Wave

Même l'équipe de tournage se payait sa gueule en prenant des gros plant ou en lui jouant des tours mais il était bon joueur et tout à fait drôle... Mais il y en avait un autre avant lui beaucoup moins intéressant qui montrait des photos de lui en costumes de bain dans des pause de "body builders" Il était la à la fameuse tempête de 73 - il lisait des comptes rendues écris pour faire plus sérieux ... Si je me souvient bien il annonçait 10 pouces de neiges au début... Quelqu'un se souvient ? C'est vrai qu'il était drôle et captivant ! Et je me souviens, quoi que vaguement, de cette complicité avec l'équipe de la caméra. L'autre commentateur météo, je ne m'en souviens pas, c'est tout dire. Et je suppose que tu parles de la "tempête du siècle", celle de 1971 ? De ce qu'on m'a dit, ils prévoyaient 5 cm à Montréal... Mais si c'est bien une tempête de 1973, je ne crois pas m'en souvenir...

En effet Michel. C'est par lui que j'ai été initié à la météo en tant que phénomène physique prévisible. C'était mon idole !

Une fusée russe contenant des produits chimiques capables de modifier la météo et interceptée par un missile américain. Une histoire du genre, sans doute inventée par l'imaginaire débordant des enfants. L'oiseau est un être qui revient périodiquement colorer ma vie à travers des synchronicités. En effet, ça semble sortir de l'imaginaire de Hitchcock et, quand j'y pense, certains événements de ma vie ont davantage l'air d'avoir été vécus en rêve que dans la réalité. Cependant, contrairement au film de Hitchcock, mes oiseaux ne sont jamais très méchants. Cette fois là, j'ai mis l'oiseau dans une boîte à soulier sans couvercle. Cependant, le soir venu, il a bien fallu le laisser dehors. J'ai déposé la boîte sur le perron. Au matin, l'oiseau n'y était plus. Il est parti de lui-même ou il s'est fait manger par un chat, je ne sais pas...

Les événements météo qui m'ont le plus marqué (l'ordre n'est pas chronologique) : 1) Mon père était aviateur et il nous a amené en Cesna dans les nuages quand j'étais jeune. La beauté des nuages est, je suppose, ce qui m'a éveillé à la météo. 2) J'avais environ 7 ans, je dormais chez mes grands-parents à Donacona (entre Québec et Trois-Rivières). J'ai été réveillé par le tonnerre qui grondait de plus en plus fréquemment et de plus en plus fort. Il y avait des éclairs aux trois secondes et le tonnerre suivait immédiatement : CRRRAC-BOUM ! C'était débile ! Ça a duré comme ça pendant un temps qui m'a paru des heures. Au matin, on entendait aux nouvelles que les orages avaient fait déborder la rivière Chaudière (qui passe à Lévis). 3) Le 3 avril 1975, mes frères m'ont réveillé en me disant : regardes dehors, il fait beau. J'ouvre le rideau et qu'est-ce que je vois ? Une tempête de neige !! Ce matin là, nous sommes allés avec ma mère à l'épicerie. En chemin, le moteur a étouffé et ma mère paniquait. Mon frère s'est mis à pleurer. Nous avions un Plymouth Duster, un beau char, mais une vieille technologie. Les bougies d'allumage étaient défectueuses à la moindre humidité. Enfin, le moteur a redémaré et nous sommes rentrés. En après-midi, on demandait aux gens de rester à la maison, car la plupart des routes étaient impraticables. Plusieurs autoroutes étaient fermée. Nous avons pelleté l'entrée, il devait y avoir un pied de neige en moyenne et des congères de trois pieds. La tempête s'est terminé tôt le lendemain matin. La voiture était ensevelie sous la neige, on ne la voyait plus ! Selon les statisques officielles, nous avions reçu environ 29 cm de neige (à Montréal), mais j'ai toujours douté de cette donnée. J'ai plutôt l'impression que nous avons reçu 40 cm. Durant toute la tempête, les vents étaient forts à violents et la visibilité variait de passable à nulle. La poudrerie était généralisée. C'était un véritable blizzard, au sens où on l'entend aux USA. 4) On est en juillet 1986, quelque chose comme ça. Je reviens à Montréal de Québec en autobus. Je suis fasciné par les formations nuageuses que je ne cesse d'observer lorsque soudain je vois, sous un nuage en enclume, un entonnoir descendant jusqu'au sol. Je dis à mon voisin : "hey ! une tornade !" Il me répond : "oui, ça semble en être une", puis il continue sa lecture. Moi, je capotais ! Le phénomène n'a duré que quelques secondes et, fait étonnant, il n'y avait aucun éclair. En effet, malgré le développement vertical des nuages, il n'y avait rien de bien organisé, aucun orage en vue. La plupart des nuages n'étaient que des cumulus. Selon le journal du lendemain, une tornade avait affectivement frappé à St-Sylvestre, non loin de Drummondville, arrachant le toit d'une grange. J'ai calculé que nous devions être à 11 km de la tornade lorsque je l'ai apperçue. 5) C'était une chaude journée d'été, je devais avoir 10 ans environ. Le ciel s'est assombri, c'était comme si le Soleil venait de se coucher. Le vent, qui venait de l'ouest, a tourné pour venir de l'est, léger. Mes frères et moi, on se demandait ce qui se passait. À la radio, on parlait de menaces de tornades. Un oiseau est venu se fracasser contre une fenêtre. Je l'ai récupéré et soigné. Finalement, pas de tornade, ni même d'orage ou de pluie. Le lendemain, des amis prétendaient que ce phénomène était le résultat d'une expérience russe... 6) J'avais environs 15 ans, c'était un après-midi chaud et humide. Les nuages bourgeonnaient un peu partout. Un orage est passé au nord, un autre au sud, puis le beau temps est revenu. Mais il y avait une formation nuageuse qui m'intriguait, très loin au nord. J'ai pris mon vélo et me suis rendu à 2 km au nord, jusqu'à la rivière des Prairies, pour l'observer. Sous les nuages, il s'est mis à y avoir des éclairs. L'orage ne semblait pas menaçant car le vent était de l'ouest, mais soudain il a tourné du nord. Alors, j'ai pris mes jambes à mon cou, ou plutôt mon vélo, et je suis retourné chez moi à toute vitesse. Je suis arrivé juste à temps. C'était un orage digne d'un ouragan ! Mais il n'y a pas eu trop de dégats... 7) Un autre orage, j'avais environ 12 ans. C'était le matin, vers 7h00. Je me réveille et j'entends Boum!, puis encore Boum!, et ainsi de suite. Le tonnerre était de plus en plus fort et à chaque fois aussi sec. Je réveille mes frères. De ma chambre, on a observé le monstre passer. Une pluie tellement forte qu'on n'y voyait pas à vingt mètres, les rafales qui devaient dépasser les 100 km/h et un tonnerre particulier, comme dans un film d'ouragan. À 2 km de chez moi, des toitures ont été partiellement arrachées, ça faisait les journaux. Mon père a dû redresser notre jeune érable (qui mesurait 15 pieds) et lui installer un tuteur. 8) Je ne peux pas passer sous silence cette tempête que je n'ai pas vue, car elle est survenue durant la nuit, mais dont on peut deviner l'ampleur. Ça devait être l'avant-veille de Noël, en 1972 environ. La radio avait annoncé une tempête et ma mère nous avait dit : "priez pour qu'il n'y ait pas de tempête demain, pour qu'on puisse se rendre à Donacona". Au matin, il y avait une vingtaine de cm de nouvelle neige au sol, mais il faisait beau. Nous avons pelleté et sommes partis comme prévu. Sur l'autoroute 40, à Montréal même, des dizaines de voitures étaient abandonnées des deux côtés. De toute ma vie, je n'ai jamais rien vu de tel. Je suppose que beaucoup de gens ont voulu devancer la tempête et se sont fait prendre. 9) Enfin, ce que j'ai trouvé le plus cool, c'était "La couleur du temps", une émission de 15 minutes qui passait tous les soirs à TVA dans les années '70 et annimée par Jacques Lebrun. Les images étaient rudimentaires, mais elles laissaient la place à notre imagination.

Concernant ce système qui devrait se former sur le GOM, le Gfs s'est rangé auprès des Gemglb et Ecmwf : aucun phasage n'est actuellement prévu avec les sytèmes passant loin au nord. La dépression du gulf du Mexique devrait être entraînée vers l'est dans l'Atlantique sans nous affecter. À six jours de l'événement, il faudrait presque un miracle pour que ça nous apporte une tempête, le genre de "miracle" qui se produit moins d'une fois par hiver...

Ouais c'est exactement ce que je pense aussi pour le sud-ouest du Québec. Tranquillement les modèles repoussent la dépression un peu plus à l'est. Le GFS est entrain de sortir alors on va bien voir si la tendance se maintient Je maintient mon 2 à 10 cm et les modèles tasse la dépression à l'est et les maritimes vont y goûter et on aura des grenailles... Hier on voyait 30-40-50 cm peut -être dans l'est mais à l'ouest de trois-rivières une faible neige légère sur 2 jours. ET tu n'a pas répondu à mon message hier ...qui disait sur quelle tendance te basais-tu pour arriver à ces quantités...Tu devrais en faire bénéficier tout le monde. Le GFS 18 Z maintient 37 cm pout MTL en hausse de 1 cm par rapport au 12 z Desole Pierre, je suis branche depuis un ordinateur publique et mon temps est limite. Hier, on observait deja une baisse significatives des quantites moyennes prevues par l'essemble SPENA. Elles sont passees de 25 mm a 15 mm environ en 24 heures sur Montreal. Par ailleurs, la depression qui se forme a l'avant du systeme sur l'ocean est tres mauvais signe. C'est elle qui nous joue les trouble-fete, car elle innibe le developpement du systeme. La depression qui emergerait du gulf du Mexique est deviee vers l'est (au lieu de remonter vers Boston) et son developpement est freine par cette premiere depression. N'avez-vous pas remarque les similitudes entre ce systeme et celui qui devait nous donner une fameuse tempete en fevrier dernier ? Le meme scenario semble en train de se repeter. Voyez la configuration du systeme prevu avant son developpement, alors qu'on voit une onde a 500 hPa sur le centre du continent. Voyez l'onde qui retarde plus au sud. Voyez la depression qui se forme a l'avant sur l'ocean. Tout est la. Ma conclusion va de soit.

Pour voir le decalage entre le systeme prevu par le GFS et celui prevu par le ECMWF, voici le lien : http://www.met.sjsu.edu/weather/ecmwf.html Personnellement, je ne crois pas a plus de 15 cm sur Montreal pour ce systeme. Les modeles le montrent toujours plus a l'est. Lors de sa formation sur la cote, il est tres desorganise. Le probleme, c'est que l'onde sur les Grands-Lacs et celle qui est prevue de se presenter sur la cote du gulf du Mexique ne sont pas en phase : celle au sud est trop en retard, ce qui permet a une premiere onde plus a l'est (sur la cote est) de se developper sans attendre l'onde courte en altitude plus au sud-ouest. Ca donne un systeme qui peine a s'organiser et se developpe plus a l'est.

OK, supposons que la tendance se maintienne. En 24 h, le GFS t'en prévoit 3 fois plus. À 4 jours de l'événement, ça fait 45 mm x81 (x3 à chaque jour, sur 4 jours), soit environs 3,7 mètres d'équivalent eau, donc plus de 37 mètres de neige. Tout bien compté, je pense que la tendance ne se maintiendra pas !

Les gars, vous n'auriez pas divisé les pressions par 10, par hasard ? Ça ne serait pas 969 mB, au lieu de 96,9 MB ? Ou bien c'est moi qui ne voit pas clair... Comme je n'avais rien vu de cette bordée ce midi en "regardant" (en rêve ?) le GFS... J'ai dû tomber sur les cartes d'hier matin...

Ha bon, Michel tu as répondu à ma question : "qu'est-ce qui freine le développement côtier ?" Je vais méditer là-dessus... Ça sent bon pour nous le système initial qui ralentit et se dissipe. Par la suite, le développement côtier est plus probable (avec l'arrivée de la masse froide en altitude) et le potentiel de précipitations abondantes augmente. C'est ce que montre le SPENA aujourd'hui. Certains scénarios y vont fort, avec du 50 mm et plus... Est-ce qu'il n'y a que moi qui s'intéresse au SPENA ? Remarquez, moi ça m'est bien égal... et puis j'ai l'impression d'avoir l'exclusivité du sujet !

Selon l'analyse du GFS, l'apport en humidité venant de l'océan ne se fait pas. Le tourbillon à 500mb vient des terres au lieu de la mer, donc beaucoup moins d'humidité pour regénérer la bande de précipitation. Quand ça se reforme un peu, le système est rendu trop loin pour affecter le sud ouest - l'est de la province semble mieux situé pour bénéficier de cet apport. Réjean, ton analyse repose sur la prévision du GFS, alors que je regarde le Gemglb (12Z). Il est très différent. *** Par ailleurs, si je regarde la moyenne d'ensemble du SPENA (prévision d'hier soir), c'est du 25 à 30 mm qui est prévu de Montréal à Québec.

Le gemglb 12Z est sorti. Ça semble être tout en neige au Québec (peut-être du grésil au début sur le sud) pour le 26 déc., mais le système s'affaiblit en arrivant et les accumulations sont coupée. Je ne comprends pas pourquoi le système côtier ne se développe pas plus et même faiblit. Pourtant, il a à son avantage l'humidité de l'océan et l'advection de tourbillon à 500 hPa...

Étrange cet immense trou dans les précipitations immédiatement au nord de Long Island, ne trouvez-vous pas ? http://radar.weather.gov/radar.php?rid=OKX...101111&loop=yes Peut-être l'effet des eaux froides de cette immense baie ? Ces eaux sont sans doute beaucoup plus froides que celles du Gulf Stream...

Je vois : les modèles d'hier soir ont utilisé ces données erronnées et sont arrivées à des solution irréalistes... Merci Michel ! *** Quoi qu'il en soit, les scénarios de l'ensemble SPENA de ce matin sont encore divergents. Plusieurs parmi eux ne montrent pas ce crêtage à 500 hPa. En moyenne, ils privilégient le redéveloppement côtier. Le verglas/la pluie ne semblent pas inévitable à l'heure actuelle. Je suppose qu'on y verra plus clair demain.

Oui, ça me semble hors sujet. *** Bon, alors je vois ce que tu veux dire Michel. Et puis, les modèles de ce matin sont là pour appuyer tes dires. Étant donné que les GFS, Gemglb et Ecmwf vont tous dans le même sens, je suppose que les membres des scénarios du SPENA qui ne vont pas en ce sens, comme aussi le GFS d'hier soir, c'est de la gnognotte, n'importe quoi ! Mais il me reste un doute. Comment les modèles, qui intègrent les équations de la physique, peuvent-ils arriver à une solution physiquement absurde ? Je sais qu'ils ne sont pas parfaits, mais à ce point là ? Pourquoi les erreurs n'affecteraient-elles dans leur essence qu'une partie des passes/scénarios, pour un phénomène aussi peu subtile qu'un important crêtage à 500 hPa ?

Très intéressante ton explication, Guillaume ! Il me semble que c'est bien expliqué en si peu de mots. Et ça m'inspire une question : si, comme s'en inquiètent plusieurs climatologues, le réchauffement climatique fait fondre une partie importante des glaciers du Groenland et du pôle sud, faisant monter le niveau des mers d'un ou plusieurs mètres d'ici 50 ans, cette nouvelle répartition des masses ne risque-t-elle pas de provoquer une importante vague de séïsmes un peu partout ?

Michel, même si je crois davantage moi aussi à un système qui va se développer sur les Grands-Lacs, j'aimerais savoir : comment sais-tu que le GFS d'hier soir était "complètement out" ? Out par rapport à quoi ? Qu'est-ce qui rend cette solution (GFS 00Z) impossible ou improbable ?

Réjean, le scénario du GFS 12Z est une situation potentielle, qui peut se réaliser. Cependant, il faut y voir un scénario possible parmi tant d'autres. Le plus probable est de la pluie et peu ou pas de neige les (premiers) jours suivants. Je me souviens d'une tempête de neige de 40 cm à Montréal, peut-être plus. C'était en avril 1998 il me semble, le lendemain d'une journée de pluies abondantes.

D'accord Michel, mais ça c'est parce que de Gem développe un important creux à 500 hPa sur le centre du continent et qu'il prévoit que le centre dépressionnaire passera par les Grands-Lacs. Bien que ça me semble être le scénario le plus probable, ce n'est pas le seul possible. Un creux moins intense à 500 hPa ou encore une dépression fermée à 500 hPa sur le centre des USA et progressant vers l'est jusqu'à la côte est aussi possible. Voici les épaisseurs moyennes entre 1000 et 500 hPa prévues par l'ensemble SPENA. Pour nous, la valeur maximale est atteinte le 2009-12-26 (00Z). Nous restons sous les 540 dam. Il s'agit là d'une moyenne. Bien sûr, on passe au-dessus du 540 dam selon plusieurs scénarios. http://www.weatheroffice.gc.ca/ensemble/naefs/cartes_f.html Quoi qu'il en soit, à l'heure actuelle il serait sage de suivre ton conseil.

Tant qu'à parler de choses possibles mais improbables, j'aime encore mieux celle-là : http://www.nco.ncep.noaa.gov/pmb/nwprod/an...0/fp0_348.shtml C'est la prévision du GFS d'hier soir pour dans 2 semaines. Ça nous amène autour du 2 janvier. À surveiller

Et, selon toi Michel, est-ce que c'est de la pluie verglaçante que nous amènerait le système du 26 décembre que montre le Ecmwf ? Voici la référence : http://www.meteociel.fr/modeles/ecmwf.php?...72&mode=1&map=1 C'est vrai que ça n'a pas l'air froid en altitude...

...et il n'est pas seulement question des quantités de neige. Dans un étroit corridor à l'ouest du centre, les vents pourraient être assez forts... Je ne me fierais pas au GFS cette fois-ci. Le NAM, le Gemreg et le Ecmwf sont tous plus agressifs avec ce système que le GFS. Il semble ce sera vraiment un bizzard (au sens où on l'entend aux USA), particulièrement entre Washington et New York city. On pourrait se tromper, mais je ne crois pas qu'on s'énerve trop. Ceci dit, je ne crois pas que ce sera une tempête historique pour la ville de New York en décembre.

Il arrive la même chose que d'habitude en pareille situation !! On se ramasse la flotte. Et si c'est plus à l'est, on ne ramasse rien. C'est aussi pour ça que cette situation particulière est très rare.

Oui, je suppose... Une petite précision s'impose cependant : ce n'est pas les modèles qui jouent avec nos nerfs, c'est nous-mêmes...

Vaincu ? Bon, j'ai regardé les autres modèles (Ukmo, Nogaps et Jma) et il n'y a rien de gros là-dedans selon eux. D'ailleurs, deux d'entre eux font descendre le système sur la Nouvelle Orléan. Cependant, tout ça est encore loin...