vortex Posté(e) le 23 mars 2006 Signaler Partager Posté(e) le 23 mars 2006 Vous-avez probablement entendue parler du scénario catastropherendu public par le Pentagon à l'effet que le Gulf Stream pourrait complétement stoper bientôt causer par la dilution de la salinité enpechant le courrant de replonger.J'aimerais avoir des données à ce sujet car somme-nous entrain d'assisterau commencement de cette apocalypse avec le coup de froid vécu par nos voisins Européen! Citer Lien vers le commentaire Share on other sites More sharing options...
Mizar Posté(e) le 24 mars 2006 Signaler Partager Posté(e) le 24 mars 2006 Oui,J'ai moi aussi vaguement entendu parlé de cela aujourd'hui et j'espere que ce n'est pas tellement vérédique car pour ceux qui aime l'hiver et ces belles tempetes au Canada ben...commencé a oublié cela car si cela se concrétise et bien fini l'hiver au Canada ,du moin pour tout ce qui est du Sud du Québec et tout l'Est du Canada. Au risque de me répété,moi dans la région du Nouveau-Brunswick ou je demeure,pendant tout l'hiver le sujet de conversation a été justement ...qu'il n'y a pas eu d'hiver.Normalement ,la neige ,on ne sait plus ou la mettre,nous subisons avec Terre-Neuve les plus grosses et puissantes tempetes de neige et cet hiver,Rien.C'est comme si le temps s'était arreté au mois de Novembre pendant toute cette période. C'est sur que l'on pourrait dire qu'exceptionnellement,l'hiver a été doux mais laissé moi vous dire que ce n'est pas cela qui s'est produit.C'était autre chose que cela.J'ai connu des Pluies diluvienne en Janvier et encore la semaine derniere comme s'y on était en plein Été,jamais vu cela et quand je dis tout le mois de Janvier croyé moi tout le mois complet,il neigeait jamais il pleuvait. Avant de sauté au conclusion trop hative,j'attend le prochain Hiver et laissé moi vous dire que si,nous subbisons la meme température que cette année (de cet hiver 2 fois de suite) alors la ,c'est certain qu'il se passe quelque chose de pas normal ... Citer Lien vers le commentaire Share on other sites More sharing options...
Mizar Posté(e) le 24 mars 2006 Signaler Partager Posté(e) le 24 mars 2006 Voici quesque j'ai trouvé sur le sujet.Moi qui pensait que l'hiver il n'y en aurai plus...c'est pas vraiment cela,au contraire. toute l'actualité : astronautique Futurologie 10-03-2004 Le cauchemar climatique du Pentagone est-il crédible ?traduction de Didier Jamet En perturbant la circulation dun vaste courant océanique, la fonte des glaces de locéan Arctique pourrait provoquer un refroidissement brutal du climat en Europe et en Amérique du Nord. Cest du moins lhypothèse évoquée par un rapport du Pentagone récemment rendu public, lequel sappuie sur des données satellites convergentes. Dictionnaire atmosphère espace satellite Le réchauffement climatique pourrait plonger lAmérique du Nord et lEurope Occidentale dans un froid glacial, et ce en lespace de quelques décennies seulement. Ce scénario pour le moins paradoxal gagne de plus en plus en crédibilité auprès de nombreux climatologues. La fonte de la mer de glace qui recouvre lArctique pourrait perturber voire interrompre la circulation océanique mondiale. Sans la gigantesque quantité de chaleur que délivrent ces courants (léquivalent de la puissance produite par un million de centrales nucléaires), la température moyenne en Europe pourrait chuter de 5 à 10°. Certaines parties de lEst de lAmérique du Nord pourraient également être affectées par ce phénomène, quoique dans une moindre mesure. Un tel plongeon des températures nous ramènerait à une situation correspondant à la fin du dernier age glaciaire, il y a environ 20 000 ans. Certains scientifiques estiment que cette modification de la circulation océanique pourrait survenir avec une rapidité étonnante, en lespace de 20 ans seulement. Cest du moins le chiffre quavance Robert Gagosian, président et directeur de linstitut océanographique de Woods Hole. Dautres chercheurs mettent en question lidée même de ce phénomène. Cependant, même en labsence de consensus scientifique sur la question, le Pentagone, le ministère américain de la défense, prend la menace très au sérieux. Andrew Marshall, planificateur chevronné du ministère de la défense, a récemment rendu public un rapport non confidentiel détaillant de quelle manière une modification de la circulation océanique pourrait compromettre la sécurité nationale dans un futur proche. " Il est très difficile de prédire exactement ce qui pourrait se passer " avertit Donald Cavalieri, chercheur de la Nasa rattaché au Centre Spatial Goddard, " car locéan Arctique et lAtlantique Nord sont des systèmes fort complexes, où ont lieu de nombreuses interactions entre les terres émergées, la mer et latmosphère. Mais il nen reste pas moins que les faits suggèrent en effet que les changements que nous voyons à luvre en Arctique ont la possibilité daffecter les courants qui réchauffent lEurope occidentale, ce qui est de nature à inquiéter beaucoup de gens. " La glace tient la solution du problème Il y a en orbite plusieurs satellites qui, par tous les temps, gardent un il sur la superficie de lOcéan Arctique prise par les glaces. Le satellite Aqua par exemple embarque un capteur japonais, un radiomètre micro-ondes (AMSR-E). Fonctionnant dans la longueur dondes des micro ondes et non pas dans le domaine visible, AMSR-E est en mesure de percer les nuages et offre une surveillance ininterrompue de la glace, même la nuit. Les autres satellites chargés de surveiller la glace, quils soient placés sous la responsabilité de la Nasa, du NOAA ou du ministère de la défense des Etats-Unis, utilisent des technologies similaires. Depuis lespace, on observe très bien le déclin à long terme de la mer de glace " éternelle " (la partie qui reste gelée y compris pendant les mois dété). Selon des travaux publiés en 2002 par Joséfino Comiso, climatologue au Centre Spatial Goddard, on observe un retrait continu de cette glace persistante depuis 1978, date des premières données satellite. Sa superficie diminue en moyenne de 9 % par décennie. Et si on se concentre sur les données les plus récentes, on est frappé de constater que ce taux grimpe à 14 % par décennie, ce qui suggère fortement que ce retrait de la glace arctique saccélère. Certains scientifiques craignent que cette fonte de la glace arctique saccompagne du déversement dune telle quantité deau douce dans lAtlantique Nord quelle soit susceptible dinterférer avec les courants marins. Une partie de cette eau douce proviendrait de la fonte proprement dite, mais la contribution principale proviendrait des pluies et des chutes de neige supplémentaires quentraîne le recul de la glace. En effet, une moindre couverture de glace expose plus de surface océanique à lair libre, ce qui a pour effet daugmenter lévaporation qui à son tour alimente les précipitations. Comme leau salée est plus dense et plus lourde que leau douce, cet " adoucissement " de lAtlantique Nord rendrait les couches de surface moins susceptibles de senfoncer dans les profondeurs. Et une partie du problème vient de là, car il faut bien que les eaux de surface plongent vers le fond pour que samorce un schéma primordial de circulation océanique appelé " le grand tapis roulant océanique ". Leau descendant en profondeur sécoule vers le Sud en direction de léquateur en suivant le relief du fond océanique, tandis que les eaux chaudes de surface des latitudes tropicales sécoulent vers le nord pour remplacer cette eau qui sest enfoncée, ce qui entretient le mécanisme de tapis roulant. Une augmentation de la proportion deau douce pourrait donc empêcher cette plongée des eaux de surface de lAtlantique Nord, ralentissant voire stoppant cette circulation. AMSR-E recueille actuellement de nouvelles données qui aideront les scientifiques à préciser dans quelle mesure ce scénario est réaliste. Son grand atout réside dans son excellente résolution au sol, très supérieure à celle de ses prédécesseurs. Les images de AMSR-E sont capables de révéler les plus petites fissures et crevasses qui travaillent la glace au printemps. Selon Cavalieri, ce luxe de détails permet aux scientifiques de mieux comprendre la dynamique de rupture de la glace. " Dautres pièces essentielles du puzzle, comme les chutes de pluie, la température des eaux de surface ou la force des vents océaniques sont également enregistrées par AMSR-E. Le fait de pouvoir considérer ces données simultanément devrait aider les scientifiques à déterminer la probabilité dun changement drastique dans la circulation océanique " confirme Roy Spencer, responsable scientifique principal de linstrument. Déjà vu ? Autrefois considérée comme hautement improbable, lhypothèse dun changement climatique brutal a peu à peu gagné en crédibilité. Dans un rapport publié en 2003, Robert Gagosian évoque " des indices clairs (par exemple les anneaux de croissance des arbres) dun changement rapide du climat terrestre par le passé. " Il cite notamment le fait que, lorsque la Terre sest réchauffée à la fin du dernier age glaciaire il y a quelque 13 000 ans, la fonte des glaces semble avoir stoppé brutalement le tapis roulant océanique, ramenant du même coup la Terre dans un nouvel age glaciaire pendant 1300 ans, une période connue sous le nom de " Dryas récent ". Cela va-t-il se reproduire ? Les scientifiques font de leur mieux pour en avoir le cur net. Le 13 février, une expédition scientifique lèvera lancre en Angleterre afin de mouiller des capteurs de courant dans lOcéan Atlantique, lesquels seront chargés de détecter déventuels signes de ralentissement du Gulf Stream. Il sagit de la dernière initiative en date dans le cadre dun projet baptisé " Changement Rapide du Climat ", qui a vu le jour en 2001. Un autre projet international, SEARCH (Study of Environmental Arctic Change), a lui aussi débuté en 2001 avec pour objectif lévaluation soigneuse des changements dépaisseur de la croûte de glace arctique. En fait, selon les modèles numériques mis au point par Thomas F. Stocker et Andreas Schmittner de lUniversité de Berne, tout dépendra de la rapidité du réchauffement de lArctique. Sil est très rapide, la circulation océanique Atlantique pourrait bien sarrêter complètement. Si en revanche le réchauffement se produit de manière plus progressive, la circulation serait simplement ralentie pendant quelques siècles. Et inévitablement, le débat se déplace sur les causes de ce réchauffement. Lindustrie humaine y joue-t-elle un rôle majeur ? Pourrions nous inverser la tendance si nous le voulions ? Les scientifiques ne sont pas daccord. Certains défendent lidée selon laquelle les changements qui se produisent dans lArctique ont plutôt à voir avec de vastes et lents cycles naturels de locéan, lesquels sont bien identifiés par la science. Dautres y voient la marque prépondérante de lactivité humaine. " La fonte de la mer de glace est en accord avec le réchauffement continu que nous avons observé tout au long du siècle dernier " fait remarquer Roy Spencer, mais il ajoute que " nous ne savons toujours pas quelle proportion de ce réchauffement correspond à une fluctuation naturelle du climat, et quelle part est à mettre au passif de lactivité humaine et des gaz à effet de serre quelle a produits. " Si jamais le Grand Tapis Roulant Océanique sinterrompt, les débats sur les causes du réchauffement risquent de nous apparaître soudainement bien futiles. Et tout particulièrement en Europe, où nous aurons bien dautres soucis en tête. Par exemple, savoir comment nous pourrons faire pousser des céréales ou du maïs sous la neige. Cest le moment ou jamais dy réfléchir, tant que ce scénario catastrophe nest encore quune hypothèse de travail. Citer Lien vers le commentaire Share on other sites More sharing options...
Blizzard Posté(e) le 24 mars 2006 Signaler Partager Posté(e) le 24 mars 2006 (modifié) Vraiment intéressant. Alors que ça devrait nous inquiéter, moi ça me réjouit. Ça montre à quel point la nature est bien fait et qu'elle est, en fait, de notre côté. Si ce scénario se produit, une importante couche de neige et de glace devrait recouvrir l'hémisphère nord et, du même coup, ralentir l'effet de serre, comme ça s'est produit dans le passé, à la différence près que cette nouvelle air glaciaire pourrait venir plus tôt que prévue en raison de l'activité humaine. N'empêche qu'elle ferait son effet: cool down the world. Je pense, sur une échelle mondiale, qu'il sera plus facile de contrer le froid qu'une chaleur extrême, d'autant plus que les pays les plus affectés sont déjà habitués au froid. Et si on pousse la réflexion plus loin. Une fois cette glaciation bien enclenchée, de nouveaux courants marins devraient prendre forme et redistribuer la chaleur autours du globe, de telle sorte que nous assisterions, à nouveau, à un réchauffement de la planet. Et ainsi de suite. L'activité humaine ne ferait, en fait, qu'accélérer la fréquence des périodes de gel et de dégel qui existent depuis très longtemps et qui a permis à la vie de prendre forme ici. Finalement, la terre est bien fait. Sa recherche constante de l'équilibre nous permettra peut-être de l'habiter plus longtemps que j'aurais pensé. Modifié le 24 mars 2006 par Blizzard Citer Lien vers le commentaire Share on other sites More sharing options...
Éclair Posté(e) le 24 mars 2006 Signaler Partager Posté(e) le 24 mars 2006 Ne soyons pas catastrophiques. De récentes études établissent la responsabilité humaine quant au réchauffement entre 10 et 25%, ce qui signifie que le réchauffement est naturel entre 75 et 90%, et donc que c'est très probablement un phénomène cyclique, relié aux cycles solaires ou à autre origine naturel. Je ne crois pas que le scénario du Pentagone soit crédible. D'ailleurs, est-ce que quelqu'un ici peut me dire la dernière fois que le Pentagone a eu la moindre crédibilité? Citer Lien vers le commentaire Share on other sites More sharing options...
Mizar Posté(e) le 24 mars 2006 Signaler Partager Posté(e) le 24 mars 2006 Tout a fait d'accord avec toi ''Eclair'' tout se qui vient du Pentagone et du meme genre de monde qui gravite autour de cela est selon moi tres peu crédible...Ils nous ont assz bourrés de mensonges ces derniers temps. Pour en revenir en ce qui a rapport avec le fameux ''Réchauffement Climatique''moi aussi je commence a etre spectique de ce coté-la.L'autre soir justement je regardai une émission a la télé et si vous saviez comment il se donne de subventions $$$$$ a coup de millions et de centaines de mille dollars a des scientifiques et des chercheurs c'est assez fou.Y en qui se crée des jobs pour des années a venir avec ce soi disant phénomene. Ne l'oublions pas,la meme ou je suis entrain d'écrire ce post pour ce forum et bien,il y a tres tres longtemps j'aurai eu les pieds sur a peu pres de 2 a 3 km epaisseur de glace et ou est-elle rendu aujourd'hui ???elle a toute fondu et je ne crois pas qu'a cet époque il y avait la moindre automobile,usine,tondeuse a gazon etc etc...a moin que la terre n'a pas tout révélé ses secrets. Citer Lien vers le commentaire Share on other sites More sharing options...
Pierre Posté(e) le 24 mars 2006 Signaler Partager Posté(e) le 24 mars 2006 Je pense qu'il y a des éléments de vrais dans tous ces énoncés. Comme Géophysicien et hydrométéorologue, je travail constamment avec la météorologie, l'hydrologie et la glaciologie. Même s'il semble évident que le climat change et que la cause est liée au réchauffement climatique, il n'en demeure pas moins qu'il n'est pas encore clair à qui va la faute ....est-ce naturel ou est-ce que l'homme a joué un grand rôle avec la pollution atmosphérique.... Paléoclimatologiquement parlant on sait aussi que dans la petite histoire de la terre il y a eu une multitude de glaciation et d'interglaciation....et....selon la tendance actuelle des 65 derniers million d'années, la planète se dirrigerait vers une autre glaciation importante....de façon naturelle. Il faut comprendre ici que c'est la tendance des 65 derniers millions mais il y a des intercycles chaud - froid très fréquents....Alors qui nous dit que nous ne sommes pas dans un intercycle chaud et que ça ne coïncide pas avec une période ou l'homme interagit aussi avec le climat !? Je pense qu'actuellement il est plus facile de voir et de comprendre l'évolution du climat dans les derniers millions d'années que de prévoir ce qui se passera avec l'apport de l'homme (pollution) à une échelle très récente. Par contre, s'il se produit des changements rapides et anormaux sur des dizaines d'années plutôt que sur des milliers voir millions d'années on pourra penser que l'homme a ajouté son grain de sel sur un processus naturel. Je vous rappelle que lors de la dernière glaciation , il y a 20 000 ans le Québec entier a été recouvert de glace et celle-ci est même descendue jusque dans le Rhodes Island aux ÉU....il y a eu jusqu'à 3,5 km de glace par dessus nos têtes.....Alors il est difficile et hasardeux de dire que la vie serait encore possible à ce moment....mais nous serons pas là pour en témoigner.... Citer Lien vers le commentaire Share on other sites More sharing options...
Regg001 Posté(e) le 24 mars 2006 Signaler Partager Posté(e) le 24 mars 2006 (modifié) Pierre, tout en parlant qu'il y déja eu une (et même plusieurs) période de glaciation, il faut aussi dire que nous avons des vestiges de plantes, d'animaux, de moustiques, tous tropicaux un peu partout dans le sud de la province. Donc à l'époque où nous avions des palmiers, il ne devait pas y avoir de gros hiver D'un autre côté, pour ceux qui mentionne que nous sommes responsables de ''seulement'' 10 à 25 % des changements, je voudrais rappeler que la nature sous toutes ses formes est un équilibre - à tous les niveaux. Notre 10 à 25 % qui lui est provoqué artificiellement (ne vient pas d'un cycle naturel), est la goutte qui peut faire pencher la balance vers un déséquilibre de plusieurs aspects de la nature. Ce qu'il faut aussi rappeler c'est que la nature essayera toujours de rebalancer la situation - mais ces rebalancements (que ce soit des sécheresses, des pluies ou des hivers bizarres) ne vont pas toujours dans le sens que nous voudrions et/ou pour notre grand bien immédiat. La propriétaire de notre environnement c'est la nature. Nous n'en sommes que locataire et dans ce sens, on risque de subir les contrecoups de tous les dommages, tout aussi minimes soient-ils, que nous avons provoqués. Les effets papillons que nous provoquons depuis l'aire industrielle finiront bien par nous retomber sur le nez - mais on sera tous morts quand les données seront assez complètes pour faire l'analyse de tout ce que nous aurons fait subir à la nature depuis 200 ans et des conséquences que nous aurons provoquer. Ouf ... ça fait du bien de faire sortir le méchant Modifié le 24 mars 2006 par Regg001 Citer Lien vers le commentaire Share on other sites More sharing options...
Recommended Posts
Rejoindre la conversation
Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.