Wave Posté(e) le 13 août 2019 Signaler Partager Posté(e) le 13 août 2019 (modifié) (...)De plus, comment peut-on comparer des données compilées il y a 220 ans, lorsqu'il n'y avait peu ou pas d'effet d'ilôt de chaleur avec des données d'aujourd'hui complètement contaminées par l'urbanisation. C'est complètement absurde. Bonjour, Ce qu'il faudrait, c'est un modèle fiable qui "prévoit" la température qu'il aurait fait en l'absence d'urbanisation et comparer cette température à celle enregistrée. Ce modèle devrait non seulement être régional, mais aussi global. Il devrait faire ses prévisions à partir de la même répartition des terres agricoles, des forêts et des lacs qu'il y a 220 ans. Pour plus de fiabilité, il faudrait comparer plusieurs modèles qui respectent ces critères. Modifié le 13 août 2019 par Wave 1 Citer Lien vers le commentaire Share on other sites More sharing options...
Wave Posté(e) le 13 août 2019 Signaler Partager Posté(e) le 13 août 2019 (modifié) Allo !!!! C'est pas que je veuille faire un concours mais pour ceux que ça intéresse..... remarquez-vous la même chose que moi ???? Moyennes annuelles des températures globales à 2 m. Une tendance générale à la hausse à laquelle se superposent des variations corrélées à ENSO. Quoi d'autre ? Modifié le 13 août 2019 par Wave 1 Citer Lien vers le commentaire Share on other sites More sharing options...
Mizar Posté(e) le 13 août 2019 Auteur Signaler Partager Posté(e) le 13 août 2019 Moyennes annuelles des températures globales à 2 m. Une tendance générale à la hausse à laquelle se superposent des variations corrélées à ENSO. Quoi d'autre ? En plein cela Alain...!!! Après chaque Nino record (1982–83, 1997–98, 2014–16) on observe une descente pcq ''normalement on repasse en Nina'' et par la suite, on monte toujours d'un palier. On semble voir malgré tout ,que l'air chaud injecté dans l’atmosphère lors de ces forts épisodes, ne s’évacue pas. Alors faut-il se retourner vers les anomalies océaniques ? Citer Lien vers le commentaire Share on other sites More sharing options...
Wave Posté(e) le 13 août 2019 Signaler Partager Posté(e) le 13 août 2019 (modifié) En plein cela Alain...!!! Après chaque Nino record (1982–83, 1997–98, 2014–16) on observe une descente pcq ''normalement on repasse en Nina'' et par la suite, on monte toujours d'un palier. On semble voir malgré tout ,que l'air chaud injecté dans l’atmosphère lors de ces forts épisodes, ne s’évacue pas. Alors faut-il se retourner vers les anomalies océaniques ? Ça fait 11 000 ans que le niveau des océans monte lentement mais régulièrement. Il existe une explication simple : le réchauffement progressif des océans dilate la masse d'eau. Un demi degré par 50 ans, ça fait 110 degrés sur 11 000 ans, donc en apparence beaucoup trop pour être attribué aux phénomènes naturels. Mais 50 ans, c'est trop court comparativement à l'échelle des phénomènes comme les PDO et NAO, trop court aussi comparativement aux cycles multi-centenaires de l'activité solaire. Il faut des observations qui s'étalent sur quelques centaines d'années. Il n'y a pas dans ce graphique une "preuve" de l'absence d'équilibre des bilans énergétiques dans les océans. Mais l'idée de ce déséquilibre a été suggérée par des climatologues. Et un budget énergétique positif signifie un réchauffement. Cela dit, les anomalies océaniques sont incontestablement un joueur clef du climat et des anomalies mensuelles. Modifié le 13 août 2019 par Wave Citer Lien vers le commentaire Share on other sites More sharing options...
Wave Posté(e) le 13 août 2019 Signaler Partager Posté(e) le 13 août 2019 (modifié) Les variations à la Bourse?Bourse... du carbone ? Modifié le 13 août 2019 par Wave Citer Lien vers le commentaire Share on other sites More sharing options...
Wave Posté(e) le 13 août 2019 Signaler Partager Posté(e) le 13 août 2019 C'est plaisant d'avoir ce vaste ensemble de données qu'est ERA5... à condition d'avoir confiance en l'objectivité et l'indépendance de l'organisation et des données qui en sont la source. Citer Lien vers le commentaire Share on other sites More sharing options...
iceberg Posté(e) le 2 septembre 2019 Signaler Partager Posté(e) le 2 septembre 2019 (modifié) Rapport mensuel pour le mois de août 2019 pour Montréal. Pour la température moyenne est de 20.9 ℃ ce qui le classe au numéro 46. Le numéro 1 est le plus chaud et le 220 est le plus froid . Le résultat du classement est basé sur 220 années d'observations. La dernière fois que nous avons eu exactement 20.9 ℃ était en 2010. Un mois plutôt chaud mais juste 0.3 ℃ au dessus de la moyenne des 30 dernières années. La température météorologique moyenne estivale était de 20,9 ℃ ce qui le classe au numéro 28. Le numéro 1 est le plus chaud et le 220 est le plus froid . Le résultat du classement est basé sur 220 années d'observations. La dernière fois que nous avons eu exactement 20.9 ℃ était en 2001. http://montrealsky.com/ Modifié le 2 septembre 2019 par iceberg 1 Citer Lien vers le commentaire Share on other sites More sharing options...
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