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Wave

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Tout ce qui a été posté par Wave

  1. Quand même un peu en lisant Harry Potter, non ?
  2. Ça me rappelle qu'une fois, j'ai fait à ma blonde une mauvaise blague. On étudiait pour un examen de bio la pression osmotique. Je lui ai dit : c'est simple, la sève monte, c'est parce qu'Acer sonsacàrhum. Après une courte pause, elle m'a répondu : Aceri sacrainmonhomme !!! Saccharum-Saccharinum-Rubrum !! Ah le latin, c'est si simple ! Je vais enfin comprendre ce que j'ai pas compris dans Harry Potter. J'ai pas poursuivi mes études en bio, c'est dommage ... Ah! l'automne, les couleurs, les odeurs... Que d'inspirations cela m'inspire!
  3. Intéressant ! Merci Éric!!!
  4. Intéressant. Et prévisible depuis plus de 25 ans avec l'émergence des algorithmes dits "réseaux neuronaux". Il existe de plus en plus de systèmes experts plus performants que les experts humains, comme au jeu d'échecs et au go. Le deep learning utilise des réseaux de neurones et des système multicouches pour extraire des patterns (formes, sons, concepts ou relations statistiques) là où même les êtres humains échouent à distinguer quoi-que-ce-soit de cohérent. Concernant ElNino, ça signifie qu'il y aurait des patterns statistiques et une dynamique atmosphère-océans qui échappent, en totalité ou en partie, à nos modèles actuels de prévisions.
  5. Bonjour Éric, Je suis un adepte et un mordu du ski de fond. Ça demande un investissement initial raisonnable et il existe des pistes en bon état dont l'accès est gratuit. Sinon, les sentiers balisés coûtent entre 10$ et 20$ la journée. Une sortie de ski de fond, c'est habituellement entre quelques minutes et une heure pour se rendre sur les lieux et en revenir. On skie entre 7 et 15 km à chaque fois; ça prend entre 45 et 90 minutes ou un peu plus, selon le rythme. Lorsqu'on débute, on choisit des pistes plus courtes. On peut y aller le matin ou l'après-midi. On peut aussi choisir de faire une plus longue randonnée et amener une trousse de fartage, une gourde d'eau et un lunch. On y va seul, à deux ou à plusieurs. Lorsqu'on a froid, il y a des refuges pour se réchauffer à la chaleur d'un poêle à bois. Selon qu'on le fait pour s'entraîner, pour bouger ou davantage pour le contact avec la nature, le rythme est très variable. On choisit les pistes faciles, intermédiaires ou expertes; on le fait sur terrain plat ou relativement montagneux, au pas classique ou au pas de patin. On le pratique habituellement à des températures supérieures à -20 et inférieures à zéro. On s'habille en oignons et on enlève des couches lorsqu'on a chaud. Lorsqu'il vente et qu'il fait froid, on va préférer les sous-bois ou s'abstenir. Le moment le plus plaisant lorsqu'on fait une sortie de ski fond, c'est le retour au chaud après la sortie : on est envahit par une sensation d'euphorie causée par l'activité physique soutenue. C'est ce qui nous donne le goût d'y retourner encore et encore.
  6. Bonsoir Erick !!! Très intéressant et bonne observation !
  7. Trop étrange cette séquence : une convection tellement parfaitement circulaire, si rapide et soudaine! À peu près rien de similaire qui précède cette bouffée, même de loin. Je suppose que c'est parce que ça se produit précisément au centre du système. L'autre chose que je remarque, c'est que cette flambée de convection est initiée en périphérie nord-ouest et qu'elle se propage rapidement - comme une traînée de poudre - le long du bras en spirale jusqu'au centre, où elle explose littéralement.
  8. Qui n'est pas heureux de ce beau temps !!! Pour les nombrils, il y a peut-être quelques jaloux...
  9. Bonjour Erick, il me semble que le développement des tempêtes tropicales et ouragans dans l'Atlantique a tendance à déjouer depuis quelques semaines les probabilités de développement du NHC. Je me trompe ?
  10. Peut-être qu'il pourrait le dévier par sa propre circulation ?
  11. Enfin une femme (une vraie) ! On va voir de quoi elles sont capable!!!
  12. Remarquez que ce reportage aurait pu tout aussi bien sortir sur les ondes de Radio-Canada ou de RDI. Peu importe le média, les nouvelles scientifiques commencent souvent de cette façon : -"Certaines études démontrent que..." -"Une nouvelle étude sème l'inquiétude..." -"Des scientifiques ont montré que..." -"Selon des chercheurs..." Lorsque c'est le cas, ce n'est pas bon signe. Et lorsque le titre est alarmant en plus, c'est suspect. La source de MM est pourtant une personne renommée. Mais : pas de références bibliographiques, pas de noms d'auteurs, aucune mention de vérifications faites par des chercheurs indépendantes. À cela s'ajoute une explication bancale qui néglige la complexité de la dynamique de l'atmosphère. Pourquoi au-dessus du Québec ou du Canada plutôt qu'ailleurs ? Pas de réponse. Dans les années 70, nous avons eu des hivers très rigoureux. En 1977, Buffalo a eu son pire hiver de mémoire d'homme : un terrible blizzard et un froid polaire ont duré plusieurs jours, causant des morts, ensevelissant routes et maisons, paralysant complètement la ville et nécessitant l'état d'urgence. Le vortex polaire était descendu sur les Grands-Lacs. On connaît bien la cause de ce décrochage du vortex polaire : c'est le Stratospheric Sudden Warming. Le SSW est le résultat de la dynamique de l'atmosphère : dans des contextes bien spécifiques, certaines ondes atmosphériques très énergétiques se propagent verticalement et leur énergie est absorbée en haute altitude. Le lieu où le VP ira s'installer est variable et la dynamique en jeu est complexe. Les nouvelles font vendre et elles ont un impact politique. Dans leur sélection et leur diffusion, il y a une intention qui n'est pas nécessairement de renseigner les gens en tout objectivité. Lorsqu'on les écoute, il faut le faire avec un oeil critique... si je peux dire.
  13. Oui, en effet Éric !!! C'est ce que prévoient les modèles. Et ça pourrait se prolonger dans la dernière semaine de septembre. Merci pour cette animation et continue à nous poster des cartes et/ou des animations!
  14. Bonjour Morem, il me semble que tu n'as pas bien lu ce que j'ai écrit, car je ne prétends pas que le CO2 d'origine humaine n'a pas d'impact. Mais l'homme n'est (((probablement pas))) la seule cause des changements climatiques. J'ai suggéré le soleil et je précise : les variations du vent solaire et les variations des rayons cosmiques qui en résultent. Je ne suis pas chimiste, mais as-tu vérifié les travaux de Steven Svensmark ? Il a travaillé avec une équipe qui inclut des chimistes et des physiciens. Quand je dit "probablement pas", j'insiste sur l'idée que le doute en science est sain, que c'est une chose nécessaire. Ceci étant dit, il est clair que le CO2 est un gaz à effet de serre et que son doublement va se répercuter sur le climat. Les modèles radiatifs prévoient une augmentation de 1 à 2 degrés en moyenne (mais plus près de 1 degré) uniquement dû aux bilans radiatifs. Ensuite, on peut penser que cette augmentation de 1 ou 2 degrés va entraîner une plus grande évaporation, donc plus de vapeur d'eau dans l'atmosphère et plus de nuages. La vapeur d'eau étant elle-même un gaz à effet de serre, elle risque d'amplifier le phénomène. Mais les nuages eux ont un double effet : augmenter l'albédo de la Terre (réfléchir le soleil) et freiner la fuite vers l'espace de la chaleur par radiation infrarouge. La contribution de ces phénomènes et le résultat final n'est pas clair. Mais il y a déjà eu plus de 10 fois plus de CO2 dans l'atmosphère qu'il y a en a actuellement et cela n'a pas empêché la vie sur Terre de s'épanouir. Au contraire même, car le CO2 favorise la croissance des plantes. Je pense que si nous voulons continuer cette discussion, nous devrions le faire par messagerie personnelle. Alors je t'invite à m'écrire si cela t'intéresse.
  15. Bonjour Dal, je veux bien qu'on parle du temps qu'il fera cette semaine.
  16. Pour l'instant, le méthane ne figure pas dans les modèles de circulations générale visant à prévoir le climat. Il s'agit d'un gaz qui réagit avec l'oxygène, donc il n'a pas une longue durée de vie dans l'atmosphère.
  17. Bonjour Morem, De nos jours, se renseigner uniquement par la voix des médias (télés, radios et journaux), c'est plutôt limitatif. Je me renseigne beaucoup par Internet et j'ai une formation scientifique : les deux sont loin d'être incompatibles. Il y a des gens qui veulent nous faire croire que les scientifiques sont unanimes en ce qui concerne le climat : ces gens y réussissent plutôt bien parce qu'ils ont les organes politiques et la presse de leur côté. Mais ce n'est tout simplement pas vrai. En sciences, pour faire taire les gens qui pensent autrement que ce qui est généralement admis, on les intimide, on les étiquette, on menace de leur faire perdre leur emploi, on coupe leurs subventions, on les empêche de publier dans les revues scientifiques. Ce que je décris là est une réalité et une vraie problématique qui ne se limite pas aux sciences de l'atmosphère. Ceux qui osent sortir du lot et élever la voix sont habituellement en fin de carrière et ils le font parce qu'ils n'ont plus grand chose à perdre. Ils sont suffisamment nombreux pour que ceux qui les cherchent les trouvent, suffisamment bien argumentés pour être crédibles et ils ont fait leurs gallons dans le milieu de la recherche scientifiques et des publications dans les revues à comités de lecture. Je ne prétends pas que l'augmentation du CO2 n'a pas d'impact sur le climat, même que je suis convaincu qu'il en a un, mais je ne crois pas que ce soit inquiétant.
  18. Bonjour, la vidéo suivante sur youtube nous change de l'alarmisme et du défaitisme ambiant. "Une solution béton pour stocker l’énergie solaire à faible coût | André Gennesseaux | TEDxParisSalon" Et oui, les taxes sur le carbone favorisent l'émergence des énergies alternatives. De là à dire que la construction et l'élimination en fin de vie des panneaux solaires (et des piles au lithium) représentent vraiment une alternative écologique aux énergies fossiles, il faudrait creuser la question et envisager des solutions de recyclage plus efficaces que ce qui existe actuellement.
  19. Bonsoir. J'aimerais qu'on m'explique pourquoi l'anomalie est essentiellement concentrée sur le pôle nord. Aussi, quel est ce point de non-retour : qu'est-ce qu'il y a au-delà et pourquoi on ne pourrait pas éventuellement revenir en arrière ? Ensuite, il serait trop tard, mais trop tard pour faire quoi ? Faire ce qu'on n'est pas capable de faire ? Parce que, existe-t-il un seul plan réaliste, juste un, de ce qu'il faudrait faire, dans le présent ou le futur svp, existe-t-il un seul de ces plans qui est réputé efficace ? Réduire de 20% les émissions de CO2 ne changera pratiquement rien et ça ne renversera certainement pas le processus. J'espère qu'on s'entend que de renverser la croissance et de retourner à l'âge de pierre n'est pas la solution. À moins que le but soit d'amener la population à accepter le nucléaire partout ? Ou à accepter des mesures politiques extrêmement coercitives visant à réduire drastiquement la population du globe ? Parce que vraiment, c'est la seule solution politique actuellement envisageable, tant les problèmes environnementaux auxquels nous faisons face sont immenses. Personnellement, le climat me paraît ridicule à côté de tous les autres problèmes - à mon sens les vrais problèmes - auxquels l'humanité aura à faire face : pollution et assèchement des nappes phréatiques, appauvrissement et érosion des sols, guerres et montée des extrémismes religieux, maladies, malnutrition et famines, accumulation des déchets toxiques dans des dépotoirs qui fuient et dans les océans, augmentation des taux de cancers et de maladies dégénératives, diminution de la biodiversité, etc. À côté de tout ça, le climat est un problème de riches : il faut avoir le ventre plein et ne pas avoir de soucis sérieux pour s'en préoccuper. Sinon, c'est que, motivés par la panique générée par les médias, on accepte et on s'empresse de remettre collectivement le problème entre les mains des politiciens, eux-mêmes trop souvent corrompus et déconnectés des citoyens, en espérant qu'ils trouveront une solution, alors qu'ils sont mieux formés en marketing des idées et des images que dans les domaines scientifiques et alors qu'ils ont amplement démontré qu'ils ont plus à coeur leurs intérêts et ceux de leurs commanditaires et des corporations que ceux des citoyens. Que penser de ce que dit Jordan Peterson (sur youtube) : "Professor Jordan Peterson on climate change and climate policy at the Cambridge Union" ? On peut aussi se demander si vraiment il a été démontré que le CO2 est le responsable du réchauffement observée, alors que les influences du soleil ne sont même pas considérés dans les modèles sur lesquels on s'est appuyé pour arriver aux conclusions sur le climat. Donc, qu'en est-il de l'influence des variations des champs magnétiques, du vents solaire et de ses caractéristiques ? Et qu'en est-il de l'effet des traînées d'avions, l'effet du smog et l'effet de l'étalement urbain. Bref, est-on vraiment certain de prendre en compte toute les données pertinentes du problème ? Mais peut-être que je pose trop de questions... En passant, Nathalie Elgrably-Lévy a publié un article intéressant au sujet de Maxim Bernier dans le journal de Montréal. À lire. C'est facile à trouver avec Google.
  20. Humberto continue son lent développement. Le NHC prévoit qu'il deviendra un ouragan dans 48 heures. Sa trajectoire prévue a été ajustée vers l'est et les risques qu'il affecte sérieusement les côtes sont maintenant faibles. il continue à subir un cisaillement vertical important, mais ce cisaillement va diminuer, favorisant son intensification. Par la suite, il va interagir avec un creux barométrique sur la côte et subir les vents d'est en altitude, ce qui va le pousser à s'éloigner davantage vers l'est...
  21. Probablement. Donc, ce soir Humberto est né de TD9.
  22. Du neuf dans l'activité tropicale ? La dépression tropicale Neuf est impressionnante ce soir sur l'image satellite! Et le GFS s'est rallié à l'Euro pour anticiper un développement en tempête tropicale et une trajectoire frôlant la côte nord-est de la Floride et des Carolines. Ça conforte les prévisions du NHC, qui voit ce système devenir un ouragan dans trois jours. Comme la carte du NHC le suggère (voir plus haut), le gros du système resterait sur l'océan et serait (pour l'instant) emporté vers l'est par les vents en altitude après s'être approché des côtes. À suivre !
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