Surtout dans le cas du verglas ou d'orages violents. Mais comme dit Jean-François, tout le monde, y compris les météorologues d'EC aurait gagné à avoir des niveaux d'avertissements plus nombreux. À ce moment-là, comme dit Héroux dans Cyberpresse, il n'y aurait pas eu d'hésitations. Remarquez par contre, je doute de la capacité des médias d'utiliser avec discernement un système d'avertissement plus complexe. Je ne dis pas ça pour faire du media basing (j'en suis, des médias), mais c'est un constat. On l'a vu avec Environnement Québec et son système d'avertissement aux algues bleues en 2007. Très complexe, très précis, et pour quiconque a un minimum de culture scientifique et de professionnalisme, très utile. Mais ça a plutôt viré en psychose ahurissante pendant tout un été de temps dans les journaux et à la télé, pour, finalement, quelques plans d'eau (une demi-douzaine) problématiques. Alors que le reste de la Terre était à feux et à sang, ici au Québec, on en avait juste pour une fleur d'algue bleue d'un pouce carré sur le réservoir Taureau (qui était là probablement depuis des années, mais personne n'avait remarqué jusqu'alors). La réaction d'EQ a été finalement de tout caché au public depuis 2008, vu, que de toute façon, l'info très détaillée qu'ils diffusaient était manipulée par des incompétents. On est avancé, là...