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lefevre.65

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  1. Bonjour à tous . Aujourd' hui je suis à la fois sceptique et inquiet car entre Arpège brut de forge et Santander il y a de quoi s' inquiéter : journée déplorable et fort dangereuse pour Arpège demain et pseudos de 23 ° dans les basses couches de Santander si riches en énergie qu' elles nous promettent peut-être dès ce soir un corps orageux avec grêle au moins sur le SW . Le premier aurait-il pris en compte brutalement le sondage peut être douteux ? Il y a eu pire ces jours-ci . A bientôt C.L.
  2. Bonjour à tous . Effectivement ce front de rafales que j' attendais pour fermer mes fenêres à l' ouest à 2h ou 3h du matin et que j' espérais précédé d' orage et suivi de pluies m' a laissé sur ma faim puisque de plus en plus atténué à mesure que le volume intéressé se dilatait, diffluent, en progressant vers le N.E. Il y a bien eu en milieu de nuit un petit foyer orageux vite étouffé tout près d' ici vers chez Laurent du Gers, sans suite pour nos jardins . J' ai failli vous mettre un message quand j' ai vu l' onde de hausse engagée très tôt sur le pays Basque avec les classiques + 5 hpa/3h et les 50 kt en rafales , mais j' ai pensé que vous l' aviez bien vu . Je n' avais pas bien regardé hier si les modèles l' avaient bien prévu, mais je ne crois pas . Les cisaillements de vent étaient d' ailleurs spectaculaires entre les nuages supérieurs animés en trajectoires anticycloniques de N.W. , les couches moyennes entre S.E. et S.W. et les basses couches en rafales d' W. en général . En attendant la pluie et le Tour de France . Amitiés à tous . C.L.
  3. Bonjour à tous : juste une remarque pour Laurent Violet notamment . Avez vous remarqué ce matin entre 1h et 3h utc ce petit vortex très dicret passant d' ENE vers WSW au large de Bordeaux à haute altitude corrélé me semble-t-il avec la petite concavité cyclonique associée à une faiblesse relative de tempé (-12° à 500 hpa ) entre 700 et 300 hpa traçable entre Bordeaux et les Pyrénées dans un ensemble anticyclonique bien sûr . Mais ne seraient-ce pas les prémices d' une instabilité supérieure vers le fond du golfe de Gascogne ? Tout ceci manquant évidemment d' humidité en couches moyennes et inférieures pour être vraiment inquiétant en dehors des reliefs où d' autres facteurs peuvent s' ajouter . Ca me rappelle une situation anticyclonique où je devais aller faire une course dans les Spigeoles et où nous avons découvert un vieux Cb calvus tonnant doucement en fin de nuit juste sur ce massif . Demi-tour et ciel clair partout ailleurs : c' est la loi de l' emm. maximum si répandue parfois . Amitiés et bonne plage aux vacanciers . C.L.
  4. Bonjour à tous : puisqu' on n' a pas grand' chose à se mettre sous la dent , juste cette instabilité sévère à l' étage moyen qui se répète, jour après jour au-dessus des masses d' air maritimes épaisses avec bruine . Elles ont atteint 1500 ou 2000m ces jours-ci empêchant les déclenchements orageux . Par contre si une autre cause vient s' ajouter : soulèvement sur les reliefs ou montée thermique en versants sud hors rentrées maritimes, c' est la fête ! C' est pourquoi je crains aujourd' hui de ne pas voir nos chères Pyrénées de l' hélico du Tour de France . Bone journée ou bonnes vacances . C.L. http://img140.imageshack.us/img140/4629/2rssantander6gu.th.jpg
  5. Bonsoir à tous, heureux de vous retrouver sur une situation particulièrement corsée . Il est dommage que nous n' ayions pas les cartes pointées de mto UQAM Toulouse en ce moment car nous aurions pu suivre heure par heure ce front avec rafales spectaculaires hausses de pression vertigineuses et chutes de tempé d' au moins 10°. J' ai simplement relevé quelque valeurs : entre 21 et 22h locales : Brive [/color][/b]: deltaT :- 8°1 , les rafales de vent passent 3 à 18m/s, hausse de pression : + 6,6 hpa entre 21 et 23h . Limoges : - 10°2 , 8 à 29m/s, +6hpa en une heure . Châteauroux ( Deols ) entre 23 et 0h : -5°4 ( -10°1 et + 5hpa entre 23h et 1h ), rafales de 4 à 28m/s et encore 27m/s à 1h . Bourges entre 0h et 1h : delta T : -6,2°, +3,8hpa, raf de 4 à 22m/s . La relation, même empirique, entre rafales et crochets de hausse est évidente Mais vous avez sûrement trouvé mieux, sans compter les grêlons vus à la télé . Amitiés à tous . C.L.
  6. Bonjour à tous : le réchauffement stratosphérique de Lyon entre 00 et 12 h me pose problème : + 28 à +30° entre 150 et 210 hpa ? erreur ou bien autre problème à éclaircir ? aux bons soins de votre perspicacité . C. L.
  7. Bonjour Js 13120 : à première vue il me semble que si c' est pour une utilisation pratique, la formule des pseudo adiabatiques potentielles ( thêta ' w ) est bien matérialisée sur les radio sondages dans le réseau des courbes vertes tiretées sur le diagramme 761 de MF . Sur le diagramme utilisé sur notre site ces courbes sont vertes et continues , côtées à 225 hpa de 5 en 5° de pseudos, ce qui correspond à leur côte à 1000 hpa où Tempés , Tempés adiabatiques sèches et pseudos ont la même valeur . Après, leur utilisation pratique, qui est d' une grande richesse, demande un petit apprentissage qui peut être fait à plusieurs niveaux . A votre disposition si les bouquins de base étaient insuffisants . Bonnes fêtes de pâques à tous . C. L.
  8. N.B. Aujourd' hui remarquable système nuageux cirriforme sous le vent des Pyrénées né dans l' ébranlement induit par le "jet " d' WSW sur les crêtes pyrénéennes de masses d' air en I.C.S. (instabilité convective sélective) . Elles étaient plus visibles hier à 12 h sur le RS de Bx dans le Km à XV au-dessus de 5000m et ont glissé vers l' est . J' ai appelé cela un peu abusivement "anti foehn" parce qu' il nous empêche de voir le "trou de foehn" des couches inférieures . Mais le pied typiquement foehné du RS de Bordeaux cette nuit montre bien l' énorme dessèchement produit par le foehn sec sous une nappe saturée d' AC/AS à XII ° entre 3300 et 4400 m environ . En attendant l' évolution orageuse prévue, par les modèles et l' expérience, pas encore visible sur les sondages , mais très logique, sauf front de rafales précurseur qui lui couperait l' herbe sous les pieds . Amitiés à tous et bonne semaine . C.L.
  9. Merci infiniment et félicitations, Williams, pour la qualité et l' efficacité de ces photos qui font rêver le vieux photographe et météo que je suis . C.L.
  10. Bonjour à tous : je me permets d' attirer l' attention des amateurs de haute atmosphère : tropopauses perturbées, feuilletées, tourbillons potentiels remarquables, ... car depuis hier de Sarragosse vers Nïmes et Cunéo, en advection vers le nord-est, on assiste à un réchauffement brutal à 200 hpa d' une dizaine de degrés tandis qu' au-dessus se produit un refroidissement de plus de 20° entre 200 et 100 ou 110 hpa environ . Alors, au boulot les analystes perspicaces , car je trouve que ça dort un peu en ce moment ! Mais quand même bon courage pour ceux qui bossent durement . Amitiés C.L.
  11. Bonjour à tous . On a eu un tel défilement de masses d' air cette quinzaine que l' on pourrait continuer des heures à suivre la grande saga des masses d' air du régime zonal d' est avec son évolution de radiatif à radiatif turbulent puis à concectif pour aboutir à ce renversement de flux à 180° avec tous ces beaux cinématiques d' W emboîtés de plus en plus chauds . D' autant plus que l' on peut faire appel à une imagerie de modèles très variée et colorée . Mais il faudrait le faire de visu avec le paquet des cartes M.A. que j' ai regardées à MF avant hier pour partir de l' analyse réelle . Juste une remarque : il me semble qu' on ne parle pas de "goutte chaude", mais de "langue chaude" ou de "vallée chaude" étant donnée sa morphologie en "V"contrairement à l' air froid à convexité dirigée vers le haut . Amitiés et bonne journée .C.L.
  12. Bonjour à tous : avez vous remarqué les deux très beaux Km de Brest aujourd' hui à OOh ? Le Km à XV à 680 hpa et le Km à IX à 850 hpa au dessus du petit pied convectif à VII écrasé et saturé sous les deux fronts chauds emboîtés . Les retrouvez vous en secteur chaud au sol quelque part ? Bonne journée . C.L.
  13. Remarque pour Yves Borne : on pourrait faire le même exercice avec Brest qui a présenté un passage bref de la vallée chaude entre 00h et 12h le 29 janvier, suivi d' un convectif divergent d' Est également, mais considérablement asséché . A 00h il me semble que la surface frontale était très épaisse et saturée alors qu' à 12h elle s' est brusquement enfoncée très bas en commençant à s' assécher . Bonne soirée et bon courage pour ceux qui devront aller bosser demain .C.L.
  14. Retour d' Est spectaculaire de fin Janvier . Bonjour à tous : en complément du travail d' Hervé Castelin que j' ai le plaisir de saluer au passage voici la chronologie à Nîmes du défilement de cette vallée chaude à VIII-X ou XII ° en pseudos que j' avais mise de côté . Le contraste des masses d' air ( Km à douze sur radiatif à moins deux au sol ), les hauteurs d' eau précipitables, le soulèvement entretenu sur le Massif Central et notamment les Cévennes, se sont ajoutés pour faire cette situation catastrophique . A Bordeaux on a vu descendre un peu plus tard le ''ventre'' de ces surfaces frontales chaudes avec même une structure verglaçante le Dimanche à 12 h . Le secteur chaud au sol a eu du mal à s' enfoncer dans les terres, rejeté en altitude en large langue chaude dont on peut matérialiser les bordures actives en ondulations frontales d' altitude . Difficile de n' y mettre qu' un trait violet au milieu, à la norvégienne . Ensuite on a vu rentrer sur Nîmes du convectif divergent de NE, je crois, beaucoup plus sec . Je n' ai plus d' obs sous la main pour affiner mais peut-être pouvez vous compléter avec les données que vous auriez gardées . Je vais quand même essayer d' esquisser l' analyse verticale dans son déroulement temporel : http://img137.imageshack.us/img137/7249/nimes20068um.jpg 1) La première masse d' air qui annonce le réchauffement mais aussi l' arrivée d' un corps de plus en plus épais est à V° à 800hpa le 27 à 12 h à Nîmes, à 900 hpa à 00 h le 28, au sol dans la matinée . 2) La deuxième, à peine plus chaude, est à VII° et la suit très vite . 3)Enfin la troisième, la plus efficace, et la plus riche en teneur en eau, est à XII ° environ à 400 hpa le 28 à 00 h, à 700 hpa Samedi à 12 h transportée par un flux de SSW puis de Sud et enfin de SE sans doute au sol dans la soirée dans la pointe du secteur chaud . C' est ce qui alimente l' ondulation sur les Cévennes , petit coup de frein qui permet l' accumulation des précipitations sur cette zone-cible . http://img137.imageshack.us/img137/57/bx20069le.jpg A Bordeaux à 00 h l' air froid est bien sûr plus épais ( moins un à + III° sous 2000m d' épaisseur ) , mais entre 00 h et midi, Dimanche, les surfaces frontales superposées à VII-VIII et X-XI , en flux de SE s' abaissent respectivement de 700 à 930 hpa et de 610 à 820 hpa pour donner la structure verglaçante déjà signalée . Pour bien faire il faudrait prendre un crayon et montrer de visu les rotations de vent, les signes des advections avec des vents thermiques en tranches fines, ce qui permet de dire, à un niveau donné, si on est à droite ou à gauche de l' advection chaude ...mais je crains de vous avoir déjà saturés . Bon courage pour la suite et le défilé du radiatif épais qui se prépare . C.L.
  15. J' espère que vous avez remarqué la goutte froide à -28° à 500 hpa à Bordeaux à 12h et sans doute à 600 , et que vous avez comparé le profil de ses RS de 00h et de 12h , ce qui marque une petite instabilisation par le haut . Bonne nuit et bon courage pour gérer ce froid humide dans ce radiatif turbulent et déjà un peu convectif à mesure qu' il descend vers nous sous bonne épaisseur . C.L.
  16. Bonjour Jean Louis et à tous nos amis du Forum . Effectivement , on a vu passer des empilements de masses d' air remarquables ces temps ci, et j' ai bien mis quelques RS de côté, mais devant l' engouement que connait la grande échelle, j' aurais peur de tomber à côté des centres d' intérêt du moment ou de faire du "réchauffé" si l' on peut dire . Mais c' est promis je reviendrai sur ces advections chaudes d' est ( Km à VI puis à X ) au-dessus du radiatif continental inférieur à zéro . Amitiés et bonne journée . C.L.
  17. Bonjour à Christian Pagé : juste un petit mot pour souhaiter, si c' est possible, l' augmentation de la taille des "tampons" masses d' air des RS rassemblés sur le domaine de la France car illisibles avant agrandissement individuel, au moins chez moi . En ce moment, j' aurais bien esquissé une analyse en trois D des surfaces frontales, mais il me faudrait plutôt passer par une impression fastidieuse d' un paquet de RS . En attendant le plaisir de vous revoir à Toulouse, amitiés de notre ciel de neige exceptionnel ; mais je crois que c' en est fini . C.L.
  18. Bonjour à tous : c' est tout à fait l' analyse qu' il fallait faire avec ce RS de Nîmes ce matin : bruine surfondue ( masses d' air saturées à tempés positives, pas de Km saturé à proximité immédiate, mais divergence ( Cd VIII ) et sécheresse au-dessus ; radiatif tenace en basses couches ) . Par contre plus au nord où l' advection chaude était bien saturée pour faire AS + Ns et effet Bergeron au-dessus du sandwitch positif très épais sur le radiatif persistant bien sûr, nous a donné cette situation à verglas de grande ampleur facilement et bien prévue me semble-t-il . Près des côtes, le découpage fin était effectivement plus coton . Amitiés et bonne année à tous . A l' année prochaine . C.L.
  19. Merci et bonjour à Jean Louis pour ce complément de graphismes . Pour Calou 34, je ne pense pas que l' on risque de verglas en Camargue, où il n' y aura plus de radiatif, bien sûr, avec le brassage turbulent d' un reste de mistral, mais par contre, un peu plus au nord, vers Avignon ou dans les vallées calmes le risque persistera sérieusement demain soir sous les fronts chauds d' altitude . Bonnes fêtes quand même . C.L.
  20. Bonjour à tous , juste une remarque pour les amateurs de RS : La fabrication imminente de RS à vrai verglas , advection de plusieurs "Km" (cinématiques de mélange) emboîtés de plus en plus chauds que vous pouvez voir à Santander 1) à cinq en pseudos, 2) à sept ou huit, 3) à douze comme dans le "jet" de Brest sur le radiatif continental bien installé et résistant jusqu' au grand balayage des vents océaniques . D' ailleurs Brest comporte déjà une petite structure dangereuse avec son petit sandwitch positif sous la petite couche convective à zéro, je crois, sommet 850 hpa qui pourrait donner des averses verglaçantes en rentrant sur du radiatif plus épais . Amitiés et bonnes fêtes . C.L.
  21. Bonsoir Christian Pagé : quelle mauvaise nouvelle vous nous annoncez ! Je connaissais bien Peter Zwack pour avoir assisté à quelques uns de ses topos très didactiques à l' occasion de l' un ou l' autre de ses voyages d' accompagnement de nos stagiaires revenus passer leur " thèse" de fin de formation effectuée au Canada . Il était passé également à la maison avec un autre collègue canadien dont je ne me souviens plus du nom . Je conçois la peine et le vide qu' ildoit laisser dans la communauté météorologique canadienne et notamment à vous même puisque c' était votre patron de thèse, je crois . Sincères et désolées condoléances à votre grande famille météorologique et scientifique . C. lefèvre .
  22. Bonjour à tous : juste une inquiétude devant l' advection d' altitude de Km à VI/VIII ( voir RS de Brest ) sur l' air continental radiatif quoique très limité dans le temps et dans l' espace , je me demande si l' on ne peut voir naître une zone étroite de verglas parallèle aux côtes atlantiques . Bien sûr il faut supputer entre le réchauffement diurne , le redoux dû au déclenchement du vent d' autan cette nuit , le pivotement du Jet qui signe la position de ce petit front chaud ondulant, mais quand même, je m' inquiète un peu de ne pas voir des prévisions de verglas quelque part . Je cherchais justement des RS à verglas à vous indiquer, mais les mailles des RS sont tellement lâches et les modèles encore un peu approximatifs qu' il faut bien faire travailler son imagination, en espérant que personne n' en pâtira . Amitiés et bonne journée . C.L. P.S. Il est évident que je parle d' eau surfondue et pas de "glace au sol" . Par ailleurs, les vallées pyrénéennes du Pays Basque et du Béarn étant des fabriques locales de radiatif, sont aussi très menacées .
  23. Bonsoir, juste une dernière précision qui me semblait évidente : pour qu' il y ait foehn humide, il faut qu' il y ait précipitations au vent du relief et donc dessèchement de la masse d' air . D' où un niveau de désaturation plus élevé sous le vent que le niveau de condensation au vent du relief, induisant la dissymétrie entre H1 et H2 où le refroidissement ascendant est pseudo-adiabatique, tandis que le réchauffement dans les mouvements descendants est adiabatique, d' où le gain de tempé . Le foehn dénature complètement les perturbations de sud en France sous le vent des Pyrénées, en Espagne en régime perturbé de nord, cas le plus fréquent . C' est ce qui permet de gérer pour les montagnards des sorties compromises par un passage perturbé . Il m' est ainsi arrivé devant une forte perturbation de sud de me rabattre sur le Pène Sarrière à Gourette après avoir fait demi-tour devant le Balaïtous coiffé par les débordements ibériques . Dans le cas inverse ( perturb de nord), il suffit de passer le premier tunnel venu pour profiter du beau temps chaud dans le "trou de foehn" espagnol . Reste le problème de vents localement très violents comme on en trouve au refuge du Maupas, par exemple . Amitiés et bonne nuit à tous . C.L.
  24. Bonjour Cyril : juste un petit mot : dans l' onde ascendante , stationnaire, sous le vent de la montagne en H2 on retrouve le niveau de condensation correspondant au niveau de désaturation sous le mur de foehn . On peut voir, parallèles à la chaîne montagneuse plusieurs bandes nuageuses rythmées par une longueur d' onde où le flux ascendant se condense d' un côté pour se désaturer dans les descendances de l' autre . D' où ces beaux systèmes d' Ac lenticulaires, parfois en piles d' assiettes, ou cumuliformes suivant la stabilité de la masse d' air . Mais vous devez trouver dans les modèles fins des coupes en humidité et en vecteurs obliques pour illustrer ces mécanismes . Faisons confiance à nos amis les plus curieux . Amitiés et bonne journée . C.L.
  25. Bonjour à tous : je vais essayer de répondre à vos questions : pour Jean-Louis qui joue au béotien mais qui saurait très bien répondre à ma place, les shémas décomposés en trois pour souligner la dissymétrie pseudo-adiabatique entre "au vent" et "sous le vent", essentielle à la compréhension du mécanisme . Vous pourrez compléter facilement mon texte tout seuls, la fin étant à la page suivante . Quant à JS13120, vous semblez avoir très bien compris le problème en répondant à votre première question : oui, en réalité il faut tenir compte après les avoir oubliés de tous ces critères un peu fragmentaires, mais en considérant un empilement de masses d' air à un instant donné comme vivant avec un passé bien inscrit, apporté par des flux variables trahissant le passé immédiat, et un avenir . On peut d' ailleurs les suivre dans l' espace et le temps en observant les voisins, en complétant, bien sûr par les obs, les Radars, les photos ...sans oublier les incidences des humidifications, subsidences ou convergences que les modèles font aussi très bien, au moins à grande échelle . Mais l' expérience arrange bien les choses . Je pose les bases et les sommets des nuages en fonction de l' humidité, de la stabilité, des petites ou fortes inversions capables de bloquer les sommets, sans prendre toujours des pseudos idéalement ascendantes en fonction de la proximité du RS traversé, de son humidité, mais à la fin, je dois avouer que je mets la nébul "à l' expérience" . Sur cet exemple, j' ai pris un gradient de pseudos peu rigoureux de 0,5° par 100m, seulement valable en conditions moyennes à nos latitudes . http://img139.imageshack.us/img139/5882/foehnhumideetfoehnsec.jpg Excusez-moi, je crois que j' ai cliqué deux fois . Je n' avais pas eu le temps de vous souhaiter un bon week-end . C.L.
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