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  1. Bonjour, Je vous l'accorde, c'est difficile à croire et le sujet est très, très dérageant. C'est pourquoi je laisse mon opinion de côté et je vous demande d'en faire autant. Cependant, les indices pleuvent... littéralement. Pour ceux qui sont curieux et ont l'esprit ouvert, sur Youtube : (1) 2016 Rhode Island Geoengeneering Legislation (2) Air Force Testifies HAARP Used to Control Ionosphere (3) Kristen Meghan USAF Air Force Whisle Blower Interview on Chemtrails (4) California Drought Update, April 19, 2015, Five Proofs of HAARP Created Drought * (5) Amazing Proof of Ionospheric Heaters Melting the Arctic * (6) Ionospheric heaters How HAARP really works (7) Physics of Ionospheric Heaters, Killing the Pacific, June 7, 2015 Les sujets marqués d'un astérisque (*) exigent une certaine familiarité avec la dynamique de l'atmosphère, les animations satellites et la physique des nuages.
  2. Erick, je sais que ça ressemble à l'oeil d'un ouragan, mais il y a des nuages de bas niveau au centre (ou c'est de la glace de mer ?) et on voit (peut-être) le sol en bas à droite. D'ailleurs, la masse nuageuse m'a l'air trop uniforme, l'oeil est trop parfait et... que voit-on au centre ? C'est une zone de subsidence, donc d'assèchement. Ma question : que montre cette image ?!?!?!?
  3. À Pierrefonds aussi ça devient un problème. Le boulevard Pierrefonds est partiellement inondé à proximité du boulevard St-Jean. C'est situé à environ 250 m de la rivière des Prairies, dans l'ouest de l'île de Montréal. Il y a environ 40 ans, l'eau était montée 3 ou 4 pieds plus haut au même endroit.
  4. Oui, ils s'attendaient à une intensification, mais pas aussi soudaine. J'avais émis l'hypothèse que l'énergie électrique associée à la différence de potentiel entre le sol et la ionosphère (possiblement 500 000 volts) aurait participé à cette intensification. Très hypothétique, mais pas du tout farfelu. Cette idée est d'autant plus intéressante que Matthew s'est rapidement intensifié assez précisément au moment où il passait au-dessus d'une faille tectonique. Dans un matériau solide, les failles sont les voies les plus fréquemment empruntées par les courants électriques. Je sors ici du cadre habituel de la météorologie, mais cette hypothèse a le mérite d'expliquer ce que les modèles météo ont été incapables de prévoir. Dans le cas de Arlène, la différence de température entre l'océan et la masse d'air juste au-dessus peut (je suppose) avoir contribué au développement.
  5. Oui. Je comprends la surprise du météorologue du NHC. Je suis presque intervenu il y a deux jours pour dire qu'il ne fallait pas s'attendre à ce que ce système devienne une tempête tropicale, mais je me suis retenu, juste au cas. C'est déjà rare durant la saison des ouragans, c'est encore plus rare en avril.
  6. Triste nouvelle pour les données paléo-climatiques provenant de l'Arctic canadien, publiée en ligne le 16 avril sur TheGardian : 22 000 years of history evaporates after freezer failure melts Arctic ice cores "Around 13% of cache of ice cylinders extracted from glaciers in Canadian Arctic exposed to high heat in new storage facility at University of Alberta" (Voir les détails dans l'article en ligne).
  7. Bonjour Erol, ce serait mal te connaître, en effet! Ma réaction visait surtout à prévenir un dérapage de la discussion lorsque d'autres membres interviendraient.
  8. Bonjour Christian, on s'entend que c'est la grande différence de température entre les deux masses d'air qui provoque cette dynamique. Mais j'hésite à y voir un lien de cause à effet où la masse d'air chaud (et elle seule) serait la cause.
  9. C'est bien vrai Christian, c'est pourquoi les auteurs de l'étude que j'ai citée demeurent prudents dans leur analyse et leur conclusion. Alors, il ne suffit pas de lire ce qu'on rapporte au sujets des articles scientifiques, il faut aller les lire soi-même et mesurer la profondeurs, la solidité et la portée de leurs arguments.
  10. Attention Erol, je ne pars pas de débat. Tu peux remarquer que je garde un ton neutre et que je n'emploie aucun mot péjoratif, ni aucun diminutif. Je ne fais que rapporter une étude et je la commente, ou plutôt je l'analyse. Mon seul commentaire qui sort de ce cadre est dans ma dernière phrase, où je me suis permis une liberté bien mesurée. Maintenant, à ce commentaire, j'ajoute (à propos des scénarios catastrophes) : "entendus dans les médias et qui proviennent des conclusions du GIEC". Je crois qu'on s'entend pour dire que je ne déforme pas la réalité. L'objectivité, c'est ce qui doit caractériser la science et ceux qui s'en font les messagers. Je crois avoir respecté ce principe. Bonne nuit à tous!
  11. Bonjour, Avec la vidéo suivante, je vous invite à débuter un voyage exploratoire hors des sentiers battus. Il s'agit d'un tout autre sujet (que la climatologie) : il s'agit de la dynamique même des interactions électromagnétiques entre le soleil et la Terre, à l'origine (entre autre) des aurores boréales. Sur Youtube : Plasma Jets and the Electric Earth | Space News (Parmi les informations qu'on trouve dans cette vidéo, il y a la différence de potentiel entre la surface de la Terre et la ionosphère : 500 000 volts. Ça fait longtemps que je la cherchais et c'est à vérifier). Bon voyage!
  12. Bonsoir, Voici une étude publiée sur Internet qui tente d'identifier les causes des variations de températures, sur des échelles allant de plus d'un an jusqu'au millier d'années : Identification of the driving forces of climate change using the longest instrumental temperature record Revue : Scientific Reports Auteurs : Wang, Yang et Zhou Cet article est disponible sur Internet, à l'aide de Google. En gros, il s'agit d'une analyse spectrale en ondelettes des anomalies (les écart à la moyenne) de températures en Angleterre, depuis 1650 jusqu'à 2013. Les principales harmoniques sont identifiées. Elles correspondent à : 1. Un cycle de période L1=3 ans (identifié à ENSO) 2. Un cycle de période L2=22 ans (identifié au Soleil) 3. Des cycles dont la période est une combinaison linéaire de L1 et L2, donc de la forme aL1 + bL2, avec des coefficients a et b qui sont soit des entiers relativement petits, (comme, -1, 0, 1, 4 et 7) soit des fractions simples (comme 1/3). Les auteurs de l'article identifient ces cycles à une réponse non-linéaire (du couple atmosphère-océan) aux forçages associés aux cycles (1) et (2). 4. Un signal modulant, d'une période d'environ 1000 ans (que les auteurs associent à des variations naturelles de CO2, mais que d'autres auteurs ont associé au soleil). La variation du CO2 d'origine humaine est évoquée dans cet article parmi les forçages récents des anomalies de températures, mais - parce qu'elle n'est pas cyclique - elle n'était pas en soi visée par cette étude, qui s'intéresse avant tout à expliquer les variations cycliques. Ce qui est intéressant ici, c'est qu'on sort du cadre restreint qui pointe vers une cause unique (CO2), on admet que les approches de la climatologie à l'aide des modèles de circulation générale (GCM) ne permettent pas actuellement d'identifier les causes à l'origine des changements climatiques observés sur des échelles de temps allant jusqu'aux centaines d'années (que ce soit le CO2, le soleil ou quoi-que-ce-soit d'autre) et on propose une approche qui suggère les causes probables des variations observées, avec un certain niveau de confiance. Le point fort de cette étude, c'est que cette méthode a été validée à l'aide des données disponibles pour l'hémisphère Nord. Le coefficient de corrélation obtenu étant de 0,998, la méthode semblait très fiable. Le point faible, c'est que les conclusions (énoncées ci-haut en quatre points) ayant été tirées des meilleures données disponibles pour l'Angleterre, on ne peut pas les étendre (tels quels) à l'ensemble de la planète. De plus, il s'agit d'une approche relativement nouvelle en sciences de l'atmosphère, de sorte que des analyses plus fines sont nécessaires. En définitive, les auteurs reconnaissent (les forces et) les faiblesses de leur approche. C'est un article honnête, bien écrit et sans prétention. Il nous change des scénarios catastrophe et il nous ramène les deux pieds sur Terre.
  13. Bonsoir Bruno, Je ne peux pas te nommer d'études scientifiques, mais je peux nommer des scientifiques et te montrer des exposés qu'ils ont faits sur ce sujet. Retourner aux sources, autres que les rapports du GIEC eux-mêmes, qu'elles soit dans un sens ou dans l'autre, lorsque le seul accès aux données et articles dont on dispose est par Internet, comment on fait ? Jusqu'à maintenant, j'ai fait comme la plupart des gens, je me suis fié aux sources facilement accessibles. J'y ai vu des données qui étaient de la NOAA et de la NASA (selon les sources citées), maintes fois reprises. Après mure réflexion, je n'adhère plus aux conclusions du GIEC. Il me reste à vérifier les données elles-mêmes à leur source.
  14. Oui, très belle analogie, Bruno! Les dieux sont sur leur piédestal. Le monde ordinaire est en bas et il craint leur foudre.
  15. Bonjour Dave et Dal, Oui, le GIEC est (((aussi))) composé de scientifiques, la plupart sans doute très bien intentionnés. C'est ce qui en fait la réputation, généralement positive jusqu'à maintenant. Mais quand le bateau est dirigé par des politiciens, il navigue là où la politique le mène. Remarquez, s'il était dirigé par les pétrolières ou l'industrie du charbon, ça ne serait pas mieux. Selon ce que je vois, la capacité des plus puissants à nous faire croire n'importe quoi est sans limite. Concernant la climatologie, en l'absence de rétroactions positives ou négatives (surtout dues aux nuages), si on parle uniquement de l'ajustement de l'équilibre radiatif associé à un doublement du CO2, le consensus est que la température au sol devrait augmenter globalement d'au plus un degré. Pour le reste, nous ne savons pas comment le système atmosphère-océans réagira. La corrélation (sur des millénaires) entre température globale et concentration en CO2 montrée dans les carottes de glace du Groenland et de l'Antarctique ne signifie pas que le CO2 soit la cause et la température l'effet. De nombreux scientifiques avancent que la relation de causalité va dans l'autre sens et ils disent en avoir la preuve. Selon eux, le principal facteur qui influence la température est le soleil, qui a un cycle de 11 ans, un cycle de 200 ans et probablement aussi des cycles plus longs. Si on lisse dans le temps la courbe d'évolution de la température globale, le RC dure depuis en gros 200 ans. Or, le CO2 ne peut pas être tenu responsable du premier siècle d'augmentation. Pour terminer sur une note plus légère, Einstein a dit : "La gravitation ne peut pas être tenue responsable du fait que les gens tombent en amour!". Et en passant, joyeuses Pâques à tous!
  16. Bonjour Zeus, Oui, elle est là la catastrophe selon moi, bien plus que dans les scénarios apocalyptiques diffusés partout, dont la base n'a rien de scientifique et dont les visées n'ont rien de la philanthropie. Si la tendance se maintient, dans 20 ans nous serons bien obligés d'admettre qu'il nous faut rétablir l'indépendance de la communauté scientifique face au monde corrompu de la politique et des médias.
  17. Ça fait un bout que ça a été posté (poste #32), mais ça mérite qu'on y revienne. La dernière carte (du CFSV2) montre un refroidissement entre 2002 et 2007. De 2002 à 2017, c'est une température globale à peu près stable que montre ce graphique. Alors, si on exclut l'épisode du El Nino 2016, où est passé le RC ?
  18. Bon matin à Erick et à tous, Ces cartes (voir cet exemple au poste #647) qui montrent des températures - la surface des océans - généralement plus chaudes que la moyenne, à répétition, mois après mois, années après années, je les prends avec un grain de sel depuis que j'ai su que la NOAA aurait modifié rétrospectivement les données climatologiques. John Bates Whistleblower Global Warming Scandal at NOAA Falsified Data Puis, quand on fouille sur Youtube, on trouve plusieurs scientifiques qui rapportent que ce genre de modifications aurait été effectuée plus d'une fois, comparant des graphiques plus anciens avec de plus récents, pour les même régions et les mêmes périodes. On parle de données de la NOAA et de la NASA.
  19. Pour faire suite à ce message, c'est le phénomène en question que j'ai voulu porter à votre attention. Je n'étais pas au courant moi-même qu'il existe une telle corrélation. Cependant, ce que la modélisation rapportée ici permet d'expliquer, ce n'est pas le mécanisme par lequel l'atmosphère réagit à l'activité solaire, mais c'est le délai. Le mécanisme est évité, car il est introduit artificiellement par un forçage sinusoïdal au sommet de l'atmosphère. Ça, c'est la partie qui m'a déçue lorsque j'ai survolé cet article.
  20. Sur Youtube : Climate Scientist Judith Curry on NOAA's upward 'adjustments' of temp data: They're 'rather huge'
  21. Bonjour, Il semble y a voir une corrélation entre les phases du NAO, le vortex stratosphérique polaire et le cycle de 11 ans de l'activité solaire. Des scientifiques auraient réussi à reproduire, sur leur modèle numérique couplé atmosphère-océans, le délai de 3 ans observé entre l'activité solaire et la réponse de l'atmosphère. Voici l'article disponible en ligne : "Delayed North Atlantic Response to Solar Forcing of the Stratospheric Polar Vortex"
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