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Record de chaleur pour l'Antartique


EricB

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Bonjour Dave, voici quelques questions qui ne portent pas sur la sémantique.

 

(1) Est ce que l'augmentation du niveau des océans prévue due à l'activité humaine est une donnée scientifique ou une opinion de l'IPCC ?

 

(2) Est-ce que l'augmentation de 4 degrés de la température moyenne (à 2 mètres du sol) d'ici la fin du siècle due à l'activité humaine est une donnée scientifique ou une opinion de l'IPCC ?

 

(3) Est-ce que les événements météo extrêmes qui seront causés par l'activité humaine sont une donnée scientifique ou une opinion de l'IPCC ?

Je voulais dire que ce n'est pas "que de la sémantique", donc ce n'est pas sans importance.

Modifié par Wave
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(...)

 

On tire souvent sur le ou les messagers et non sur le message? On met en doute la crédibilité du GIEC au lieu de contre argumenter de façon scientifique leur données et projection!

Toutes les études qui se mettent en porte à faux avec le GIEC sont incapables de nier le réchauffement climatique actuel, il se perde souvent justement dans la sémantique!

La pollution atmosphérique tue des millions de gens a chaque année, et ça c'est une donnée scientifique et les projections du GIEC sont basés à partir de ces éléments?

Pour le reste, je vous invite à amener des éléments (données scientifiques autres) pour débattre de " l'opinion de l'IPCC"!

Re-boujour,

 

La première phrase en gras est une généralité, donc une opinion et pas un fait. Et il y a une distinction importante entre faire de la sémantique et se perdre en sémantique. Aussi, selon ce que j'ai vu, la plupart des scientifiques qui pensent autrement (que les conclusions du GIEC) ne nient pas le réchauffement climatique, mais ils disent qu'on ne sait pas jusqu'à quel point il est causé par le CO2. Ensuite, les études du GIEC concernent le CO2 et pas la pollution atmosphérique, or ce n'est pas la même chose. Enfin, j'ai mis le lien vers une étude scientifique un peu plus haut qui démonte l'argument selon lequel il faut craindre la montée des eaux.

Modifié par Wave
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(...) Et si la banquise venait à fondre, le niveau d'eau des océans baisserait (en l'absence d'autres contributions) car, pour une masse donnée, l'eau liquide occupe un moins grand volume que la glace.

(...)

Correction : Si la banquise venait à fondre, cela ne ferait ni monter ni descendre le niveau des océans. En effet, la poussée d'Archimède est égale au poids du liquide déplacé, car les deux s'équilibrent étant donné que la banquise flotte. Que l'eau de la banquise soit solide ou liquide, elle va déplacer le même volume d'eau de mer parce que c'est le même poids.

Modifié par Wave
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Oui pi en plus çà se pourrait qu'à la fin mars y ait plus beaucoup de neige ici non plus... -_-

 

Et il y a sur terre actuellement "la plus grosse tempête du monde" en ce moment qui se dirige sur l'Europe " Ce système se déplace lentement vers le nord-ouest de l'Europe, et a atteint l'Islande au cours de la journée de vendredi. De violentes rafales frôlant les 130 km/h ont d'ailleurs été enregistrées sur l'île au cours de la journée de vendredi, en plus d'impressionnantes vagues de plusieurs mètres de hauteur."

( Sur Météomedia )

 

Bhâtar, pis  a va nous nous rvenir par le Pacifique !!! C'est la fin mes dames mesieurs, la fin !!!

La fin du monde? tu es sérieux? Moi je commence à avoir très peur de tous ces changements climatiques, vraiment je suis inquiet

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La contamination des sols et de l'eau par la sur-utilisations des engrais/herbicides/pesticides, on pourrait s'attaquer à ça...BEN NON, faut pas trop brasser les grosses multinationales qui contribuent aux parties politiques.

 

« Ils font n’importe quoi [à l’ARLA], ils tournent en rond, et pendant ce temps, ils ne regardent pas les diamides », déplore Mme Fontaine. « Je prédis qu’ils vont continuer à se traîner les pieds jusqu’à ce que les diamides soient en remplacement total des néonics. Et là, on va recommencer tout le cirque des réévaluations. »

 

C'est un extrait de l'article très déprimant de la Presse de vendredi.

https://www.lapresse.ca/actualites/environnement/202002/12/01-5260707-une-autre-saison-de-pesticides-tueurs-dabeilles.php

ÇA OUI c'est un gros problème, ça tue les abeilles et elles sont essentielles à notre survie. On est pogné avec des grosses multinationales polluantes remplies d'humains imbéciles en habit cravate qui pensent juste à l'argent et qui détruisent la planète :angry:  :angry:

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La fin du monde? tu es sérieux? Moi je commence à avoir très peur de tous ces changements climatiques, vraiment je suis inquiet

Quand j'utilise Laflaque dans mes courriels; c'est une farce (joke) EricB

Je suis désolé de t'avoir inquiété mon ami :ermm: :blushing:

 

Plus de 95% des évènements météo à cette heure sont bien normaux... ou dit autrement; tous sont influencés mais à des degrés moindres et presque impossible à quantifier. Je cherche des infos la dessus et n'en trouve pas alors bien sûre ce que je dis ici reste à vérifier.

 

Et surtout, beaucoup des changements climatiques ne sont pas originaires ou attribuables à l'activité humaine.

Modifié par Pooram
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Les changements climatiques existent depuis des millions d'années et existeront tant que la Terre existera.  La question est de savoir jusqu'à quel point l'activité humaine a une influence sur ceux-ci.  Malheureusement, des enjeux politiques et monétaires viennent déformer complètement la réalité.

  • Aime 2
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Les changements climatiques existent depuis des millions d'années et existeront tant que la Terre existera. La question est de savoir jusqu'à quel point l'activité humaine a une influence sur ceux-ci. Malheureusement, des enjeux politiques et monétaires viennent déformer complètement la réalité.

Oui, des enjeux monétaires comme les lobbys pétroliers ;)

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Oui, des enjeux monétaires comme les lobbys pétroliers ;)

En tout cas, si c'est le cas, ils sont plutôt discrets.  On entends pas trop de nouvelles concernant des records de froids et de neige dans certaines régions du globe, on entend pas trop parler non plus que l'Arctique est en santé comme jamais ces temps-ci....

 

Non, côté propagande, le balancier est pas mal plus du bord de la fin du monde imminente, de la Terre qui se transformera en étuve.  Et on tente par tout les moyens de relier tout événement environnemental et/ou climatique à la cause des changements climatiques.  

 

Or, certains liens sont totalement exagérés, manipulés ou carrément faux.

 

Alors, avec toute l'argent dont ils disposent, j'aimerais bien que les lobbys du pétrole se manifestent un peu plus justement, histoire de rééquilibrer le balancier.

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En tout cas, si c'est le cas, ils sont plutôt discrets. On entends pas trop de nouvelles concernant des records de froids et de neige dans certaines régions du globe, on entend pas trop parler non plus que l'Arctique est en santé comme jamais ces temps-ci....

 

Non, côté propagande, le balancier est pas mal plus du bord de la fin du monde imminente, de la Terre qui se transformera en étuve. Et on tente par tout les moyens de relier tout événement environnemental et/ou climatique à la cause des changements climatiques.

 

Or, certains liens sont totalement exagérés, manipulés ou carrément faux.

 

Alors, avec toute l'argent dont ils disposent, j'aimerais bien que les lobbys du pétrole se manifestent un peu plus justement, histoire de rééquilibrer le balancier.

Il y a une différence entre ce que les médias disent pour faire du sensationnalisme, et ce que les scientifiques avancent. C'est rendu que les gens utilisent l'exagération des médias pour nier les changements climatiques. C'est ce qu'on appel, un faux argument. Vaut mieux être trop alarmiste, que pas assez, sinon les humains continueront de surconsommer comme ils le font présentement, car le confort personnel est beaucoup plus important que la planète.

  • Aime 2
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très bon point et très intéressant. Donc, il y avait déjà des changements climatiques avant l'air industrielle? Par exemple, la dernière glaciation d'il y a 20 000 ans, est-ce que c'est un changement climatique ou bien la conséquence d'un phénomène normal comme le changement de l'axe de rotation de la Terre? Une éruption volcanique peut causer un changement climatique et ce n'est pas la faute de l'homme? Par contre, on ne peut nier comme dit morem la pollution par le pétrole et les activités humaines... Il n'y avait pas ce genre de pollution il y a 10 000 ans

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En tout cas, si c'est le cas, ils sont plutôt discrets.  On entends pas trop de nouvelles concernant des records de froids et de neige dans certaines régions du globe, on entend pas trop parler non plus que l'Arctique est en santé comme jamais ces temps-ci....

 

Non, côté propagande, le balancier est pas mal plus du bord de la fin du monde imminente, de la Terre qui se transformera en étuve.  Et on tente par tout les moyens de relier tout événement environnemental et/ou climatique à la cause des changements climatiques.  

 

Or, certains liens sont totalement exagérés, manipulés ou carrément faux.

 

Alors, avec toute l'argent dont ils disposent, j'aimerais bien que les lobbys du pétrole se manifestent un peu plus justement, histoire de rééquilibrer le balancier.

Donc nous serions un peu manipulés ce qui nous empêche de distinguer la réalité, ce qui se passe pour vrai?

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Il y a une différence entre ce que les médias disent pour faire du sensationnalisme, et ce que les scientifiques avancent. C'est rendu que les gens utilisent l'exagération des médias pour nier les changements climatiques. C'est ce qu'on appel, un faux argument. Vaut mieux être trop alarmiste, que pas assez, sinon les humains continueront de surconsommer comme ils le font présentement, car le confort personnel est beaucoup plus important que la planète.

On parle des scientifiques comme s'ils avaient une seule opinion, celle portée par vous avez quoi, qui représenterait 97% des scientifiques ou des experts en climat. Si vous voulez un bon exemple de chiffres manipulés à des fins politiques qu'on nous sert à tous vents pour faire taire ceux qui osent questionner le "consensus", voilà le meilleur exemple. Alors, allez inspecter comment cette étude statistique a été faite : vérifiez qui l'a réalisée, comment et par quels moyens. Mais attention : si vous voulez vous rassurer avec vos certitudes, n'allez pas investiguer, vous risqueriez d'être vraiment déçus.

  • Aime 3
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Il y a une différence entre ce que les médias disent pour faire du sensationnalisme, et ce que les scientifiques avancent. C'est rendu que les gens utilisent l'exagération des médias pour nier les changements climatiques. C'est ce qu'on appel, un faux argument. Vaut mieux être trop alarmiste, que pas assez, sinon les humains continueront de surconsommer comme ils le font présentement, car le confort personnel est beaucoup plus important que la planète.

Quand j'étais étudiant à l'UQAM, c'était le tout début du GIEC et on se posait cette question :

"Les scientifiques doivent-ils intervenir politiquement ou rester neutres dans tout débat politique ?"

 

Traditionnellement, les scientifiques ne s'occupaient pas de politique. Ils étaient chargés d'établir les faits, de proposer une compréhension du monde et des phénomènes naturels qui permette de faire des prévisions qui se vérifient si les variables en jeu (la quantité de CO2 par exemple) devaient changer. L'idée, c'était que la connaissance serait disponible pour des gouvernements bienveillants. C'était aussi de maintenir l'indépendance autant que possible entre la politique et les sciences.

 

Cependant, les gouvernements ne sont pas des parents bienveillants qui s'assurent que leurs enfants vivent et grandissent dans un environnement sain. Pour qu'ils s'occupent d'environnement, il faut que la population fasse pression. Or, quoi de mieux que les médias pour sensibiliser la population aux problèmes environnementaux ? Mais comment sensibiliser les médias, si ce n'est pas par un organe officiel rattaché à l'ONU ? Et comment sensibiliser les gens sans leur faire peur, dans ce monde de consommation où la plupart des gens travaillent d'arrache pied pour accéder au bonheur vanté par les médias de posséder cette voiture dernier cri, ce cellulaire indispensable ou cette crème anti-âge ? Alors, voilà nos valeureux scientifiques associés à l'intérieur d'un organe politique dont le but est d'alarmer la population sur les dangers de la pollution.

 

Soyons honnêtes : pour que la population veuille changer et faire pression sur les gouvernements, il est nécessaire de lui faire peur. Cela, nous le savions à l'époque. Mais qu'est-ce qui nous retenait alors ? N'y avait-il pas urgence d'agir ?

 

Aujourd'hui, nous nous trouvons dans la situation où les gouvernements sont endettés par des dépenses effrénées et un lobby de gens très influents visant à réduire l'impôt des plus riches. En conséquence, la recherche scientifique indépendante est presque inexistante. La plupart des efforts de recherche publics sont déterminés par les orientations politiques des gouvernements. Et ces orientations sont le résultat des pressions de l'ONU, de la population et de la presse. Par l'intermédiaire des médias, les chercheurs alertent les gouvernements, qui en réponse leur attribuent plus de fonds de recherche. Et c'est ainsi que la roue tourne. Alors, s'il y avait un train à prendre qui allait assurer que les chercheurs ne soient pas en conflit d'intérêt, nous l'avons manqué. Et lorsqu'il y a de conflit d'intérêt, la science ne reste pas longtemps objective, malgré les meilleures volontés. Mais le système est ainsi fait et ce n'est pas la faute des scientifiques.

 

Le climat n'est pas le seul problème environnemental préoccupant. Mais il est LE cheval de bataille que des scientifiques et des activistes en mal de moyens d'action pour changer le cours de l'histoire ont choisi. C'est par lui qu'il a été décidé de sensibiliser la population sur le fait que la planète est trop petite pour supporter un système économique basé sur une croissance pratiquement ininterrompue et déconnecté des réalités environnementales.

 

Autrefois, j'étais 100% convaincu que c'était le bon cheval, mais aujourd'hui je pense qu'on s'est trompé et que la vérité nous rattrapera tôt ou tard. Je ne suis pas de ceux qui croient que la fin justifie les moyens.

 

Quant aux moyens mis de l'avant pour faire avancer cet agenda, on pourrait en discuter longuement...

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Suite à tout cela je me pose encore des questions - les choses ne sont pas transparentes à cause de la peur pour une bonne part je pense.

Les peurs...

Oui. "Bébé échaudé craint l'eau froide". Ton grand-père en sait quelque chose...  :ermm:

Modifié par Wave
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Quand j'étais étudiant à l'UQAM, c'était le tout début du GIEC et on se posait cette question :

"Les scientifiques doivent-ils intervenir politiquement ou rester neutres dans tout débat politique ?"

 

Traditionnellement, les scientifiques ne s'occupaient pas de politique. Ils étaient chargés d'établir les faits, de proposer une compréhension du monde et des phénomènes naturels qui permette de faire des prévisions qui se vérifient si les variables en jeu (la quantité de CO2 par exemple) devaient changer. L'idée, c'était que la connaissance serait disponible pour des gouvernements bienveillants. C'était aussi de maintenir l'indépendance autant que possible entre la politique et les sciences.

 

Cependant, les gouvernements ne sont pas des parents bienveillants qui s'assurent que leurs enfants vivent et grandissent dans un environnement sain. Pour qu'ils s'occupent d'environnement, il faut que la population fasse pression. Or, quoi de mieux que les médias pour sensibiliser la population aux problèmes environnementaux ? Mais comment sensibiliser les médias, si ce n'est pas par un organe officiel rattaché à l'ONU ? Et comment sensibiliser les gens sans leur faire peur, dans ce monde de consommation où la plupart des gens travaillent d'arrache pied pour accéder au bonheur vanté par les médias de posséder cette voiture dernier cri, ce cellulaire indispensable ou cette crème anti-âge ? Alors, voilà nos valeureux scientifiques associés à l'intérieur d'un organe politique dont le but est d'alarmer la population sur les dangers de la pollution.

 

Soyons honnêtes : pour que la population veuille changer et faire pression sur les gouvernements, il est nécessaire de lui faire peur. Cela, nous le savions à l'époque. Mais qu'est-ce qui nous retenait alors ? N'y avait-il pas urgence d'agir ?

 

Aujourd'hui, nous nous trouvons dans la situation où les gouvernements sont endettés par des dépenses effrénées et un lobby de gens très influents visant à réduire l'impôt des plus riches. En conséquence, la recherche scientifique indépendante est presque inexistante. La plupart des efforts de recherche publics sont déterminés par les orientations politiques des gouvernements. Et ces orientations sont le résultat des pressions de l'ONU, de la population et de la presse. Par l'intermédiaire des médias, les chercheurs alertent les gouvernements, qui en réponse leur attribuent plus de fonds de recherche. Et c'est ainsi que la roue tourne. Alors, s'il y avait un train à prendre qui allait assurer que les chercheurs ne soient pas en conflit d'intérêt, nous l'avons manqué. Et lorsqu'il y a de conflit d'intérêt, la science ne reste pas longtemps objective, malgré les meilleures volontés. Mais le système est ainsi fait et ce n'est pas la faute des scientifiques.

 

Le climat n'est pas le seul problème environnemental préoccupant. Mais il est LE cheval de bataille que des scientifiques et des activistes en mal de moyens d'action pour changer le cours de l'histoire ont choisi. C'est par lui qu'il a été décidé de sensibiliser la population sur le fait que la planète est trop petite pour supporter un système économique basé sur une croissance pratiquement ininterrompue et déconnecté des réalités environnementales.

 

Autrefois, j'étais 100% convaincu que c'était le bon cheval, mais aujourd'hui je pense qu'on s'est trompé et que la vérité nous rattrapera tôt ou tard. Je ne suis pas de ceux qui croient que la fin justifie les moyens.

 

Quant aux moyens mis de l'avant pour faire avancer cet agenda, on pourrait en discuter longuement...

Donc le climat va bien, la planète est en pleine santé, la biodiversité terrestre va super bien, les océans sont à 100%, etc... continuons à surconsommer, c'est pas grave, tant que l'économie va bien. ........ Mais plus serieusement je comprends pas comment on peut encore douter moindrement des changements climatiques et de leurs effet, il faut vraiment avoir la tête dans le sable! Les signes sont évidents, restent juste à voir jusqu'où cela ira.

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Donc le climat va bien, la planète est en pleine santé, la biodiversité terrestre va super bien, les océans sont à 100%, etc... continuons à surconsommer, c'est pas grave, tant que l'économie va bien. ........ Mais plus serieusement je comprends pas comment on peut encore douter moindrement des changements climatiques et de leurs effet, il faut vraiment avoir la tête dans le sable! Les signes sont évidents, restent juste à voir jusqu'où cela ira.

 

Y a tu qqun ici qui nie l'évolution du climat et ce depuis le début des temps? Je ne pense pas. Qui dit évolution, dit changement. Pas trop compliqué à date!  Ce dont il est question, c'est le sensationnalisme, l'exagération et les faussetés répendues dans les médias de toute sorte.  À un moment donné, ça devient complètement ridicule, ça perd toute crédibilité et ça déforme la réalité.

 

Affirmer cela, n'empêche pas le fait de souhaiter un avenir meilleur avenir pour nos enfants, de souhaiter l'élimination des combustibles fossiles vers une  énergie verte, de souhaiter une meilleur gestion des déchets et du recyclage, de souhaiter une réduction significative de notre emprunte écologique.

 

J'en ai ras les basquettes de toujours se faire crucifier parce qu'on ose  apporter une nuance au courant pensée dicté. 

 

Quand un courant de pensée devient du fanatisme, l'objectivité prend le bord!

Modifié par erol
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Y a tu qqun ici qui nie l'évolution du climat et ce depuis le début des temps? Je ne pense pas. Qui dit évolution, dit changement. Pas trop compliqué à date! Ce dont il est question, c'est le sensationnalisme, l'exagération et les faussetés répendues dans les médias de toute sorte. À un moment donné, ça devient complètement ridicule, ça perd toute crédibilité et ça déforme la réalité.

 

Affirmer cela, n'empêche pas le fait de souhaiter un avenir meilleur avenir pour nos enfants, de souhaiter l'élimination des combustibles fossiles vers une énergie verte, de souhaiter une meilleur gestion des déchets et du recyclage, de souhaiter une réduction significative de notre emprunte écologique.

 

J'en ai ras les basquettes de toujours se faire crucifier parce qu'on ose apporter une nuance au courant pensée dicté.

 

Quand un courant de pensée devient du fanatisme, l'objectivité prend le bord!

C'est contre les médias que vous devez vous en prendre, pas au problèmes. Et les changements climatiques du passé dont tu me parle ne se produisait pas sur seulement un siècle, mais sur plusieurs siècles voir milliers d'années. Les changements climatiques actuels sont uniques par la rapidité dont ils se produisent....

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Le téléphone arabe…

 

Je pense personnellement que le plus gros problème ne vient pas des médias...mais de l’éducation de la population. De nos jours ‘on choisit’ notre nouvelle, celle qui fait notre affaire et qui nous réconforte dans notre propre pensée. On vient borné et on cherche à avoir raison…

 

Un autre facteur non négligeable; Ce qu’on retire ou retient chacun d’une même information, on retient ce qui nous conforte, encore. 

 

1-Un chercheur, un scientifique ou un médecin fait de la recherche, énonce des faits, émet un hypothèse…

2-Un journaliste écrit un article sur ces recherches, légèrement ou beaucoup modifié, de façon à faire sensation. Avoir titre accrocheur.

3-Un éditorialiste reprend l’article d’un journaliste et le tourne à sa façon….

4-Un chroniqueur d’un journal commente l’éditorialiste...de plus en plus à droite ou à gauche…

5-Un ‘facebookeux’ qui croit tout savoir met le commentaire du chroniqueur sur son facebook...pour le commenter à sa façon.

6-Les gens écrivent ensuite des commentaires au facebookeu, des commentateux….Le message continue de se modifier...toujours dans ce qui conforte chacun, en devenant de plus en plus extrême d’un bord comme de l’autre.

7-Un autre commenteux reprend tout ça sur twitter…

8-D’autre commente le ‘twitteux’

9-Le chercheur, le scientifique ou le médecin à complètement perdu le contrôle sur son message initial.

 

On ne commente plus l’étude, la recherche ou les conclusions initiales, on s’obstine et on commente les commentaires des commenteux qui commentent, qui commente qui?…Qui commente quoi?...c’était quoi déjà le sujet?

 

 

 

Vive les Internets!

Modifié par did
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pour les changements climatiques normaux on parle en terme de milliers d'années mais quand ça se produit en deça de 50 ans, c'est plus inquiétant... c'est surtout au niveau de la biodiversité, de la déforectation... encore aujourd'hui un conférencier est venu nous parler de la déforestation et de l'augmentation du CO2 dans l'atmosphère et qu'en 2100 l'air ne sera plus respirable et la planète sera inhabitable, ça fait très peur. Il faut donc je crois continuer les mouvements de grève pour le climat et surtout trouver une solution: "comment peut-on en tant qu'individu remédier à la situation"

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pour les changements climatiques normaux on parle en terme de milliers d'années mais quand ça se produit en deça de 50 ans, c'est plus inquiétant... c'est surtout au niveau de la biodiversité, de la déforectation... encore aujourd'hui un conférencier est venu nous parler de la déforestation et de l'augmentation du CO2 dans l'atmosphère et qu'en 2100 l'air ne sera plus respirable et la planète sera inhabitable, ça fait très peur. Il faut donc je crois continuer les mouvements de grève pour le climat et surtout trouver une solution: "comment peut-on en tant qu'individu remédier à la situation"

Beaucoup te diront que c'est exagéré. Par contre, ne faites qu'imaginer une population mondiale de 10-11 milliards d'humains qui surconsommerait les ressources durant les prochaines 70-80 années ? Si on ne change pas nos habitudes, j'ai pas de la misère à croire que la Terre sera "inhabitable". Bien evidemment c'est une exageration, mais elle serait certainement en piteuse état.

Modifié par morem
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