comme ça que la planète s'en est sorti en enfouissant toutes les grandes fougères de l'ère du Carbonifère... M-A
  13. Je lisais Herb Stevens, un météorologue américain, et il racontait que nous entrons dans une vague de froid qui pourrait durer tout le mois de février, et qui serait selon lui la plus longue en trente ans... Ce qui nous amène ensuite en mars, et qui selon ses dires, comme l'on ne se débarasse pas d'une telle circulation d'air en criant ciseau, il est fort possible que nous vivrons un début mars un peu plus froid que la normale. Y'a t-il encore des gorges chaudes pour parler d'effet de serre ??? M-A
  14. marcanch

    neige

    Bon point ! Un trough, ou un creux, est aussi ce qu'on pourrait appeller une vaste zone allongée de basse pression qui, pour le N-E américain, nous apportent souvent des Nor'easter. À noter que, plus la circulation polaire (arctic vortex) est puissante, plus les chances sont bonnes de voir arriver ce creux chez nous. Or, il apparait que nous assisterons dans les prochaines semaines, à un vortex de 498mb, soit le plus puissant jamais observé depuis l'hiver 2004. Ça regarde bien... M-A
  15. Je ne suis pas d'accord avec toi Blizzard. Il y aura pas mal d'action dans les Adirondacks (moins de 100 km d'ici) en fds, du à l'effet des forts vents du N-O qui apportera toute l'humidité du lac Ontario. Surement une vingtaine, voire une trentaine de cm d'après moi. De plus va te promener dans les Appalaches, du Mont Sutton jusqu'au Mont Mégantic. Tu verras la machine à fabriquer de la neige en pleine action. Du 20-30 cm assuré. On s'en reparle lundi... M-A
  16. Le Nor'easter de l'année à date, et ça risque bien de vous enterrer de neige dans les montagnes des Appalaches. 963 mb sera atteint samedi, avec des vents qui atteindront le seuil d'un ouragan pour les Maritimes. Watch out!!! M-A
  17. Tentative de réponse à Mizar... Il existe un physicien norvégien, Rasmus Benestad, qui s'est beaucoup intéressé cette année sur les effets du réchauffement de la planète sur les dépressions affectant nos latitudes (mid-latitude storm). En gros, il explique qu'à l'avenir nous devrions être beaucoup plus touché par des phases de NAO négative, ce qui influe directement sur la dé-connection des deux branches du courant jet, d'où une moins grande occurance de dépressions côtières. M-A Voiçi un résumé de ses recherches... Statements often appear in the media about suggesting that more extreme mid-latitude storms will result from global warming. For instance, western Norway was recently battered by an unusually strong storm which triggered many such speculations. But scientific papers on how global warming may affect the mid-latitude storms give a more mixed picture. In a recent paper by Bengtsson & Hodges (2006), simulations with the ECHAM5 Global Climate Model (GCM) were analysed, but they found no increase in the number of mid-latitude storms world-wide. Another study by Leckebusch et al. (2006) showed that the projection of storm characteristics was model-dependent. (Note that the dynamics of tropical and mid-latitude (often called 'extra-tropical') storms involve different processes, and tropical storms have been discussed in previous posts here on RC: here, here, here, and here). The factors that control this are often confounding and so make this a tricky prediction. Simple arguments based on the expected 'polar amplification' and the fact that the surface temperature gradient between the tropics and the poles will likely decrease would reduce the scope for 'baroclinic instability' (the main generator of mid-latitudes storms). However, there are also increases in the upper troposphere/lower stratospheric gradients (due to the stratosphere cooling and the troposphere warming) and that has been shown to lead to increases in wind speeds at the surface. And finally, although latent heat release (from condensing water vapour) is not a fundamental driver of mid-latitude storms, it does play a role and that is likely to increase the intensity of the storms since there is generally more water vapour available in warmer world. It should also be clear that for any one locality, a shift in the storm tracks (associated with phenomena like the NAO or the sea ice edge) will often be more of an issue than the overall change in storm statistics. Case study of a mid-latitude storm over the Norwegian Sea I believe that the jury is still out on the extra-tropical storm issue because the climate models are still limited in their ability to represent them adequately. For instance, wind speeds are not well captured by the models (Leckebusch et al., 2006), and modelled key characteristics of the cyclones were sensitive to the models' spatial resolution: Work by Jung et al. (also published in Quart. J. R. Met. Soc. (2006), vol 132, p. 1839-1857) suggested that several key characteristics of extra-tropical cyclones in the global ECMWF numerical weather model are highly sensitive to the horizontal resolution. This is also acknowledged in a recent paper by Wernli & Schwierz (2006; J. Atm. Sci., vol 63, p. 2486). However, for some regions, Jung et al. noted that model problems were insensitive to the horizontal resolution employed in their model experiments. Ulbrich (EMS/ECAC06) also found a dependency of the storm statistics in re-analysis with different spatial resolution (the picture from GCMs was similar to the re-analysis, provided the re-analysis was carried out with similar spatial resolution). It was also concluded that the different models analysed gave a similar large-scale picture of how extra-tropical storms respond to a global warming: the frequency of weak storms decline and the strong storms are projected to become more frequent. The sensitivity to resolution is understandable, because while an entire storm system can be very well resolved (they can be 1000 miles across), there are very sharp features at the fronts (the comma shaped clouds) which are a challenge even for weather forecast models to get right. Secondary 'cyclogenesis' (where a new storm is 'spun off' from an existing storm) is also something that improves markedly as resolution increases. One can try and address that by using a high-resolution regional climate model (RCM), forced by simulations from a coarser GCM at its boundaries (a process called 'nesting'). The RCMs provide a similar description of the minimum sea level pressure (SLP - a parameter related to wind storms and the cyclone depth) as the GCMs, irrespective of their spatial resolution (The KNMI scenarios 06 Fig. 6-3). RCMs, however, are not completely free to do their own thing, but must follow the GCMs, at least on the larger scales. So should we really expect an RCM to produce a different storm climate? What implications would a substantially different cyclone climate in the RCM have for the larger-scales and the energy transport? Cyclones play an important role in the poleward energy in the mid-latitudes ('eddy-transport'), which ultimately has a bearing for the large-scale circulation. Since cyclones involve significant parts of the hydrological cycle, such as evaporation, moisture transport, condensation and precipitation, a different cyclone climate in an RCM and GCM would presumably present inconsistencies for the water budget. Furthermore, a paper by Peng et al. (2006) suggests that eddy forcing may be responsble for large-scale response to changes in the sea surface temperatures. In other words, the cyclone climate affects the large-scale circulation, and a widely different behaviour in the RCM and the GCM would imply an inconsistency. One robust result among most GCMs is a poleward shift in the position of the storm tracks (Bengtsson & Hodges , 2006; Yin ,2006). It is important to keep in mind that for the local communities concerned, it is changes in the position of the storm tracks that is most important, rather than the global number of storms. Another robust result is that the NAO in the models tends to shift more towards its positive phase (stronger westerly winds) as greenhouse gases rise, tending to increase winter storms coming ashore in Northern Europe, and decrease them around the Mediterranean (Miller et al, 2006). A conceptual picture of processes affecting mid-latitude is: One, that latitudinal variations in the temperature and air flow give rise to 'baroclinic instability'; Second, the humidity of the air also plays a role as the latter influences the energy budget. An analogy for the two can be a sloping surface: the former is the how steep the slope is and the latter the height of the drop. Sharp spatial temperature contrasts and horizontal wind shear favour an unstable growth of the storm system. As we mentioned above, global warming generally implies a 'polar amplification' (stronger warming near the North Pole), and so the average poleward temperature gradient is expected to diminish, leading to less unstable conditions on average. On the other hand, a warmer Arctic may imply less sea-ice and a greater heat loss to space, which must be balanced by heat transport from the lower latitudes, a poleward heat transport which may involve the mid-latitude storms (ice insulates the ocean from the atmosphere and keeps the temperatures down). Increased temperatures also implies higher humidity, and thus a higher capacity for energy conversion through condensation - the energy fuel of convection. So it isn't a simple picture and one should be wary of simple statements on the topic.
  18. El Nino a aussi le dos bien large. À ce que je sache, les hivers El Nino sont supposé être plus chaud et plus sec que d'habitude dans l'ouest Nord américain !!! Regardez ce qui se passe présentement, c'est tout le contraire. M-A
  19. Est-ce que je me trompe en disant que ce système passera très vite sur le Québec ? Je vois une ronde de précipitation intense, étalée sur 6 heures, pas plus... M-A
  20. Ouais! Y'a qq qui voyait l'arrivée d'une perturbation le 10 janvier, mais je crois que ce sujet est plus précis en la traitant du 8 janvier pour le sud du Québec. Anyway, ce serait limite pluie-neige pour Montréal, et les grands gagnants risquent d'être le Bas St-Laurent, la Gaspésie et la Côte nord avec de bonnes accumulations de neige pour eux. M-A
  21. Le système du 31 et 1 janvier tient toujours, sauf qu'il apparait de plus en plus qu'il va passer au sud du Québec. Le 2-3 janvier, comme tu dis, risque cependant d'être enneigé du à un autre système nous provenant du midwest. M-A
  22. Je ne vois pas de fente sèche. Seulement deux zones de précipitation associé à deux systèmes différents. Celle qui nous préoccupe vraiment est celle relié au système centré au sud du lac Ontario et nous affectera tous également (à mon avis...) dans les heures qui suivent. Cet PM et ce soir... Décourage toi pas M-A
  23. Merci de nous tenir au courant au fil des heures. Je prévois aller à Comi le 30 et 31 décembre... M-A
  24. Je crois que Patito a raison. Il y a présentement un deuxième système qui se développe le long de la côte est américaine, ce qui coupe l'apport d'air doux et qui permet de plus fortes accumulations solides pour les zones à l'intérieur du continent. C'est cool ! )) M-A
  25. Quoi penser de cette troisième dépression côtière prévu pour la veille du jour de l'an? Y aura t-il assez d'air froid? M-A
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